Les entreprises qui utilisent des logiciels illégaux sont dénoncées le plus souvent par des ex-collaborateurs. C’est ce qui ressort d’une étude interne de la BSA Software Alliance. 60 % des renseignements reçus par l’alliance proviennent d’informateurs et d’enquêteurs. Le pourcentage effectif de délateurs devrait toutefois être encore plus élevé, sachant que 25% des informateurs veulent rester anonymes. 85% des renseignements reçus par la BSA proviennent d’informateurs.

La BSA poursuit également la lutte contre les logiciels illégaux. La nouvelle campagne «Fact or Fiction» a ainsi débuté en avril de cette année. La BSA a présenté la réalité de l’utilisation de logiciels illégaux afin de faire prendre conscience aux entreprises des risques qu’elles encourent. Les mensonges habituels sur les logiciels professionnels ont également été démasqués à cette occasion. Dès à présent, 12 000 entreprises peuvent à nouveau s’attendre à recevoir une lettre dans leur boîte.

«Avec cette campagne, nous nous adressons aux entreprises et voulons leur faire saisir l’importance de cartographier leur propre situation en matière de logiciels, explique Georg Herrnleben, Senior Director Compliance & External Affairs EMEA chez BSA | The Software Alliance. La BSA a adapté le site web www.bsa.be à cette fin. Dorénavant, la plupart des e-books et des manuels sont librement consultables et téléchargeables. Les entreprises peuvent également consulter anonymement le calculateur de risque. Celui-ci donne une évaluation indicative des risques qu’encourent les entreprises qui utilisent des logiciels illégaux, tant du point de vue de leur image de marque que de leur rentabilité. Avec ces outils, la BSA veut aider les entreprises à rester ou à se mettre en conformité. Tout ceci vise à prévenir des risques potentiels, notamment les programmes malveillants.»

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Logiciels illégaux... Les entreprises dénoncées par les ex-collaborateurs !
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Logiciels illégaux... Les entreprises dénoncées par les ex-collaborateurs !
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Les entreprises qui utilisent des logiciels illégaux sont dénoncées le plus souvent par des ex-collaborateurs.
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