Alors que l’IA est de plus en plus intégrée aux opérations quotidiennes, des inquiétudes subsistent quant aux lacunes de gouvernance, au manque d’explicabilité et à la confiance mal placée.
Artificial Intelligence, Deep Learning, Machine Learning
Alors que l’IA est de plus en plus intégrée aux opérations quotidiennes, des inquiétudes subsistent quant aux lacunes de gouvernance, au manque d’explicabilité et à la confiance mal placée.
Les entreprises signalent une dynamique en matière d’IA, mais les lacunes fondamentales en technologie et, plus encore, en compétences sont en train de définir la prochaine phase de progrès
Les entreprises ne sont pas prêtes pour l’IA : seuls 12 % des projets d’IA ont été pleinement déployés et seulement 36 % des organisations se considèrent prêtes à l’opérationnaliser, contre 37 % l’année dernière. Premier souci, la qualité des données.
Tout le monde veut « faire quelque chose avec l’IA », mais peu d’entreprises parviennent à transformer les projets pilotes en résultats concrets. Avec Coborg, Inetum propose de combler le fossé entre potentiel et exécution
Le Prix Nobel d’économie est décerné à Joel Mokyr (79 ans), Philippe Aghion (69 ans) et Peter Howitt (79 ans). Ces deux derniers prônent la « destruction créative » !
Alors que les talents sont considérés comme un facteur décisif d’adoption technologique, l’IA est désormais perçue comme un levier d’agilité autant que de performance. Le « CEO Outlook 2025 » est révélateur.
Microsoft Belux et le ministère de la Défense s’engagent dans un programme de formation de milliers d’employés à l’IA générative et aux compétences numériques. La formation s’adresse tant au personnel opérationnel qu’aux fonctions de soutien et de gestion
Les organisations qui développent une IA fiable ont 60 % de chances supplémentaires de doubler le retour sur investissement de leurs projets d’IA, soulignant le coût élevé du non-respect des pratiques responsables.