Amazon Q, réponse à Copilot
Alors qu’avec Copilot Microsoft vise l’utilisateur lambda, AWS cible le département IT. Amazon Q avance déjà 40 applications et services.
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En savoir plusNov 29, 2023 | Business Wire | 0 |
HERZOGENAURACH, Allemagne–(BUSINESS WIRE)–L’entreprise d’articles de sport PUMA annonce les résultats de son expérience RE:SUEDE de deux ans, démontrant qu’elle peut transformer avec succès une version expérimentale de sa basket classique SUEDE en compost dans des conditions industrielles spécifiques.
En 2021, PUMA a fabriqué 500 paires de RE:SUEDE expérimentales en utilisant du daim tanné Zeology, une semelle extérieure en TPE et des fibres de chanvre. Pendant six mois, des volontaires en Allemagne ont testé le confort et la résistance des RE:SUEDE au quotidien avant que PUMA ne les envoie à l’installation de compostage industriel spécialement équipée d’Ortessa Group, son partenaire aux Pays-Bas.
Avant de pouvoir transformer les chaussures en compost, un procédé particulier a été mis au point. Dans un premier temps, les chaussures ont dû être déchiquetées, mélangées à des déchets verts ménagers et placées dans un tunnel de compostage, avant d’être arrosées avec un lixiviat riche en nutriments provenant de compostages antérieurs et chauffées naturellement grâce à l’activité biologique et à la circulation contrôlée de l’air dans le tunnel. Trois mois et demi après environ, le compost criblé d’une taille inférieure à 10 mm a été vendu à des fins agricoles (conformément aux directives néerlandaises) en tant que matériau de qualité. Les résidus ont été à nouveau placés dans le tunnel de compostage jusqu’à ce qu’ils atteignent la taille souhaitée (<10 mm). Toutes les exigences légales en matière de compostage applicables à Ortessa Group et à ses installations néerlandaises ont été respectées au cours du processus.
« Le processus de compostage industriel habituel était certes inadéquat, mais au final, les RE:SUEDE ont donné naissance à du compost », explique Anne-Laure Descours, directrice du sourcing chez PUMA. « Avec nos partenaires, nous allons poursuivre notre travail d’innovation et identifier l’infrastructure et les technologies qui nous aideront à développer le processus approprié pour une version commerciale des RE:SUEDE en 2024, programme de reprise compris. »
La transparence est un autre pilier important de l’expérience RE:SUEDE. PUMA a publié les conclusions dans un rapport complet afin de permettre aux partenaires du secteur et aux autres parties prenantes intéressées de tirer des enseignements de l’expérience et de les appliquer à leurs propres projets.
« Nous avons beaucoup appris avec le projet RE:SUEDE, notamment sur la manière de rationaliser notre processus de compostage industriel afin d’inclure les articles qui ont besoin de plus de temps pour se transformer en compost », explique Marthien van Eersel, directeur des matériaux et de l’innovation chez Ortessa. « Bien que tous les matériaux de la RE:SUEDE soient biodégradables, la semelle doit subir un traitement spécial en amont et prend plus de temps pour se décomposer complètement dans le tunnel de compostage. »
PUMA profitera des commentaires des volontaires qui ont porté la RE:SUEDE pendant six mois pour améliorer le confort des futures versions de la chaussure en optimisant l’ajustement général grâce à l’utilisation d’un nouveau modèle de matériau pour la tige et la doublure intérieure.
Avec le nouveau programme de recyclage du polyester RE:FIBRE, RE:SUEDE a été la première expérience du Circular Lab de PUMA, un pôle d’innovation dirigé par les experts en innovation et en design de PUMA pour concevoir les futurs programmes d’économie circulaire.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.Foreverbetter.com et ortessa.com
PUMA
PUMA, l’une des plus grandes marques de sport au monde, conçoit, développe, vend et commercialise des chaussures, des vêtements et des accessoires. Depuis 75 ans, PUMA promeut sans relâche le sport et la culture en créant des produits vecteurs de rapidité destinés aux athlètes les plus rapides du monde. PUMA propose des produits performants et de lifestyle inspirés du sport dans des disciplines telles que le football, la course et l’entraînement, le basketball, le golf et les sports mécaniques. La société collabore avec des designers et des marques de renom pour imprégner la culture et la mode streetwear d’influences sportives. PUMA Group détient les marques PUMA, Cobra Golf et stichd. La société distribue ses produits dans plus de 120 pays, emploie plus de 20 000 personnes à travers le monde et son siège se situe à Herzogenaurach, en Allemagne.
Ortessa Group
Ortessa Group comprend les cinq entreprises dynamiques de gestion des déchets suivantes : veyzle, Lammertyn.net, van Kaathoven, Rondo et Valor Composting. Ensemble, ces filiales maîtrisent tous les tenants et aboutissants de la gestion, de la collecte et du traitement des déchets et prouvent chaque jour la force des partenariats intelligents. Elles sont chacune spécialisées dans un domaine des déchets, mais ont une mission commune claire : communiquer ouvertement sur les déchets. Grâce à une vision réaliste, pragmatique et axée sur les résultats, Ortessa Group aide ses clients à surmonter les problèmes liés aux déchets.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Samantha Du Plessis – PUMA SE – samantha.duplessis@puma.com
M. Schepers – Ortessa – communicatie@ortessa.com
Mise en production de plus de 40 nouveaux produits dans le Public Cloud OVHcloud au travers de 8 services différents. L’acteur européen réaffirme sa dynamique d’innovation.
En savoir plusNov 29, 2023 | Business Wire | 0 |
Premiers en leur genre au sein du secteur, des accords multipartites passés en Chine et en Inde vont permettre de débloquer au moins 70 mégawatts de capacité d’énergie renouvelable pour les chaînes d’approvisionnement mondiales
De nouvelles collaborations public-privé sont mises en place pour définir un cadre permettant de mesurer l’impact environnemental des médicaments et de la mise à disposition des soins aux patients
LONDRES–(BUSINESS WIRE)–Pour accélérer la transition vers des systèmes de santé qui contribuent à la neutralité carbone, des leaders du secteur de la santé membres de la Sustainable Markets Initiative Health Systems Task Force sont actuellement en pourparlers avancés avec des fournisseurs d’énergie en Chine et en Inde dans le but d’augmenter l’utilisation d’énergie renouvelable au sein de leurs chaînes d’approvisionnement. C’est la première fois que des entreprises internationales du secteur de la santé – dont AstraZeneca, GSK, Novo Nordisk et Roche – s’associent pour lancer de telles initiatives dans ces pays. Les marchés de la Chine et de l’Inde jouent un rôle clé dans la fabrication des produits pharmaceutiques. On estime que ces deux pays sont à l’origine d’environ 50 % des matières premières utilisées dans les médicaments.i
En Chine, ces accords énergétiques prévoient de débloquer l’utilisation des énergies renouvelables dans les provinces du Jiangsu, du Guangdong, ainsi qu’à Shanghai et à Pékin. Ces accords visent à fournir environ 70 mégawatts (MW) d’énergie renouvelable chaque année dans le réseau à compter de 2024, ce qui réduirait les émissions annuelles à hauteur d’environ 120 000 tonnes d’équivalents de dioxyde de carbone (CO2e), ce qui correspond au retrait de 25 000ii voitures de la circulation. En Inde, l’initiative vise à soutenir les fournisseurs du Gujarat, du Karnataka, du Madhya Pradesh, du Maharashtra et du Tamil Nadu. Ces efforts collectifs visant à faire progresser l’accès aux énergies renouvelables démontrent la force de la collaboration sur ces marchés, et le rôle de catalyseur de la Sustainable Markets Initiative.
Pascal Soriot, PDG d’AstraZeneca etPrésident de la Sustainable Markets Initiative Health Systems Task Force, a déclaré : « Le monde s’est enfin réveillé et a compris que la crise climatique est également une crise sanitaire. Cette prise de conscience doit s’accompagner de mesures audacieuses et évolutives si nous voulons garantir un avenir viable et durable. L’annonce d’aujourd’hui envoie un signal positif concernant la demande en énergie verte, offre un modèle à suivre, et souligne l’engagement de la SMI à mener la décarbonation du secteur de la santé. »
« À l’échelle mondiale, le secteur de la santé est responsable d’environ 5 % des émissions, ce qui en fait un contributeur important au changement climatique », a confié pour sa part le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé. « Ces avancées visant à accélérer la transition vers les énergies renouvelables dans le domaine de la fabrication de produits pharmaceutiques en Chine et en Inde sont une bonne nouvelle, et viennent compléter le mandat de l’OMS dans le cadre de l’Alliance pour une Action Transformatrice sur le Climat et la Santé (ATACH), qui réunit des gouvernements, le secteur privé et d’autres partenaires afin demettre en place des systèmes de santé résilients et respectueux du climat dans divers pays. »
La Health Systems Task Force est un partenariat public-privé lancé lors de la COP26. Les engagements pris aujourd’hui à la veille de la COP28, qui sera la première conférence mondiale sur le climat à mettre officiellement l’accent sur la santé, s’appuient sur les mesures audacieuses déjà prises par le groupe pour décarboner les soins de santé.
La crise climatique contribue à une augmentation des maladies non transmissibles et des maladies infectieuses liées au changement climatique, sept millions de personnes mourent prématurément chaque année du seul fait de la pollution de l’air.iii Parallèlement, le secteur des soins de santé est responsable d’environ 5 % du total des émissions de gaz à effet de serre (GES)iv, ce qui équivaut à deux fois les émissions de l’aviation mondiale. Plus de la moitié des émissions du secteur sont générées au sein des chaînes d’approvisionnement de la fabrication, et l’énergie consommée dans celles-ci représente environ 25 % du total des émissions du secteur des soins de santé.iv
Plus tôt cette année, des membres de la Task Force ont lancé les objectifs environnementaux minimaux communs pour les fournisseurs, appelant les organisations à se fixer des objectifs fondés sur des données scientifiques et à faire plus que réduire leurs émissions de carbone pour s’attaquer aux problèmes de l’eau et des déchets. Ces objectifs pourraient contribuer à réduire de 3,5 millions de tonnes les émissions de CO2e par an si nous prenons en compte que les 100 plus grands fournisseurs de produits pharmaceutiques membres de la Task Force.
Au-delà de la décarbonation des chaînes d’approvisionnement, les membres de la Sustainable Markets Initiative Health Systems Task Force encouragent les progrès visant à réduire l’empreinte environnementale de la distribution de soins de santé, qui représente près de la moitié des émissions globales du secteur.
Reconnaissant l’importance d’une méthode harmonisée pour mesurer et rendre compte de l’impact environnemental des médicaments et des produits de soins, la Task Force collabore avec le Pharmaceutical Environment Group (PEG), par le biais d’un consortium nouvellement créé, et avec NHS England pour soutenir le développement d’une norme sectorielle relative à l’analyse du cycle de vie (ACV) des médicaments. Pour établir cette norme, le consortium et NHS England prévoient de travailler avec la British Standards Institution (BSI) afin de parvenir à un consensus entre les différents intervenants du secteur, notamment les systèmes de soins de santé, les prestataires, les professionnels, les organismes représentatifs, le monde universitaire et les patients. Avec l’aide d’experts, dont Quantis, la mise en place de cette norme relative à l’ACV permettra d’améliorer la transparence et de soutenir l’évaluation et la réduction de l’impact environnemental des médicaments tout au long de leur fabrication – de leur approvisionnement à leur utilisation et jusqu’à leur fin de vie.
Un cadre de mesure international est également en cours d’élaboration pour permettre de calculer les émissions de carbone de différents parcours de soins de patients. L’objectif est d’identifier les principaux facteurs d’émissions et, à terme, de réduire l’impact environnemental de la distribution de soins de santé. Le groupe se penche par ailleurs sur la manière de quantifier les émissions de carbone des essais cliniques. En outre, un nouveau chantier, dirigé par le fabricant de biens de consommation Reckitt, prévoit de se concentrer sur le rôle que peuvent jouer la santé et le bien-être des personnes dans la décarbonation du secteur des soins de santé.
Depuis le lancement de la Task Force en 2021, des fournisseurs et des entreprises de premier plan du secteur de la santé cherchent à contribuer à ces efforts, démontrant ainsi l’impact positif qu’elle exerce sur l’ensemble du secteur. Récemment, la Task Force a accueilli trois nouveaux membres, élargissant ainsi son expertise sectorielle :
Par ailleurs, Lonza et Novartis participent aux efforts de la Task Force pour se fournir enénergie renouvelable en Chine, tandis que Johnson & Johnson, Pfizer et Takeda contribuent à l’initiative d’ACV. L’impact de la Task Force inspire également des actions plus larges dans des juridictions clés. Le 6 novembre dernier, le Conseil chinois de la Sustainable Markets Initiative a lancé un Groupe de travail sur la santé à Shanghai. Ce groupe est composé de 16 entreprises chinoises du secteur de la santé et de membres de la Health Systems Task Force, et vise à accélérer la mise en place de soins de santé durables en Chine, avec un impact s’étendant à l’échelle mondiale.
Ces divers efforts renforcent l’engagement de ce partenariat privé-public de premier plan dans la réduction de l’impact environnemental des systèmes de santé – du laboratoire au patient – tout en contribuant à améliorer les résultats de santé.
Notes à l’intention des rédacteurs :
La Sustainable Markets Initiative Health Systems Task Force est un partenariat public-privé lancé lors de la COP26, qui regroupe des entreprises du secteur de la santé (AstraZeneca, GSK, Novo Nordisk, Merck Group, Roche, Samsung Biologics, Sanofi), l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et des partenaires clés du secteur public (NHS England, la Sustainable Healthcare Coalition et l’université de Pavie). À l’approche de la COP28, de nouveaux membres, Bupa, Novartis et Reckitt, ont rejoint l’effort collaboratif de la Task Force.
En tant que partenaire de l’Alliance pour une action transformatrice sur le climat et la santé (ATACH) dirigée par l’OMS, le groupe de travail vise également à partager ses connaissances, son expérience et ses contributions positives avec les partenaires de l’ATACH et plus de 70 pays à travers le monde.
À propos de la Sustainable Markets Initiative
Fondée en 2020 par Sa Majesté le roi Charles III (alors prince de Galles), la Sustainable Markets Initiative est désormais l’organisation mondiale incontournable du secteur privé en matière de transition. Lancé en 2021, le mandat de la Sustainable Markets Initiative, baptisé Terra Carta, a pour objectif d’accélérer les résultats positifs pour la nature, les personnes et la planète grâce à des mesures économiques concrètes. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.sustainable-markets.org
Quelques mots sur le mandat Terra Carta de la Sustainable Markets Initiative
Sa Majesté le roi Charles III (alors prince de Galles) a lancé l’initiative Terra Carta lors du One Planet Summit en janvier 2021. Terra Carta représente le mandat de la Sustainable Markets Initiative et fournit une feuille de route pratique pour accélérer la mise en place d’un avenir ambitieux et durable, qui s’appuiera sur le pouvoir de la nature combiné au pouvoir de transformation, aux innovations et aux ressources du secteur privé. Terra Carta est soutenue par les 56 membres du Commonwealth, l’organisation C40 Cities et les 13 Core Cities du Royaume-Uni. Pour en savoir plus, voir : www.sustainable-markets.org/terra-carta.
i Sur la base des ventes/parts de marché pour les API et les produits chimiques – DaxueConsulting (2020) ; Optimainsights (2019) ; European Fine Chemicals Group ; Crisil, S&P Global (2019) ; CEFIC – Conseil européen de l’industrie chimique (2021)
ii https://www.epa.gov/greenvehicles/greenhouse-gas-emissions-typical-passenger-vehicle
iii https://www.who.int/health-topics/air-pollution#tab=tab_2
iv https://a.storyblok.com/f/109506/x/96fc198cb8/smi-hstf-executive-summary.pdf
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Jonathan Daly, Edelman
E-mail : jonathan.daly@edelman.com
Vim Drury, Sustainable Markets Initiative
E-mail : v.drury@sustainable-markets.org
Nov 28, 2023 | Business Wire | 0 |
MARTINIQUE, France–(BUSINESS WIRE)–Hier, le Class40 IBSA avec Alberto Bona et son coéquipier Pablo Santurde del Arco a terminé à la troisième place, l’une des régates transocéaniques les plus emblématiques et les plus suivies, franchissant la ligne d’arrivée à Fort-de-France, en Martinique, après 18 jours, 21 heures, 21 minutes et 47 secondes de navigation et 5 466 milles nautiques parcourus à une vitesse moyenne de 12,1 nœuds. En atteignant le podium, Bona et Santurde ont propulsé le Class40 IBSA à un niveau supérieur, obtenant un résultat important pour le projet « Sailing into the Future. Together », un résultat construit mille après mille, avec des duels serrés, des tempêtes, un alizé étonnamment faible et une grande ruée vers le sud.
« Une performance impressionnante au cours d’une des régates les plus difficiles auxquelles j’ai participé », a déclaré Bona à son arrivée. « Nous avons fait face à toutes les conditions météorologiques possibles, de la tempête au calme ; nous avons changé de direction en empannant un nombre incalculable de fois – déplaçant ainsi deux cents kilos à l’intérieur du bateau à chaque fois ; nous avons pris des décisions très complexes et surmonté le froid, la chaleur et la fatigue. Nous visions la place que nous avons obtenue : nous avons fait une bonne régate ! Merci à IBSA qui nous a accueillis ici avec un enthousiasme peu commun, attendant notre arrivée et fêtant avec nous ce podium qui, pour le projet triennal « Sailing into the Future. Together », est un grand objectif».
Giorgio Pisani, vice-président du groupe IBSA et chef du projet « Sailing into the Future. Together », a déclaré : « Une place sur le podium qui témoigne de la détermination de notre skipper Alberto Bona et de son coéquipier Pablo Santurde et récompense l’équipe pour l’énorme effort déployé pour arriver ici après deux saisons de travail intense. Cette régate est une parfaite métaphore de la détermination nécessaire pour atteindre les objectifs fixés, en mer comme dans tout autre contexte. Ce mois-ci, nous avons suivi le Class40 IBSA, vivant avec Bona toutes les conditions difficiles auxquelles il a été confronté et qu’il a habilement surmontées, et ce fut un grand plaisir de l’attendre à la ligne d’arrivée à Fort-de-France, célébrant la troisième place dans l’une des régates les plus difficiles du circuit international Class40. »
Se remémorer la régate, c’est comme raconter une partie d’échecs jouée dans l’Atlantique, qui a d’abord mis les équipages à l’épreuve en envoyant des tempêtes et des vagues atteignant parfois cinq mètres, puis les a laissés à la merci de la rareté du vent, à la recherche de meilleures conditions bien plus au sud que prévu, prolongeant les temps de voyage et le nombre de milles parcourus. Alberto et Pablo, sur le Class40 IBSA, ont quitté Le Havre le 29 octobre pour une première étape les menant à Lorient, un choix obligatoire de la part de l’organisation, afin d’éviter que les équipages ne se retrouvent dans la tempête Ciarán. Après 300 milles, le 30 octobre, le Class40 IBSA a terminé à la huitième place, après avoir navigué dans une tempête pendant 1 jour, 11 heures, 58 minutes et 5 secondes.
La deuxième étape, de Lorient à la Martinique, démarre le 6 novembre, et le Class40 IBSA est toujours dans le groupe de tête ; il est le premier à lutter contre les hautes vagues, les courants et les vents forts le long du Golfe de Gascogne, puis à partir à la recherche d’« air » dans le sud, car les alizés ne soufflent qu’à des latitudes très basses. L’un des passages critiques de la régate se déroule lorsque Bona se dirige vers le sud, mais certaines des équipes à l’arrière fuient vers l’ouest, pourchassant une dépression qui leur permetterait de trouver du vent.
La flotte se sépare, avec une distance de plus de 600 milles entre les deux groupes : ce sont pratiquement deux courses différentes avec la même ligne d’arrivée, deux groupes de bateaux s’étudiant mutuellement de loin. La descente du Class40 IBSA vers le sud se poursuit avec détermination, les skippers gardant le contrôle à la fois sur le groupe de tête et sur les équipages anglais et français qui sont juste derrière eux. Le compte à rebours pour l’arrivée commence le 21 novembre : le temps calme ralentit les deux flottes, mais Alberto et Pablo accélèrent ; en effet, lors de la dernière nuit de la régate, ils reprennent deux positions ainsi que l’avantage nécessaire leur garantissant une place sur le podium d’une course aussi excitante que complexe, concluant avec satisfaction une saison qui, au cours de l’année, a amené IBSA à naviguer sur plus de 13 000 milles, à participer à six régates et à remporter le RORC Caribbean 600 et Les Sables-Horta-Les Sables.
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LE PROJET : Sailing into the Future. Together a commencé en janvier 2022, le partenariat entre IBSA et Alberto Bona est né sur des bases et des valeurs communes et vise à utiliser la voile comme véhicule de communication d’entreprise, vers le marché et le monde nautique. L’ingéniosité, le courage, l’innovation et la responsabilité sont des éléments qui unissent IBSA et Alberto, et le défi océanique, outre la compétition sportive, représente métaphoriquement l’histoire, la philosophie et la vision de l’entreprise, toujours tournée vers l’avenir et faisant partie d’un parcours qui rapproche toujours plus IBSA du thème de la durabilité environnementale et sociale, de l’inclusion et de l’intégration. La Route du Rhum était la première étape du programme de trois ans Sailing into the Future. Together, que la société pharmaceutique suisse a lancé avec Bona et qui continue en 2023 avec un calendrier chargé de régates, notamment la Rolex Fastnet Race et la Transat Jacques Vabre. |
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LE BATEAU : le bateau est un Class40 de dernière génération, avec une étrave de type scow. Conçue par l’architecte naval français Sam Manuard et réalisée par le chantier JPS Production, l’embarcation est un modèle Mach 5, la dernière évolution des Class40 de Manuard. Les caractéristiques : une proue arrondie, réalisée dans le but d’augmenter les performances dans les allures au portant ; des lignes d’eau et des appendices conçus pour faire de la coque un all round rapide même au près ; un cockpit spacieux et abrité pour affronter la navigation dans des positions aussi confortables et sûres que possible. La première régate internationale à laquelle Alberto Bona a participé avec le Class40 IBSA a été la Route du Rhum 2022. |
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LE SKIPPER : originaire de Turin, Alberto Bona est diplômé en philosophie. En tant qu’étudiant universitaire, il a remporté le Trophée Panerai avec Stormvogel, un ULDB rapide et un bateau historique avec lequel il a traversé l’océan Atlantique pour la première fois, remportant l’ARC avec un équipage néo-zélandais. En 2012, il a participé à la Minitransat, terminant 5e, un des meilleurs résultats italiens jamais obtenus dans cette catégorie. En 2015, il passe à la catégorie des prototypes Mini 6.50 avec Promostudi La Spezia : il remporte le championnat italien et se classe deuxième de la traversée océanique Les Sables – Les Açores. En 2017, il arrive au Class40 : sur l’ancien Telecom Italia de Giovanni Soldini, il participe à la Transat Jacques Vabres, où il a été contraint d’abandonner alors qu’il était en sixième position. En 2019, il est à bord du trimaran Maserati Multi 70, un des bateaux les plus rapides au monde, où il s’entraîne sur les foils avant de passer au Figaro Beneteau 3, avec lequel il participe à la Solitaire ; seul Italien inscrit, il termine 7e parmi les rookies la première année et 16e au général en 2020. En 2021, il remporte le titre italien offshore en équipe et gagne les championnats d’Europe en double mixte à bord du Figaro 3. En 2022, un nouveau projet a débuté avec le soutien du groupe IBSA : avec le nouveau Class40 IBSA, il participe à la Route du Rhum 2022, et termine en huitième position. |
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IBSA : IBSA (Institut Biochimique SA) est une société pharmaceutique multinationale suisse fondée en 1945 à Lugano. Aujourd’hui, elle est présente avec ses produits dans plus de 90 pays sur 5 continents, et possède 18 filiales en Europe, en Chine et aux États-Unis. L’entreprise réalise un chiffre d’affaires de 900 millions de francs suisses et emploie plus de 2 200 personnes au siège, dans les succursales et sur les sites de production. IBSA détient 90 familles de brevets approuvés et d’autres en cours de développement, ainsi qu’un large portefeuille de produits couvrant 10 domaines thérapeutiques : médecine de la reproduction, endocrinologie, douleur et inflammation, ostéo-articulaire, médecine esthétique, dermatologie, urologie/gynécologie, cardiométabolisme, respiratoire, santé et bien-être. IBSA est parmi l’un des plus grands acteurs mondiaux de la médecine de la reproduction et l’un des leaders mondiaux des produits à base d’acide hyaluronique. La philosophie de IBSA repose sur les piliers suivants : Humain, Innovation, Qualité et Responsabilité. |
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Ornella Reccia – ornella.reccia@noesis.net – Portable : +39 329 393 1922
Nov 28, 2023 | Business Wire | 0 |
ZAPI GROUP dirige les discussions sur la réalisation d’une réalité tout électrique avec des experts de l’industrie et le futurologue Stefan Hyttfors
POVIGLIO, Italie–(BUSINESS WIRE)–ZAPI GROUP, leader mondial de l’électrification des véhicules, a annoncé les dates de 2024 de sa conférence virtuelle Future of Electrification qui aura lieu les 7 et 8 février 2024. Après le succès des deux premières années, la conférence réunira des leaders de l’industrie et des experts de l’électrification des véhicules industriels et commerciaux afin de discuter des étapes pratiques pour parvenir à une réalité entièrement électrique.
Présentée par ZAPI GROUP, leader dans le domaine de l’électrification depuis 1975, la conférence offrira un aperçu des dernières technologies, des tendances industrielles et des facteurs géopolitiques et réglementaires à l’origine de la révolution de l’électrification. Le marché de l’automobile grand public étant à la pointe de l’adoption de l’électricité, l’événement facilitera les conversations sur la voie pratique de l’électrification des véhicules et machines industriels et commerciaux.
« Nous collaborons efficacement avec nos clients dans des secteurs tels que la construction, l’e-mobilité commerciale et la manutention afin d’obtenir une large adoption sur tous les marchés industriels moteurs. Notre objectif consiste à concrétiser le rêve électrique », a indiqué Lloyd Gomm, directeur du marketing mondial de ZAPI GROUP. « Nous nous réjouissons d’organiser notre troisième événement virtuel annuel, qui nous donnera l’occasion de discuter des défis et des opportunités que nous partageons avec des leaders d’opinion dans le domaine de l’électrification. »
Les participants s’attendent à un programme dynamique qui comprend une présentation principale du futuriste renommé Stefan Hyttfors intitulée Electrification as the Catalyst for a New Era et une présentation spéciale sur l’avenir du sport automobile avec l’équipe de course Maserati MSG de la Formule E. Des présentateurs d’organisations de premier plan notamment Ubiquicom, RISE AB, Discover Energy Systems, Flux Power, Trojan Battery, Stafl Systems, Inventus Power et SUNCAR AG se joignent à l’équipe du GROUPE ZAPI pour partager leurs visions, leurs défis et leurs réussites dans leurs parcours vers un monde tout électrique. Becky Schultz, vice-présidente du contenu de KHL Power Group, Darrell Proctor, rédacteur en chef adjoint de Power Magazine, et Sara Jensen, rédactrice en chef technique de Power & Motion, mettront à profit leur expérience et leurs points de vue dans tous les secteurs pour animer certaines des tables rondes de l’événement.
La participation à l’événement The Future of Electrification 2024 est maintenant ouverte et est gratuite. Veuillez consulter le site www.futureofelectrification.orgpour vous inscrire et pour obtenir plus d’informations.
À propos de ZAPI GROUP
ZAPI GROUP assure la transition vers un avenir entièrement électrique grâce à un portefeuille de produits hautement intégrés, notamment des contrôleurs de mouvement, des moteurs électriques, des chargeurs de batterie à haute fréquence et des logiciels de navigation autonome destinés à être utilisés dans des véhicules entièrement électriques et hybrides. En tant que leader mondial de l’électrification avec une expérience approfondie des systèmes, des innovations de pointe et une obsession pour la réussite des clients, ZAPI GROUP compte aujourd’hui plus de 1 500 employés dans le monde entier avec un chiffre d’affaires annuel total de plus de 600 millions de dollars US. Pour plus d’informations, visitez le site www.zapigroup.com.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
AnnMarie Carson
Communiqué PR
zapigrouppr@communiquepr.com