Mois : février 2023

Molson Coors Beverage Company présente ses résultats pour le quatrième trimestre et pour l’ensemble de l’exercice 2022

La Société affiche une croissance du chiffre d’affaires au quatrième trimestre et surpasse les indications en devises constantes pour l’ensemble de l’exercice


Au quatrième trimestre, le bénéfice net de Molson Coors a diminué de 670 millions de dollars en raison d’une charge partielle pour perte de valeur au titre du goodwill; le bénéfice net sous-jacent en devises constantes a augmenté de 59,3 pour cent au quatrième trimestre, et le résultat a été conforme aux indications en ce qui a trait au résultat net pour l’exercice complet

Indications de croissance continue pour l’exercice 2023, malgré les pressions inflationnistes

Golden, Colorado, et Montréal, Québec–(BUSINESS WIRE)–Molson Coors Beverage Company (« MCBC ») (NYSE : TAP, TAP.A; TSX : TPX.A, TPX.B) a annoncé aujourd’hui ses résultats pour le quatrième trimestre et pour l’ensemble de l’exercice 2022.

FAITS SAILLANTS FINANCIERS DU QUATRIÈME TRIMESTRE DE 2022

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 0,4 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 3,8 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers.
  • Chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base du volume financier en hausse de 7,8 pour cent sur la base des résultats déclarés et de 11,4 pour cent en devises constantes, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et à la composition favorable des marchés de consommation.
  • Perte avant impôt, selon les PCGR des États-Unis, de (564,1) millions de dollars, une baisse de 673,6 millions de dollars sur la base des résultats déclarés par rapport à un bénéfice à l’exercice précédent, résultat en grande partie attribuable à une charge partielle pour perte de valeur sans effet sur la trésorerie de 845 millions de dollars au titre du goodwill comptabilisée dans notre secteur Amériques au quatrième trimestre de 2022.
  • Bénéfice avant impôt sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 328,6 millions de dollars, soit une augmentation de 51,1 pour cent en devises constantes.

FAITS SAILLANTS FINANCIERS POUR L’ENSEMBLE DE L’EXERCICE 2022

  • Chiffre d’affaires net en hausse de 4,1 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 7,0 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers.
  • Chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base du volume financier en hausse de 6,3 pour cent sur la base des résultats déclarés et de 9,3 pour cent en devises constantes, résultat qui tient essentiellement à l’établissement de prix nets positifs et à la composition favorable des ventes découlant de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et de la composition favorable des marchés de consommation.
  • Perte avant impôt, selon les PCGR des États-Unis, de (62,5) millions de dollars, une baisse de 1 301,5 millions de dollars sur la base des résultats déclarés par rapport à un bénéfice à l’exercice précédent, résultat attribuable en grande partie à une charge partielle pour perte de valeur sans effet sur la trésorerie de 845 millions de dollars au titre du goodwill comptabilisée dans notre secteur Amériques et à des variations défavorables de 462 millions de dollars des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises.
  • Bénéfice avant impôt sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 1 104,8 millions de dollars, en hausse de 7,6 pour cent.
  • Perte nette attribuable à MCBC, selon les PCGR des États-Unis, de (175,3) millions de dollars, soit (0,81) dollar par action sur une base diluée. Bénéfice par action dilué sous-jacent (mesure non conforme aux PCGR) de 4,10 dollars, en baisse de 1,2 pour cent.
  • Flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation de 1 502,0 millions de dollars et flux de trésorerie disponibles sous-jacents (mesure non conforme aux PCGR) de 852,9 millions de dollars.
  • Réduction de la dette nette de 562,4 millions de dollars depuis le 31 décembre 2021.

POINTS DE VUE DU CHEF DE LA DIRECTION ET DE LA CHEF DE LA DIRECTION FINANCIÈRE

En 2022, Molson Coors a continué de réaliser des progrès à l’égard de son plan de revitalisation et a affiché une croissance solide du chiffre d’affaires et du résultat net, tout en faisant face à un contexte macroéconomique difficile. Depuis l’annonce du plan de revitalisation en 2019, Molson Coors a accompli d’incroyables progrès, et la stratégie commence à donner des résultats. Au sein de nos marchés mondiaux, la performance de nos robustes marques principales connait un nouvel élan; aux États-Unis, la Coors Light et la Miller Lite affichent leur plus solide rendement combiné en dollars au chapitre de la part de marché pour un exercice complet depuis une décennie. Au Canada, la Molson Canadian a augmenté sa quote-part dans l’industrie pour l’exercice complet, et au Royaume-Uni, la Carling continue d’être la marque numéro un sur le marché. La Société a poursuivi la transformation dynamique de son portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, non seulement grâce aux sodas alcoolisés, mais aussi avec la Simply Spiked Lemonade aux États-Unis et avec la Madri au Royaume-Uni, qui est devenue une de nos cinq principales marques de qualité supérieure en importance à l’échelle mondiale. En outre, au quatrième trimestre, les quatre principales marques à prix modiques de Molson Coors aux États-Unis ont affiché, sur une base combinée, une croissance de leur part en dollars dans l’industrie.

Malgré l’incertitude entourant le contexte macroéconomique à court terme, nous sommes d’avis que Molson Coors est en bonne position pour réussir à long terme. La vigueur des marques de la Société, conjuguée aux investissements continus au titre de la commercialisation et des capacités opérationnelles, constituent de solides assises pour une croissance continue en 2023 et par la suite.

Déclaration de M. Gavin Hattersley, président et chef de la direction :

« En 2022, Molson Coors a affiché des résultats solides pour l’exercice, qui ont surpassé nos indications en ce qui concerne le chiffre d’affaires, et y ont été conformes en ce qui concerne notre résultat net pour l’exercice complet. Nos activités sont plus saines aujourd’hui qu’elles ne l’ont été depuis plusieurs années, et notre trajectoire est solide. Nous avons affiché une croissance du chiffre d’affaires en devises constantes pour un septième trimestre consécutif, grâce à la force de nos marques principales et à la croissance de notre portefeuille de marques de qualité supérieure. Nous sommes d’avis que nos résultats de 2022 ne sont ni une exception ni un événement isolé, mais le fruit de trois ans de travail dans le cadre de notre plan de revitalisation. Il s’agit d’une étape importante de notre parcours vers l’atteinte d’une croissance durable, année après année. »

Déclaration de Mme Tracey Joubert, chef de la direction financière :

« Nous sommes fiers de ce que nous avons accompli en 2022, particulièrement lorsque nous tenons compte des défis posés par l’inflation et le contexte dans lequel nous exerçons nos activités. Même si nous nous attendons à ce que ces obstacles continuent d’avoir une incidence sur nous et sur notre industrie en 2023, nous publions des indications pour l’exercice qui prévoient une croissance continue, des investissements prudents dans la santé à long terme de l’entreprise et un rendement en trésorerie pour les actionnaires. »

CONSOLIDATED PERFORMANCE – FOURTH QUARTER AND FULL YEAR 2022

 

For the three months ended

($ in millions, except per share data) (Unaudited)

December 31,

2022

 

December 31,

2021

 

Reported

Increase

(Decrease)

 

Foreign

Exchange

Impact

 

Constant

Currency

Increase

(Decrease)(1)

Net sales

$

2,629.5

 

 

$

2,619.2

 

0.4

%

 

$

(89.1

)

 

3.8

%

U.S. GAAP income (loss) before income taxes

$

(564.1

)

 

$

109.5

 

N/M

 

 

$

9.2

 

 

N/M

 

Underlying income (loss) before income taxes(1)

$

328.6

 

 

$

215.5

 

52.5

%

 

$

2.9

 

 

51.1

%

U.S. GAAP net income (loss)(2)

$

(590.5

)

 

$

80.0

 

N/M

 

 

 

 

 

Per diluted share

$

(2.73

)

 

$

0.37

 

N/M

 

 

 

 

 

Underlying net income (loss)(1)

$

281.9

 

 

$

176.2

 

60.0

%

 

 

 

 

Per diluted share(3)

$

1.30

 

 

$

0.81

 

60.5

%

 

 

 

 

N/M = Not meaningful

 

For the years ended

($ in millions, except per share data) (Unaudited)

December 31,

2022

 

December 31,

2021

 

Reported

Increase

(Decrease)

 

Foreign

Exchange

Impact

 

Constant

Currency

Increase

(Decrease)(1)

Net sales

$ 10,701.0

 

$ 10,279.7

 

4.1 %

 

$ (298.0)

 

7.0 %

U.S. GAAP income (loss) before income taxes

$ (62.5)

 

$ 1,239.0

 

N/M

 

$ (15.1)

 

N/M

Underlying income (loss) before income taxes(1)

$ 1,104.8

 

$ 1,049.5

 

5.3 %

 

$ (24.0)

 

7.6 %

U.S. GAAP net income (loss)(2)

$ (175.3)

 

$ 1,005.7

 

N/M

 

 

 

 

Per diluted share

$ (0.81)

 

$ 4.62

 

N/M

 

 

 

 

Underlying net income (loss)(1)

$ 892.6

 

$ 902.1

 

(1.1) %

 

 

 

 

Per diluted share(3)

$ 4.10

 

$ 4.15

 

(1.2) %

 

 

 

 

N/M = Not meaningful

(1)

Represents income (loss) before income taxes and net income (loss) attributable to MCBC adjusted for non-GAAP items. See Appendix for definitions and reconciliations of non-GAAP financial measures including constant currency.

(2)

Net income (loss) attributable to MCBC.

(3)

Underlying net income (loss) attributable to MCBC per diluted share for the three months and year ended December 31, 2022 were based on diluted shares of 217.4 million and 217.7 million, respectively. The underlying diluted share count includes incremental dilutive shares, using the treasury stock method, which are added to average shares outstanding.

NET SALES DRIVERS

 

For the three months ended December 31, 2022

 

Reported

 

 

Percent change versus comparable prior year period

Financial

Volume

 

Price and

Sales Mix

 

Currency

 

Net Sales

 

Net Sales per

hectoliter

(financial

volume basis in

constant currency)

 

Brand Volume

Consolidated

(6.9) %

 

10.7 %

 

(3.4) %

 

0.4 %

 

11.4 %

 

(5.2) %

Americas

(10.5) %

 

10.9 %

 

(1.1) %

 

(0.7) %

 

12.1 %

 

(6.6) %

EMEA&APAC

4.7 %

 

15.6 %

 

(14.1) %

 

6.2 %

 

14.9 %

 

(1.0) %

 

For the year ended December 31, 2022

 

Reported

 

 

Percent change versus comparable prior year period

Financial

Volume

 

Price and

Sales Mix

 

Currency

 

Net Sales

 

Net Sales per

hectoliter

(financial

volume basis in

constant currency)

 

Brand Volume

Consolidated

(2.1) %

 

9.1 %

 

(2.9) %

 

4.1 %

 

9.3 %

 

(2.0) %

Americas

(5.4) %

 

8.6 %

 

(0.5) %

 

2.7 %

 

9.1 %

 

(3.3) %

EMEA&APAC

8.1 %

 

17.0 %

 

(13.8) %

 

11.3 %

 

15.7 %

 

1.8 %

PRINCIPAUX RÉSULTATS TRIMESTRIELS CONSOLIDÉS (PAR RAPPORT AUX RÉSULTATS DU QUATRIÈME TRIMESTRE DE 2021)

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 0,4 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 3,8 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers. Les volumes financiers ont diminué de 6,9 pour cent, principalement en raison de la baisse des volumes liés aux marques dans le secteur Amériques et de la prise en compte de la reconstitution des stocks des distributeurs américains à l’exercice précédent, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des volumes financiers au sein de notre secteur EMOAAP. Les volumes liés aux marques ont diminué de 5,2 pour cent en raison d’une baisse de 6,6 pour cent dans le secteur Amériques attribuable à la performance de l’industrie plus modérée.

    Chiffre d’affaires net par hectolitre en devises constantes sur la base du volume financier en hausse de 11,4 pour cent, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes attribuable à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et à la composition favorable des marchés de consommation.

  • Coût des produits vendus par hectolitre : en hausse de 3,9 pour cent sur la base des résultats déclarés, surtout en raison de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, de changements dans la composition des marques, principalement à la suite de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, et de l’effet de levier négatif lié à la diminution des volumes, facteurs contrebalancés en partie par l’incidence favorable des variations du change, des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises et les programmes de réduction des coûts. Coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent : en hausse de 11,5 pour cent en devises constantes, résultat qui tient essentiellement à la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, à l’incidence sur la composition des marques de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et à l’effet de levier négatif lié à la diminution des volumes, facteurs neutralisés en partie par les programmes de réduction des coûts.
  • Frais de commercialisation, généraux et d’administration : en baisse de 13,5 pour cent sur la base des résultats déclarés, en raison de la prise en compte de frais de commercialisation plus élevés à l’exercice précédent et des variations favorables du change. Frais de commercialisation, généraux et d’administration sous-jacents : en baisse de 9,9 pour cent en devises constantes.
  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : la perte avant impôt selon les PCGR des États-Unis s’est chiffrée à (564,1) millions de dollars, une baisse de 673,6 millions de dollars sur la base des résultats déclarés par rapport à un bénéfice à l’exercice précédent, ce qui s’explique surtout par une charge partielle pour perte de valeur de 845 millions de dollars sans effet sur la trésorerie au titre du goodwill comptabilisée dans notre secteur Amériques, la baisse des volumes financiers et la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, facteurs contrebalancés en partie par l’établissement de prix nets positifs, la diminution des frais de commercialisation, généraux et d’administration, les variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises et la composition favorable des ventes. La charge partielle pour perte de valeur au titre du goodwill comptabilisée dans notre secteur Amériques est essentiellement attribuable aux facteurs macroéconomiques, y compris la hausse récente des taux d’intérêt, les pressions inflationnistes à court et moyen termes et le ralentissement de la performance de l’industrie brassicole sur certains marchés dans lesquels nous exerçons nos activités.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : le bénéfice avant impôt sous-jacent s’est chiffré à 328,6 millions de dollars, en hausse de 51,1 pour cent en devises constantes, en raison essentiellement de l’établissement de prix nets positifs, de la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par la baisse des volumes financiers et la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie.

PRINCIPAUX RÉSULTATS TRIMESTRIELS DES SECTEURS D’EXPLOITATION (PAR RAPPORT AUX RÉSULTATS DU QUATRIÈME TRIMESTRE DE 2021)

Secteur Amériques

  • Chiffre d’affaires net : en baisse de 0,7 pour cent sur la base des résultats déclarés, et en hausse de 0,4 pour cent en devises constantes. La hausse en devises constantes est essentiellement attribuable à l’établissement de prix nets positifs et à la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers. Les volumes financiers ont diminué de 10,5 pour cent en raison d’une diminution de 11,2 pour cent des livraisons aux États-Unis, découlant de la baisse des volumes liés aux marques, de la prise en compte de la reconstitution des stocks des distributeurs à l’exercice précédent ainsi que de la baisse des livraisons au Canada. Les volumes liés aux marques ont diminué de 6,6 pour cent, incluant une baisse de 6,8 pour cent aux États-Unis, en raison de la performance de l’industrie plus modérée, de l’incidence du fait que le trimestre comportait un jour de bourse de moins, et des variations des volumes découlant des hausses de prix connues au quatrième trimestre. Les volumes liés aux marques au Canada ont diminué de 5,0 pour cent en raison de la performance de l’industrie brassicole plus modérée, et les volumes liés aux marques en Amérique latine ont diminué de 6,9 pour cent.

    Le chiffre d’affaires net par hectolitre en devises constantes sur la base du volume financier a augmenté de 12,1 pour cent, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes.

  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : la perte avant impôt selon les PCGR des États-Unis s’est chiffrée à (499,2) millions de dollars, une baisse de 757,6 millions de dollars sur la base des résultats déclarés par rapport à un bénéfice à l’exercice précédent, ce qui s’explique surtout par une charge partielle pour perte de valeur de 845 millions de dollars sans effet sur la trésorerie au titre du goodwill comptabilisée au quatrième trimestre de 2022, la baisse des volumes financiers et la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, facteurs contrebalancés en partie par l’établissement de prix nets positifs, la diminution des frais de commercialisation, généraux et d’administration et la composition favorable des ventes. La diminution des frais de commercialisation, généraux et d’administration tient à la prise en compte de frais de commercialisation plus élevés à l’exercice précédent.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : le bénéfice avant impôt sous-jacent s’est chiffré à 346,5 millions de dollars, en hausse de 29,8 pour cent en devises constantes, en raison essentiellement de l’établissement de prix nets positifs, de la baisse des frais de commercialisation, généraux et d’administration et de la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par la baisse des volumes financiers et la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie.

Secteur EMOAAP

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 6,2 pour cent sur la base des résultats déclarés, et de 20,3 pour cent en devises constantes, en raison principalement de la hausse des volumes financiers, de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes. Les volumes financiers ont augmenté de 4,7 pour cent, surtout en raison de la croissance de notre portefeuille de marques de qualité supérieure, y compris la prise en compte des restrictions touchant les établissements de consommation sur place en vigueur au dernier trimestre de 2021, particulièrement au Royaume-Uni. Les volumes liés aux marques ont diminué de 1,0 pour cent, ce qui tient principalement au fait que les marchés ont été touchés par le conflit entre la Russie et l’Ukraine, facteur contrebalancé en partie par une augmentation des volumes attribuable à la levée des restrictions liées à la pandémie qui étaient en vigueur à l’exercice précédent.

    Le chiffre d’affaires net par hectolitre en devises constantes sur la base du volume financier a augmenté de 14,9 pour cent, résultat qui s’explique essentiellement par l’établissement de prix nets positifs et par la composition favorable des ventes attribuables à la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et à la composition favorable des marchés de consommation, y compris la prise en compte des restrictions touchant les établissements de consommation sur place en vigueur au dernier trimestre de 2021.

  • Bénéfice (perte) avant impôt selon les PCGR des États-Unis : le bénéfice avant impôt selon les PCGR des États-Unis s’est chiffré à 12,4 millions de dollars, une hausse de 29,2 millions de dollars sur la base des résultats déclarés par rapport à une perte à l’exercice précédent, ce qui s’explique surtout par la hausse des volumes financiers, l’établissement de prix nets positifs et la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie.
  • Bénéfice (perte) avant impôt sous-jacent : le bénéfice avant impôt sous-jacent s’est chiffré à 28,1 millions de dollars, une hausse de 23,7 millions de dollars en devises constantes par rapport à l’exercice précédent, ce qui s’explique surtout par la hausse des volumes financiers, l’établissement de prix nets positifs et la composition favorable des ventes, facteurs contrebalancés en partie par la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie.

FAITS SAILLANTS CONSOLIDÉS POUR L’ENSEMBLE DE L’EXERCICE (PAR RAPPORT AUX RÉSULTATS DE 2021)

  • Chiffre d’affaires net : en hausse de 4,1 pour cent sur la base des résultats déclarés et de 7,0 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes découlant de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et de la composition favorable des marchés de consommation, facteurs contrebalancés en partie par une baisse des volumes financiers. Les volumes financiers ont diminué de 2,1 pour cent, principalement en raison de la performance de l’industrie plus modérée dans le secteur Amériques, de la prise en compte de la reconstitution des stocks des distributeurs américains à l’exercice précédent et de l’incidence de la grève des travailleurs au Québec, facteurs contrebalancés en partie par la croissance en Europe occidentale à la suite d’une diminution des restrictions liées à la pandémie de coronavirus.

    Le chiffre d’affaires net par hectolitre sur la base du volume financier a augmenté de 9,3 pour cent en devises constantes, en raison principalement de l’établissement de prix nets positifs et de la composition favorable des ventes découlant de la composition favorable des marques découlant de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure et de la composition favorable des marchés de consommation.

  • Coût des produits vendus par hectolitre : en hausse de 15,6 pour cent sur la base des résultats déclarés, surtout en raison d’une augmentation de 462 millions de dollars découlant des variations des profits ou pertes latents évalués à la valeur de marché liés à nos positions sur les marchés des marchandises, de la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, de l’incidence sur la composition des marques de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, de l’augmentation des volumes liés aux marques distribuées et de l’effet de levier négatif lié à la diminution des volumes, facteurs contrebalancés par l’incidence favorable des variations du change, la réduction de la dotation aux amortissements et les programmes de réduction des coûts. Coût des produits vendus par hectolitre sous-jacent : en hausse de 11,0 pour cent en devises constantes, résultat qui tient essentiellement à la hausse des coûts, principalement ceux des matériaux, du transport et de l’énergie, à l’incidence sur la composition des marques de la transformation du portefeuille en faveur des marques de qualité supérieure, à l’augmentation des volumes liés aux marques distribuées et à l’effet de levier négatif lié à la diminution des volumes, facteurs neutralisés en partie par la réduction de la dotation aux amortissements et les programmes de réduction des coûts.

Contacts

Relations avec les investisseurs

Greg Tierney, 414 931-3303

Traci Mangini, 415 308-0151

Médias
Rachel Dickens, 314 452-9673

Read full story here

En savoir plus

RÉSULTATS DE LA BANQUE HSBC CANADA POUR L’EXERCICE ET LE QUATRIÈME TRIMESTRE 2022

Bénéfice avant la charge d’impôt record1 et total du résultat d’exploitation le plus élevé de la décennie

VANCOUVER, Colombie-Britannique–(BUSINESS WIRE)–Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, au sujet des résultats :

« En 2022, le total du résultat d’exploitation s’est élevé à 2,5 G$, du jamais vu au cours de la dernière décennie, et le bénéfice avant la charge d’impôt s’est établi à 1,1 G$, soit le plus important de notre histoire1. Ces résultats ont été possibles grâce à une solide performance de l’ensemble de nos secteurs d’activités puisque nos clients ont opté pour notre offre unique de présence locale et de liens à l’échelle internationale.

Dans le secteur Services aux entreprises, les prêts et les acceptations ont crû de 16 %. Les soldes des dépôts, les activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise et les paiements au pays et à l’échelle internationale ont également crû. Dans le secteur Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, les volumes des prêts et les soldes des dépôts ont connu une forte hausse, alors que nous avons étendu notre bassin de clientèle en mettant un accent stratégique sur les clients à l’échelle internationale. Dans le secteur Services bancaires internationaux, la croissance des activités au chapitre des transactions bancaires est demeurée solide. Les secteurs Services bancaires internationaux et Marchés et Services liés aux valeurs mobilières ont bénéficié des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice, tout en devant composer avec l’incidence des défis posés par les conditions de marché.

Je suis immensément fière de notre équipe et je tiens à la remercier pour tout ce qu’elle a accompli au cours du dernier exercice. »

Faits saillants2 de la performance financière au quatrième trimestre de 2022 (par rapport au quatrième trimestre de 2021)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a atteint 292 M$, ce qui représente une augmentation de 65 M$, ou 29 %, des augmentations ayant été enregistrées dans tous les secteurs d’activité.
  • Le total du résultat d’exploitation s’est élevé à 714 M$, en hausse de 23 %, le plus élevé jamais enregistré3. Les marges d’intérêts nettes se sont améliorées, et les activités de prêt et de négociation et les activités des clients se sont intensifiées, alors que les activités de prise ferme ont fléchi.
  • Les pertes de crédit attendues ont représenté une charge de 28 M$, qui s’explique avant tout par la variation défavorable des variables macroéconomiques prospectives, comparativement à une charge de 8 M$ pour l’exercice précédent, avait été soutenue positivement par des reprises liées aux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie.
  • Le total des charges d’exploitation a augmenté de 50 M$, ou 15 %, principalement en raison de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente visant la vente de la Banque HSBC Canada4. Nos investissements continus visant à faire croître nos activités et à soutenir des projets de réglementation ont également contribué à l’augmentation.

Faits saillants2 de la performance financière de 2022 (par rapport à 2021)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 1,1 G$, en hausse de 128 M$, ou 13 %, le plus élevé jamais enregistré1. Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 2,5 G$, en hausse de 15 %, partiellement contrebalancé par une charge au titre des PCA et une hausse de 3,8 % du total des charges d’exploitation.
  • En 2022, tous nos secteurs d’activité ont été rentables, des augmentations du bénéfice avant la charge d’impôt ayant été enregistrées dans trois de nos quatre secteurs d’activité.
  • Le total de l’actif a été de 128,3 G$, ce qui traduit une hausse de 8,4 G$, ou 7 %.
  • Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 15 s’est situé à 11,6 %, en baisse de 240 points de base par rapport à celui de 14,0 % en 2021.
  • Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire5 a atteint 15,0 %, en hausse de 330 points de base par rapport aux 11,7 % enregistrés en 2021.
  1. Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour l’exercice record, surpassant le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat le plus élevé enregistré précédemment en 2012.
  2. Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.
  3. Total du résultat d’exploitation trimestriel record, surpassant le total du résultat d’exploitation trimestriel le plus élevé enregistré précédemment au cours du deuxième trimestre de 2010.
  4. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.
  5. Pour plus de précisions au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter aux rubriques « Utilisation de mesures financières supplémentaires » et « Faits saillants financiers » du présent document.

Analyse des résultats financiers consolidés du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 20221

Les produits d’intérêts nets se sont chiffrés à 479 M$ pour le trimestre, soit une augmentation de 156 M$, ou 48 %, et à 1 634 M$ pour l’exercice, ce qui représente une hausse de 408 M$, ou 33 %. Ces augmentations ont résulté de l’incidence des hausses de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice et de l’amélioration de notre bilan pour tous les secteurs d’activité, la moyenne des prêts et avances à des clients ayant augmenté de 12 %.

Les produits de commissions nets se sont établis à 192 M$, une baisse de 13 M$, ou 6,3 %, pour le trimestre. Cette diminution s’explique essentiellement par la baisse des commissions de prise ferme liées aux Services bancaires internationaux et le recul des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, en raison des conditions de marché difficiles. Ces baisses ont été contrées en partie par les produits de commissions nets plus élevées, du fait de l’intensification des activités au chapitre des cartes et des transactions des secteurs Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et Services aux entreprises et de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises.

Pour l’exercice, les produits de commissions nets se sont établis à 779 M$, une baisse de 15 M$, ou 1,9 %, ce qui s’explique principalement par la diminution des commissions générées par les services‑conseils et des commissions de prise ferme des Services bancaires internationaux en raison surtout des conditions de marché difficiles. Ces diminutions ont été contrées en partie par les produits de commissions nets plus élevées, du fait de l’intensification des activités au chapitre des cartes et des transactions des secteurs Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et Services aux entreprises et de l’augmentation des frais liés aux remises et de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction pour le trimestre se sont établis à 33 M$, en hausse de 5 M$, ou 18 %. La hausse découle surtout d’une augmentation des produits d’intérêts nets sur les activités de négociation liées au courtage en ligne attribuable à la montée des taux d’intérêt. Cette hausse a été annulée en partie par la baisse des produits tirés des activités de négociation. Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction se sont établis à 99 M$ pour l’exercice, en baisse de 13 M$, ou 12 %. La baisse est imputable à la diminution des activités de négociation et d’une variation défavorable de la valeur d’une facilité de prêt consortiale. Ces baisses ont été contrebalancées en partie par la hausse des produits d’intérêts nets sur les activités de négociation liées au courtage en ligne attribuable à la montée des taux d’intérêt.

Les autres éléments de produits se sont établis à 10 M$ pour le trimestre, ce qui représente un fléchissement de 13 M$, ou 57 %, et se sont chiffrés à 36 M$ pour l’exercice, ayant chuté de 47 M$, ou 57 %. Ces diminutions découlent de la baisse des profits liés aux placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d’actifs liquides de la banque.

Les PCA pour le trimestre ont consisté en une charge de 28 M$ qui découle avant tout des variations défavorables continues des variables macroéconomiques prospectives liées aux prêts productifs et d’une charge nette liée aux prêts non productifs. La charge de 8 M$ constatée au trimestre correspondant de l’exercice précédent est essentiellement associée à une perte de valeur liée à un prêt productif, ce qui a été annulé en partie par des reprises liées aux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie.

Pour l’exercice, les PCA ont représenté une charge de 110 M$, ce qui s’explique par une charge importante au titre des pertes de crédit attendues sur un prêt de stade 3 d’un montant élevé qui a été sorti du bilan au cours du premier semestre de 2022. La variation des pertes de crédit attendues au titre des prêts productifs a donné lieu à une charge nette découlant de la variation défavorable des variables macroéconomiques prospectives au cours des neuf derniers moins de 2022, ce qui a été partiellement contrebalancé par une reprise sur des corrections de valeur attribuables à la COVID-19 liée aux prêts productifs au premier trimestre. La reprise de 45 M$ constatée en 2021 avait résulté surtout de l’amélioration des variables macroéconomiques prospectives.

Le total des charges d’exploitation s’est établi à 394 M$ pour le trimestre, du fait d’une poussée de 50 M$, ou 15 %, et à 1 358 M$ pour l’exercice, en hausse 50 M$, ou 3,8 %. Les augmentations découlent essentiellement de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente visant la vente de la Banque HSBC Canada2 et des investissements continus afin de faire croître nos activités et de soutenir des projets de réglementation. Ces facteurs ont été en partie contrebalancés par une baisse des charges puisque des coûts avaient été engagés un an plus tôt afin d’instaurer un mode de travail hybride.

Charge d’impôt sur le résultat : Le taux d’imposition effectif pour le trimestre a été de 26,7 %, comparativement à 17,6 % pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’écart entre les taux d’imposition effectifs est imputable surtout à une diminution de notre charge d’impôt au quatrième trimestre de 2021. Le taux d’imposition effectif pour l’exercice a été de 26,7 %, contre 24,7 % pour 2021. Le taux d’imposition pour le trimestre et l’exercice à l’étude correspond au taux prévu par la loi applicable à la banque, ajusté pour tenir compte des passifs d’impôt additionnels.

  1. Comparaison du trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de la participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Évolution de la situation financière

Actif

Le total de l’actif s’est élevé à 128,3 G$ au 31 décembre 2022, en hausse de 8,4 G$, ou 7,0 %, par rapport à ce qu’il était au 31 décembre 2021. Cette hausse a découlé surtout d’une augmentation de 8,4 G$ des placements financiers et d’un accroissement de 4,8 G$ des prêts et avances par suite de la progression de 9 % des volumes liés aux clients, principalement des prêts aux entreprises et des prêts hypothécaires résidentiels. Les poussées de 3,4 G$ des dérivés, de 1,4 G$ des volumes des actifs détenus à des fins de transaction et de 1,4 G$ des autres actifs pris en compte dans les soldes des comptes de règlement servant à faciliter les transactions des clients ont également favorisé la hausse. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par une réduction de 7,6 G$ des soldes de trésorerie détenus dans la banque centrale et une baisse des prises en pension de 3,1 G$, car nous avons favorisé la croissance d’autres catégories d’actifs.

Passif

Le total du passif s’est chiffré à 122,4 G$ au 31 décembre 2022, en hausse de 9,4 G$, ou 8,3 %, par rapport à ce qu’il était au 31 décembre 2021. L’augmentation s’explique essentiellement par l’essor des dépôts des secteurs Services aux entreprises et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers qui ont contribué à un accroissement de 8,6 G$, ou 12 %, des comptes des clients. Les hausses des dérivés, des passifs détenus à des fins de transaction et des autres passifs correspondent à la variation des actifs dérivés, des actifs détenus à des fins de transaction et des autres actifs. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par la baisse des mises en pension de 3,6 G$, ce qui correspond à la variation enregistrée dans la catégorie d’actifs, prises en pension.

Capitaux propres

Le total des capitaux propres s’est établi à 5,9 G$ au 31 décembre 2022, ce qui signale une baisse de 1,0 G$, ou 14 %, par rapport au 31 décembre 2021. Le bénéfice après impôt de 0,8 G$ généré durant l’exercice a été neutralisé par les pertes nettes comptabilisées dans les autres éléments du résultat global de 0,7 G$. Les pertes nettes comptabilisées dans les autres éléments du résultat global comprennent des variations défavorables de 0,5 G$ des couvertures des flux de trésorerie et de 0,2 G$ des instruments d’emprunt à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global par suite d’un mouvement haussier de la courbe de rendement. La baisse des capitaux propres a également subi l’incidence d’une remise de capitaux propres ordinaires à la société mère de 0,6 G$ et des dividendes sur les actions ordinaires de 0,4 G$ qui ont été déclarés durant la période.

De façon générale, la banque est favorablement exposée à la hausse des taux d’intérêt grâce aux produits d’intérêts nets, bien qu’il y ait une incidence sur notre capital de base en raison des variations défavorables de la juste valeur des instruments détenus aux fins de la perception et de la vente et des dérivés désignés comme couvertures de flux de trésorerie, qui ont été comptabilisés dans les autres éléments du résultat global.

Avec le temps, ces variations défavorables prospectives devraient s’estomper à mesure que les instruments arriveront à échéance. Cependant, les instruments ne seront pas tous détenus jusqu’à l’échéance nécessairement. Les variations défavorables de la juste valeur des couvertures de flux de trésorerie devraient être atténuées par la hausse des produits d’intérêt sur les risques couverts si les taux d’intérêt demeurent à leur niveau actuel. La juste valeur négative diminuera au moment où les taux d’intérêt baisseront ou à mesure que les instruments approcheront de leur échéance.

Dividendes

Dividendes déclarés en 2022

Au cours de l’exercice, la banque a déclaré des dividendes d’un montant de 51 M$ sur les actions privilégiées de catégorie 1 de la Banque HSBC Canada et a versé ces dividendes, toutes séries confondues, conformément à leurs modalités. De plus, la banque a déclaré et versé des dividendes d’un montant de 380 M$ sur ses actions ordinaires au cours des trois premiers trimestres de 2022. Aucun dividende n’a été déclaré ni versé sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du quatrième trimestre de 2022.

Dividendes déclarés en 2023

Le 14 février 2023, la banque a déclaré, pour le premier trimestre de 2023, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1, dividendes qui seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 31 mars 2023 ou le premier jour ouvrable suivant, à l’actionnaire inscrit le 15 mars 2023.

Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le premier trimestre de 2023 ont été déclarés après le 31 décembre 2022, leur montant n’a pas été inscrit au passif du bilan de la banque. Pour le moment, aucun dividende n’a été déclaré sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du premier trimestre de 2023.

Résultats des secteurs d’activité pour l’exercice clos le 31 décembre 20221

Services aux entreprises (« SE »)

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 185 M$, ce qui traduit une hausse de 15 M$, ou 8,8 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat de l’exercice s’est établi à 713 M$, ayant bondi de 32 M$, ou 4,7 %. Cette augmentation découle essentiellement d’une hausse du résultat d’exploitation, neutralisée en partie par une variation défavorable des pertes de crédit attendues.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 316 M$, en hausse de 36 M$, ou 13 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est chiffré à 1,2 G$, en hausse de 156 M$, ou 15 %. Les SE ont conservé leur élan en 2022, les prêts et acceptations s’étant accrus de 5 G$, ou 16 %, au cours de l’exercice et les soldes des dépôts ayant augmenté de 9,7 % en regard de ceux enregistrés en 2021. Les produits d’intérêts nets se sont accrus en raison de l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du présent exercice et de l’accroissement des volumes. De même, les produits autres que d’intérêts ont progressé du fait des volumes des acceptations bancaires et des activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise et des paiements au pays et à l’échelle internationale plus élevés.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du trimestre et de l’exercice a atteint un nouveau sommet2. Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 106 M$, ce qui traduit une hausse de 73 M$, ou 221 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Pour l’exercice, il s’est chiffré à 314 M$, ce qui traduit une amélioration de 138 M$, ou 78 %. L’augmentation est imputable à l’amélioration du résultat d’exploitation dont il est fait mention ci-après et à la baisse des charges d’exploitation, facteur atténué par une hausse des pertes de crédit attendues.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 291 M$, en hausse de 76 M$, ou 35 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Pour l’exercice, GPSBP a enregistré un résultat d’exploitation record2 qui s’est établi à 1,0 G$, en hausse de 167 M$, ou 20 %. Cette hausse a découlé de la progression des volumes des prêts et des soldes des dépôts ainsi que de l’amélioration des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale. La hausse du total du résultat d’exploitation pour l’exercice a été partiellement contrebalancée par le recul des produits associés à la gestion de la trésorerie.

Services bancaires internationaux (« SBI »)

Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 61 M$, ce qui traduit une hausse de 27 M$, ou 79 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. L’augmentation est principalement imputable à l’amélioration du résultat d’exploitation dont il est fait mention ci-après. Pour l’exercice, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est chiffré à 131 M$, ce qui traduit une diminution de 12 M$, ou 8,4 %. La baisse découle essentiellement d’une variation défavorable des pertes de crédit attendues. Une légère hausse des charges a été compensée par une augmentation du total du résultat d’exploitation, comme il est mentionné ci-après.

Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 79 M$, en hausse de 26 M$, ou 49 %, par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Le total du résultat d’exploitation pour l’exercice s’est chiffré à 223 M$, en hausse de 3 M$, ou 1,4 %. La croissance des activités au chapitre des transactions bancaires est demeurée solide, ce qui s’explique en partie par l’élargissement des écarts et la hausse des volumes. Ce facteur a été neutralisé par la baisse des produits tirés des commissions générées par le marché des capitaux et les services-conseils, principalement en raison des conditions de marché difficiles et du rendement élevé enregistré un an plus tôt. Pour l’exercice, la baisse a également été accentuée par une variation défavorable de la valeur d’une facilité de prêt consortiale au cours du deuxième trimestre de 2022.

Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)

Le bénéfice avant l’impôt sur le résultat pour le trimestre s’est établi à 9 M$, pour une amélioration de 2 M$, ou 29 %, et à 53 M$ pour l’exercice, pour une hausse de 15 M$, ou 39 %, essentiellement en raison de l’augmentation des produits d’intérêts nets.

Le total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’est établi à 21 M$, en baisse de 1 M$, ou 4,5 %, principalement en raison de la diminution des activités de négociation. Le total du résultat d’exploitation de l’exercice s’est fixé à 104 M$, en hausse de 14 M$, ou 16 %, surtout en raison des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice.

Centre général3

La perte avant l’impôt sur le résultat a été de 69 M$ pour le trimestre et de 131 M$ pour l’exercice, ce qui a donné lieu à une baisse du bénéfice avant impôt de 52 M$ et de 45 M$, respectivement, pour le trimestre et pour l’exercice. Cette baisse s’explique principalement par une augmentation des charges d’exploitation en raison de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation, à la suite de l’entente de la vente de la Banque HSBC du Canada et des investissements continus visant à soutenir les activités. Ces hausses des charges ont été en partie contrebalancées par une baisse des charges puisque des coûts avaient été engagés un an plus tôt afin d’instaurer un mode de travail hybride. La baisse des produits d’exploitation a également contribué à la diminution.

  1. Comparaison de l’exercice clos le 31 décembre 2022 et de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Record annuel depuis la formation de GPSBP (antérieurement SBDGP) en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011.
  3. Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité.

Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada1

Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada (et ses filiales) et des créances subordonnées détenues par le Groupe HSBC à la Banque Royale du Canada (« RBC ») pour un prix d’achat de 13,5 G$. Sous réserve de l’examen et de l’approbation des autorités réglementaires et du gouvernement, la conclusion de la vente est prévue d’ici la fin de 2023.

Il y aura une période de transition afin d’intégrer de façon efficace les activités de la Banque HSBC Canada au sein de la RBC et nous entendons continuer à répondre aux besoins bancaires de nos clients durant cette période.

L’entente visant la vente fait suite à un examen stratégique de la Banque HSBC Canada par le Groupe HSBC.

Contacts

Demandes des médias :
Sharon Wilks
647-388-1202
sharon_wilks@hsbc.ca

Caroline Creighton
416-868-8282
caroline.x.creighton@hsbc.ca

Demandes des investisseurs :
investor_relations@hsbc.ca

Read full story here

En savoir plus

La deuxième saison de Sailing into the Future. Together est sur le point de commencer

13000 milles à parcourir avec le Class40 IBSA, des Caraïbes à la Fastnet

  • Un calendrier chargé et exigeant attend Alberto Bona et le Class40 IBSA en 2023. Après la Route du Rhum, le programme comprend la participation à six des régates océaniques les plus réputées et les plus difficiles, dont la Transat Jacques Vabre
  • Alberto Bona est prêt à mettre les voiles, et sera assisté dans toutes les courses par le skipper espagnol Pablo Santurde del Arco: « Nous sommes prêts pour relever ces défis« 

LUGANO, Suisse–(BUSINESS WIRE)–Six régates, la volonté de se surpasser, de continuer à penser à la durabilité, d’améliorer le travail d’équipe: avec le skipper Alberto Bona, le projet Sailing into the Future. Together d’IBSA reprend le large pour sa deuxième saison. Ce sera une année extrêmement exigeante, avec plus de 13000 milles à naviguer entre océan et mers épiques: de l’Atlantique au golfe de Gascogne, en passant par la Manche, la mer Celtique et la Méditerranée.


« L’année 2022 a été passionnante », se souvient Alberto Bona. « Les six premiers mois ont été consacrés à la préparation de notre bateau, aux recherches, à l’entraînement à la fois pour moi-même et pour une équipe compétente; on est ensuite passé à la Route du Rhum, merveilleuse, enrichissante, difficile et incroyablement exigeante; une régate qui m’a laissé avec un formidable désir de continuer, avec l’envie de naviguer sur d’autres océans et d’autres mers. Je suis prêt, les nouveaux défis sont nombreux, tout comme les milles à parcourir; beaucoup de travail reste à faire pour que le bateau soit toujours dans ses meilleures conditions« .

« Nous sommes prêts pour une nouvelle saison sportive, qui — tout en étant très exigeante — ne manquera pas de nous procurer de grandes émotions« , déclare Giorgio Pisani, vice-président, Europe du Sud, IBSA, et chef du projet Sailing into the Future. Together. « La Route du Rhum a été un banc d’essai crucial, une expérience qui nous a permis de tester non seulement le nouveau Class40 IBSA, mais aussi toute notre équipe. Nous commençons maintenant 2023 avec encore plus d’enthousiasme pour les compétitions qui attendent Alberto et ses nouveaux membres d’équipage, unis et déterminés à progresser sans relâche« .

Durant la deuxième saison, le Class40 IBSA traversera l’Atlantique à trois reprises, tout en faisant l’expérience d’une nouvelle formation, avec la constitution d’un équipage. « Le calendrier de cette année comprend une série de courses très éprouvantes, conçues pour une équipe, plutôt que pour la voile en solo. Ce sera un défi dans un défi, et nous aurons l’occasion de réfléchir, ensemble avec IBSA, sur de nombreux nouveaux sujets, au-delà de la durabilité, du travail d’équipe, de la préparation et de la gestion de l’équipage« , explique Bona.

Le premier rendez-vous est le RORC 600, qui débutera le 20 février: un extraordinaire « slalom » de 600 milles entre les îles des Caraïbes, avec départ et arrivée à Antigua. Ce sera le début officiel du Class40 IBSA dans une régate avec équipage, qui verra Alberto Bona à bord au côté de son ami et ancien adversaire Luke Berry, le propriétaire français d’un twin Class40, le projet phare du Mach 5 de Sam Manuard. En plus d’être l’ami d’Alberto, Berry est un skipper expérimenté dans cette catégorie et, dans l’esprit de partage qui anime les marins océaniques, et sera le protagoniste du cockpit de son ancien adversaire. « Ensemble« , clarifie Bona, « nous ferons ce qu’il faut pour que le bateau exprime tout son potentiel« . À bord du Class40 IBSA pour le RORC 600 Caribbean se trouveront également le chef d’équipe d’Alberto, Luca Bertacchi, et le skipper espagnol Pablo Santurde del Arco, qui fera ses débuts et qui sera aussi membre de l’équipe dans les autres régates de la saison. Santurde a une grande expérience de la voile et a remporté plusieurs victoires dans le championnat de Class40 en double. « Je travaille avec Pablo depuis des mois« , poursuit Bona, « et je pense qu’il est un excellent choix pour moi« .

Dans un souci de durabilité — et de parcourir des milles – le Class40 IBSA reviendra en Europe pour participer à l’Atlantic Challenge, une régate en deux étapes Guadeloupe-Horta (Açores)-La Rochelle: 3500 milles de navigation qui permettront à l’embarcation et à l’équipe de revenir en Europe et dans le berceau d’IBSA, en Bretagne. Avec le départ de la première étape le 1er avril et l’arrivée prévue après une vingtaine de jours de navigation, le Défi Atlantique est le premier banc d’essai océanique de 2023 pour l’équipe IBSA, qui participera à la régate avec un équipage de trois personnes: outre Alberto et Pablo, le troisième skipper est en cours de sélection.

En juin, le Class40 IBSA sera le protagoniste de l’une des régates les plus complexes et fascinantes pour les marins épris du Nord: la Normandy Channel, une régate de 1000 milles en double — avec Alberto et Pablo à bord — avec départ et arrivée à Caen; un itinéraire entre les phares, les caps et les îles de la mer Celtique. Ce sera la première rencontre entre le bateau et le Fastnet Rock cette année, mais l’embarcation ira encore plus au nord jusqu’à la côte irlandaise, le long du Canal Saint-Georges, où elle trouvera des vues à couper le souffle, des conditions difficiles et une riche cartographie.

Suite à un programme extrêmement ambitieux, en juillet IBSA retournera tout d’abord à l’océan, avant d’affronter la légende: après avoir transféré le bateau sur la côte atlantique bretonne, Alberto Bona et Pablo Santurde participeront fin juin à la course Le Sables-Horta-Le Sables, 3000 milles supplémentaires d’océan, cette fois-ci en double, avec deux étapes à couvrir en environ deux semaines. Mais ce n’est pas tout, car seulement une semaine plus tard, Alberto, Pablo et un troisième membre d’équipage participeront à la légendaire Rolex Fastnet Race, l’une des régates les plus difficiles, les plus emblématiques et les plus appréciées par les marins de toute l’Europe, au départ de Cowes, sur l’île de Wight, en Grande-Bretagne, et arrivant à Cherbourg-en-Cotentin, en France, après avoir contourné (pour la deuxième fois cette saison pour le Class40 IBSA) le phare légendaire de la côte irlandaise.

La fin de l’été sera consacrée à l’entraînement et aux régates d’essai, et verra la présence d’Alberto Bona aux deux principaux événements nautiques italiens: le Genoa Boat Show et la Barcolana, en vue du dernier grand événement qui l’attend en 2023: en effet, la seconde moitié de l’année sera entièrement dédiée à la Transat Jacques Vabre, le grand objectif de la saison, un événement tant attendu par tous les marins océaniques européens. Au départ du Havre le 29 octobre, la régate se terminera en Martinique après 4250 milles de navigation avec un équipage de deux personnes.

« Ce sera une saison pleine de défis, que je qualifierais d’herculéenne, en n’oubliant pas que nous irons loin au nord à deux reprises. Beaucoup de marins de l’océan feront les mêmes choix que j’ai fait en termes de calendrier, et il y aura donc plus d’opportunités de compétition et d’amélioration en vue de la Transat Jacques Vabre. La Route du Rhum m’a laissé une formidable détermination et un profond désir de m’améliorer. Ces derniers mois, nous avons beaucoup travaillé sur le bateau, les voiles, l’électronique. Nous apporterons d’autres améliorations et nous travaillerons tous dur pour avoir une équipe qui fonctionne bien, caractérisée par des arrivées notables, par rapport à la saison dernière. 13000 milles théoriques, c’est beaucoup à bord d’un Class 40, mais je n’ai qu’une chose à dire: j’ai une envie incroyable de prendre le départ et de faire naviguer le Class 40 IBSA« , conclut Bona.

***

LE PROJET: Sailing into the Future. Together a commencé en janvier 2022, le partenariat entre IBSA et Alberto Bona est né sur des bases et des valeurs communes et vise à utiliser la voile comme véhicule de communication d’entreprise, vers le marché et le monde nautique. L’ingéniosité, le courage, l’innovation et la responsabilité sont des éléments qui unissent IBSA et Alberto, et le défi océanique, outre la compétition sportive, représente métaphoriquement l’histoire, la philosophie et la vision de l’entreprise, toujours tournée vers l’avenir et faisant partie d’un parcours qui rapproche toujours plus IBSA du thème de la durabilité environnementale et sociale, de l’inclusion et de l’intégration. La Route du Rhum était la première étape du programme de trois ans « Sailing Into The Future. Together« , que la société pharmaceutique suisse a lancé avec Bona et qui continue en 2023 avec un calendrier chargé de régates, notamment la Rolex Fastnet Race et la Transat Jaques Vabre.

LE BATEAU: le bateau avec lequel Alberto Bona a participé à la Route du Rhum en novembre est un Class40 de dernière génération, avec une étrave de type scow. Conçue par l’architecte naval français Sam Manuard et réalisée par le chantier JPS Production, l’embarcation est un modèle Mach 5, la dernière évolution des Class40 de Manuard.

Les caractéristiques: une proue arrondie, réalisée dans le but d’augmenter les performances dans les allures au portant; des lignes d’eau et des appendices conçus pour faire de la coque un all round rapide même au près; un cockpit spacieux et abrité pour affronter la navigation dans des positions aussi confortables et sûres que possible.

LE SKIPPER: originaire de Turin, Alberto Bona est diplômé en philosophie. En tant qu’étudiant universitaire, il a remporté le Trophée Panerai avec Stormvogel, un ULDB rapide et un bateau historique avec lequel il a traversé l’océan Atlantique pour la première fois, remportant l’ARC avec un équipage néo-zélandais. En 2012, il a participé à la Minitransat, terminant 5e, un des meilleurs résultats italiens jamais obtenus dans cette catégorie. En 2015, il passe à la catégorie des prototypes Mini 6.50 avec Promostudi La Spezia: il remporte le championnat italien et se classe deuxième de la traversée océanique Les Sables – Les Açores. En 2017, il arrive au Class40: sur l’ancien Telecom Italia de Giovanni Soldini, il participe à la Transat Jacques Vabres, où il a été contraint d’abandonner alors qu’il était en sixième position. En 2019, il est à bord du trimaran Maserati Multi 70, un des bateaux les plus rapides au monde, où il s’entraîne sur les foils avant de passer au Figaro Beneteau 3, avec lequel il participe à la Solitaire; seul Italien inscrit, il termine 7e parmi les rookies la première année et 16e au général en 2020. En 2021, il remporte le titre italien offshore en équipe et gagne les championnats d’Europe en double mixte à bord du Figaro 3. En 2022, un nouveau projet a débuté avec le soutien du groupe IBSA: avec le nouveau Class40 IBSA, il participe à la Route du Rhum 2022 et termine en huitième position.

IBSA: IBSA (Institut Biochimique SA) est une société pharmaceutique multinationale suisse fondée en 1945 à Lugano. Aujourd’hui, elle est présente avec ses produits dans plus de 90 pays sur 5 continents, et possède 17 filiales en Europe, en Chine et aux États-Unis. L’entreprise réalise un chiffre d’affaires de 800 millions CHF et emploie plus de 2 000 personnes au siège, dans les succursales et sur les sites de production. IBSA détient 90 familles de brevets approuvés et d’autres en cours de développement, ainsi qu’un large portefeuille de produits couvrant 10 domaines thérapeutiques: médecine reproductive, endocrinologie, douleur et inflammation, ostéo-articulaire, médecine esthétique, dermatologie, urologie/gynécologie, cardiométabolisme, respiratoire, santé et bien-être. IBSA est un des plus grands acteurs mondiaux de la médecine reproductive et un des leaders mondiaux des produits à base d’acide hyaluronique. La philosophie de IBSA repose sur les piliers suivants: Humain, Innovation, Qualité et Responsabilité.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Bureau de presse d’IBSA – Italie
Valeria Riccobono – valeria.riccobono@noesis.net – portable: +39 392 962 5892

Ornella Reccia – ornella.reccia@noesis.net – portable: +39 329 393 1922

Bureau de presse d’IBSA – Suisse
Francesca Rossini – notizie@laboratoriodelleparole.net – portable: +41 77 417 93 72

En savoir plus

advertising

Inscription Newsletter

advertising

JOB-IT

PODCASTS BXFM

ARCHIVES

Don`t copy text!