Bénéfice avant la charge d’impôt record1 et total du résultat d’exploitation le plus élevé de la décennie

VANCOUVER, Colombie-Britannique–(BUSINESS WIRE)–Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, au sujet des résultats :

« En 2022, le total du résultat d’exploitation s’est élevé à 2,5 G$, du jamais vu au cours de la dernière décennie, et le bénéfice avant la charge d’impôt s’est établi à 1,1 G$, soit le plus important de notre histoire1. Ces résultats ont été possibles grâce à une solide performance de l’ensemble de nos secteurs d’activités puisque nos clients ont opté pour notre offre unique de présence locale et de liens à l’échelle internationale.

Dans le secteur Services aux entreprises, les prêts et les acceptations ont crû de 16 %. Les soldes des dépôts, les activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise et les paiements au pays et à l’échelle internationale ont également crû. Dans le secteur Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, les volumes des prêts et les soldes des dépôts ont connu une forte hausse, alors que nous avons étendu notre bassin de clientèle en mettant un accent stratégique sur les clients à l’échelle internationale. Dans le secteur Services bancaires internationaux, la croissance des activités au chapitre des transactions bancaires est demeurée solide. Les secteurs Services bancaires internationaux et Marchés et Services liés aux valeurs mobilières ont bénéficié des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice, tout en devant composer avec l’incidence des défis posés par les conditions de marché.

Je suis immensément fière de notre équipe et je tiens à la remercier pour tout ce qu’elle a accompli au cours du dernier exercice. »

Faits saillants2 de la performance financière au quatrième trimestre de 2022 (par rapport au quatrième trimestre de 2021)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a atteint 292 M$, ce qui représente une augmentation de 65 M$, ou 29 %, des augmentations ayant été enregistrées dans tous les secteurs d’activité.
  • Le total du résultat d’exploitation s’est élevé à 714 M$, en hausse de 23 %, le plus élevé jamais enregistré3. Les marges d’intérêts nettes se sont améliorées, et les activités de prêt et de négociation et les activités des clients se sont intensifiées, alors que les activités de prise ferme ont fléchi.
  • Les pertes de crédit attendues ont représenté une charge de 28 M$, qui s’explique avant tout par la variation défavorable des variables macroéconomiques prospectives, comparativement à une charge de 8 M$ pour l’exercice précédent, avait été soutenue positivement par des reprises liées aux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie.
  • Le total des charges d’exploitation a augmenté de 50 M$, ou 15 %, principalement en raison de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente visant la vente de la Banque HSBC Canada4. Nos investissements continus visant à faire croître nos activités et à soutenir des projets de réglementation ont également contribué à l’augmentation.

Faits saillants2 de la performance financière de 2022 (par rapport à 2021)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 1,1 G$, en hausse de 128 M$, ou 13 %, le plus élevé jamais enregistré1. Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 2,5 G$, en hausse de 15 %, partiellement contrebalancé par une charge au titre des PCA et une hausse de 3,8 % du total des charges d’exploitation.
  • En 2022, tous nos secteurs d’activité ont été rentables, des augmentations du bénéfice avant la charge d’impôt ayant été enregistrées dans trois de nos quatre secteurs d’activité.
  • Le total de l’actif a été de 128,3 G$, ce qui traduit une hausse de 8,4 G$, ou 7 %.
  • Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 15 s’est situé à 11,6 %, en baisse de 240 points de base par rapport à celui de 14,0 % en 2021.
  • Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire5 a atteint 15,0 %, en hausse de 330 points de base par rapport aux 11,7 % enregistrés en 2021.
  1. Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice record, surpassant le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat le plus élevé enregistré précédemment en 2012.
  2. Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.
  3. Total du résultat d’exploitation trimestriel record, surpassant le total du résultat d’exploitation trimestriel le plus élevé enregistré précédemment au cours du deuxième trimestre de 2010.
  4. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.
  5. Pour plus de précisions au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter aux rubriques « Utilisation de mesures financières supplémentaires » et « Faits saillants financiers » du présent document.

Analyse des résultats financiers consolidés du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 20221

Les produits d’intérêts nets se sont chiffrés à 479 M$ pour le trimestre, soit une augmentation de 156 M$, ou 48 %, et à 1 634 M$ pour l’exercice, ce qui représente une hausse de 408 M$, ou 33 %. Ces augmentations ont résulté de l’incidence des hausses de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice et de l’amélioration de notre bilan pour tous les secteurs d’activité, la moyenne des prêts et avances à des clients ayant augmenté de 12 %.

Les produits de commissions nets se sont établis à 192 M$, une baisse de 13 M$, ou 6,3 %, pour le trimestre. Cette diminution s’explique essentiellement par la baisse des commissions de prise ferme liées aux Services bancaires internationaux et le recul des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, en raison des conditions de marché difficiles. Ces baisses ont été contrées en partie par les produits de commissions nets plus élevées, du fait de l’intensification des activités au chapitre des cartes et des transactions des secteurs Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et Services aux entreprises et de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises.

Pour l’exercice, les produits de commissions nets se sont établis à 779 M$, une baisse de 15 M$, ou 1,9 %, ce qui s’explique principalement par la diminution des commissions générées par les services‑conseils et des commissions de prise ferme des Services bancaires internationaux en raison surtout des conditions de marché difficiles. Ces diminutions ont été contrées en partie par les produits de commissions nets plus élevées, du fait de l’intensification des activités au chapitre des cartes et des transactions des secteurs Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et Services aux entreprises et de l’augmentation des frais liés aux remises et de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction pour le trimestre se sont établis à 33 M$, en hausse de 5 M$, ou 18 %. La hausse découle surtout d’une augmentation des produits d’intérêts nets sur les activités de négociation liées au courtage en ligne attribuable à la montée des taux d’intérêt. Cette hausse a été annulée en partie par la baisse des produits tirés des activités de négociation. Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction se sont établis à 99 M$ pour l’exercice, en baisse de 13 M$, ou 12 %. La baisse est imputable à la diminution des activités de négociation et d’une variation défavorable de la valeur d’une facilité de prêt consortiale. Ces baisses ont été contrebalancées en partie par la hausse des produits d’intérêts nets sur les activités de négociation liées au courtage en ligne attribuable à la montée des taux d’intérêt.

Les autres éléments de produits se sont établis à 10 M$ pour le trimestre, ce qui représente un fléchissement de 13 M$, ou 57 %, et se sont chiffrés à 36 M$ pour l’exercice, ayant chuté de 47 M$, ou 57 %. Ces diminutions découlent de la baisse des profits liés aux placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d’actifs liquides de la banque.

Les PCA pour le trimestre ont consisté en une charge de 28 M$ qui découle avant tout des variations défavorables continues des variables macroéconomiques prospectives liées aux prêts productifs et d’une charge nette liée aux prêts non productifs. La charge de 8 M$ constatée au trimestre correspondant de l’exercice précédent est essentiellement associée à une perte de valeur liée à un prêt productif, ce qui a été annulé en partie par des reprises liées aux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie.

Pour l’exercice, les PCA ont représenté une charge de 110 M$, ce qui s’explique par une charge importante au titre des pertes de crédit attendues sur un prêt de stade 3 d’un montant élevé qui a été sorti du bilan au cours du premier semestre de 2022. La variation des pertes de crédit attendues au titre des prêts productifs a donné lieu à une charge nette découlant de la variation défavorable des variables macroéconomiques prospectives au cours des neuf derniers moins de 2022, ce qui a été partiellement contrebalancé par une reprise sur des corrections de valeur attribuables à la COVID-19 liée aux prêts productifs au premier trimestre. La reprise de 45 M$ constatée en 2021 avait résulté surtout de l’amélioration des variables macroéconomiques prospectives.

Le total des charges d’exploitation s’est établi à 394 M$ pour le trimestre, du fait d’une poussée de 50 M$, ou 15 %, et à 1 358 M$ pour l’exercice, en hausse 50 M$, ou 3,8 %. Les augmentations découlent essentiellement de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente visant la vente de la Banque HSBC Canada2 et des investissements continus afin de faire croître nos activités et de soutenir des projets de réglementation. Ces facteurs ont été en partie contrebalancés par une baisse des charges puisque des coûts avaient été engagés un an plus tôt afin d’instaurer un mode de travail hybride.

Charge d’impôt sur le résultat : Le taux d’imposition effectif pour le trimestre a été de 26,7 %, comparativement à 17,6 % pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’écart entre les taux d’imposition effectifs est imputable surtout à une diminution de notre charge d’impôt au quatrième trimestre de 2021. Le taux d’imposition effectif pour l’exercice a été de 26,7 %, contre 24,7 % pour 2021. Le taux d’imposition pour le trimestre et l’exercice à l’étude correspond au taux prévu par la loi applicable à la banque, ajusté pour tenir compte des passifs d’impôt additionnels.

  1. Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de la participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Évolution de la situation financière

Actif

Le total de l’actif s’est élevé à 128,3 G$ au 31 décembre 2022, en hausse de 8,4 G$, ou 7,0 %, par rapport à ce qu’il était au 31 décembre 2021. Cette hausse a découlé surtout d’une augmentation de 8,4 G$ des placements financiers et d’un accroissement de 4,8 G$ des prêts et avances par suite de la progression de 9 % des volumes liés aux clients, principalement des prêts aux entreprises et des prêts hypothécaires résidentiels. Les poussées de 3,4 G$ des dérivés, de 1,4 G$ des volumes des actifs détenus à des fins de transaction et de 1,4 G$ des autres actifs pris en compte dans les soldes des comptes de règlement servant à faciliter les transactions des clients ont également favorisé la hausse. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par une réduction de 7,6 G$ des soldes de trésorerie détenus dans la banque centrale et une baisse des prises en pension de 3,1 G$, car nous avons favorisé la croissance d’autres catégories d’actifs.

Passif

Le total du passif s’est chiffré à 122,4 G$ au 31 décembre 2022, en hausse de 9,4 G$, ou 8,3 %, par rapport à ce qu’il était au 31 décembre 2021. L’augmentation s’explique essentiellement par l’essor des dépôts des secteurs Services aux entreprises et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers qui ont contribué à un accroissement de 8,6 G$, ou 12 %, des comptes des clients. Les hausses des dérivés, des passifs détenus à des fins de transaction et des autres passifs correspondent à la variation des actifs dérivés, des actifs détenus à des fins de transaction et des autres actifs. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par la baisse des mises en pension de 3,6 G$, ce qui correspond à la variation enregistrée dans la catégorie d’actifs, prises en pension.

Capitaux propres

Le total des capitaux propres s’est établi à 5,9 G$ au 31 décembre 2022, ce qui signale une baisse de 1,0 G$, ou 14 %, par rapport au 31 décembre 2021. Le bénéfice après impôt de 0,8 G$ généré durant l’exercice a été neutralisé par les pertes nettes comptabilisées dans les autres éléments du résultat global de 0,7 G$. Les pertes nettes comptabilisées dans les autres éléments du résultat global comprennent des variations défavorables de 0,5 G$ des couvertures des flux de trésorerie et de 0,2 G$ des instruments d’emprunt à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global par suite d’un mouvement haussier de la courbe de rendement. La baisse des capitaux propres a également subi l’incidence d’une remise de capitaux propres ordinaires à la société mère de 0,6 G$ et des dividendes sur les actions ordinaires de 0,4 G$ qui ont été déclarés durant la période.

De façon générale, la banque est favorablement exposée à la hausse des taux d’intérêt grâce aux produits d’intérêts nets, bien qu’il y ait une incidence sur notre capital de base en raison des variations défavorables de la juste valeur des instruments détenus aux fins de la perception et de la vente et des dérivés désignés comme couvertures de flux de trésorerie, qui ont été comptabilisés dans les autres éléments du résultat global.

Avec le temps, ces variations défavorables prospectives devraient s’estomper à mesure que les instruments arriveront à échéance. Cependant, les instruments ne seront pas tous détenus jusqu’à l’échéance nécessairement. Les variations défavorables de la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie devraient être atténuées par la hausse des produits d’intérêt sur les risques couverts si les taux d’intérêt demeurent à leur niveau actuel. La juste valeur négative diminuera au moment où les taux d’intérêt baisseront ou à mesure que les instruments approcheront de leur échéance.

Dividendes

Dividendes déclarés en 2022

Au cours de l’exercice, la banque a déclaré des dividendes d’un montant de 51 M$ sur les actions privilégiées de catégorie 1 de la Banque HSBC Canada et a versé ces dividendes, toutes séries confondues, conformément à leurs modalités. De plus, la banque a déclaré et versé des dividendes d’un montant de 380 M$ sur ses actions ordinaires au cours des trois premiers trimestres de 2022. Aucun dividende n’a été déclaré ni versé sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du quatrième trimestre de 2022.

Dividendes déclarés en 2023

Le 14 février 2023, la banque a déclaré, pour le premier trimestre de 2023, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1, dividendes qui seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 31 mars 2023 ou le premier jour ouvrable suivant, à l’actionnaire inscrit le 15 mars 2023.

Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le premier trimestre de 2023 ont été déclarés après le 31 décembre 2022, leur montant n’a pas été inscrit au passif du bilan de la banque. Pour le moment, aucun dividende n’a été déclaré sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du premier trimestre de 2023.

Résultats des secteurs d’activité pour l’exercice clos le 31 décembre 20221

Services aux entreprises (« SE »)

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 185 M$, ce qui traduit une hausse de 15 M$, ou 8,8 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat de l’exercice s’est établi à 713 M$, ayant bondi de 32 M$, ou 4,7 %. Cette augmentation découle essentiellement d’une hausse du résultat d’exploitation, neutralisée en partie par une variation défavorable des pertes de crédit attendues.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 316 M$, en hausse de 36 M$, ou 13 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est chiffré à 1,2 G$, en hausse de 156 M$, ou 15 %. Les SE ont conservé leur élan en 2022, les prêts et acceptations s’étant accrus de 5 G$, ou 16 %, au cours de l’exercice et les soldes des dépôts ayant augmenté de 9,7 % en regard de ceux enregistrés en 2021. Les produits d’intérêts nets se sont accrus en raison de l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du présent exercice et de l’accroissement des volumes. De même, les produits autres que d’intérêts ont progressé du fait des volumes des acceptations bancaires et des activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise et des paiements au pays et à l’échelle internationale plus élevés.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du trimestre et de l’exercice a atteint un nouveau sommet2. Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 106 M$, ce qui traduit une hausse de 73 M$, ou 221 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Pour l’exercice, il s’est chiffré à 314 M$, ce qui traduit une amélioration de 138 M$, ou 78 %. L’augmentation est imputable à l’amélioration du résultat d’exploitation dont il est fait mention ci-après et à la baisse des charges d’exploitation, facteur atténué par une hausse des pertes de crédit attendues.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 291 M$, en hausse de 76 M$, ou 35 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Pour l’exercice, GPSBP a enregistré un résultat d’exploitation record2 qui s’est établi à 1,0 G$, en hausse de 167 M$, ou 20 %. Cette hausse a découlé de la progression des volumes des prêts et des soldes des dépôts ainsi que de l’amélioration des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale. La hausse du total du résultat d’exploitation pour l’exercice a été partiellement contrebalancée par le recul des produits associés à la gestion de la trésorerie.

Services bancaires internationaux (« SBI »)

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 61 M$, ce qui traduit une hausse de 27 M$, ou 79 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. L’augmentation est principalement imputable à l’amélioration du résultat d’exploitation dont il est fait mention ci-après. Pour l’exercice, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est chiffré à 131 M$, ce qui traduit une diminution de 12 M$, ou 8,4 %. La baisse découle essentiellement d’une variation défavorable des pertes de crédit attendues. Une légère hausse des charges a été compensée par une augmentation du total du résultat d’exploitation, comme il est mentionné ci-après.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 79 M$, en hausse de 26 M$, ou 49 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est chiffré à 223 M$, en hausse de 3 M$, ou 1,4 %. La croissance des activités au chapitre des transactions bancaires est demeurée solide, ce qui s’explique en partie par l’élargissement des écarts et la hausse des volumes. Ce facteur a été neutralisé par la baisse des produits tirés des commissions générées par le marché des capitaux et les services-conseils, principalement en raison des conditions de marché difficiles et du rendement élevé enregistré un an plus tôt. Pour l’exercice, la baisse a également été accentuée par une variation défavorable de la valeur d’une facilité de prêt consortiale au cours du deuxième trimestre de 2022.

Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)

Le bénéfice avant l’impôt sur le résultat pour le trimestre s’est établi à 9 M$, pour une amélioration de 2 M$, ou 29 %, et à 53 M$ pour l’exercice, pour une hausse de 15 M$, ou 39 %, essentiellement en raison de l’augmentation des produits d’intérêts nets.

Le total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’est établi à 21 M$, en baisse de 1 M$, ou 4,5 %, principalement en raison de la diminution des activités de négociation. Le total du résultat d’exploitation de l’exercice s’est fixé à 104 M$, en hausse de 14 M$, ou 16 %, surtout en raison des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice.

Centre général3

La perte avant l’impôt sur le résultat a été de 69 M$ pour le trimestre et de 131 M$ pour l’exercice, ce qui a donné lieu à une baisse du bénéfice avant impôt de 52 M$ et de 45 M$, respectivement, pour le trimestre et pour l’exercice. Cette baisse s’explique principalement par une augmentation des charges d’exploitation en raison de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente de la vente de la Banque HSBC du Canada et des investissements continus visant à soutenir les activités. Ces hausses des charges ont été en partie contrebalancées par une baisse des charges puisque des coûts avaient été engagés un an plus tôt afin d’instaurer un mode de travail hybride. La baisse des produits d’exploitation a également contribué à la diminution.

  1. Comparaison de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Record annuel depuis la formation de GPSBP (antérieurement SBDGP) en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011.
  3. Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité.

Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada1

Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada (et ses filiales) et des créances subordonnées détenues par le Groupe HSBC à la Banque Royale du Canada (« RBC ») pour un prix d’achat de 13,5 G$. Sous réserve de l’examen et de l’approbation des autorités réglementaires et du gouvernement, la conclusion de la vente est prévue d’ici la fin de 2023.

Il y aura une période de transition afin d’intégrer de façon efficace les activités de la Banque HSBC Canada au sein de la RBC et nous entendons continuer à répondre aux besoins bancaires de nos clients durant cette période.

L’entente visant la vente fait suite à un examen stratégique de la Banque HSBC Canada par le Groupe HSBC.

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