« Flops ?! » au musée des Arts et Métiers à Paris. L’idée ? Mettre en lumière des projets mal pensés ou trop en avance sur leur temps. Des échecs cuisants, drôles ou prévisibles, notamment du secteur de la tech.
« Flops ?! » au musée des Arts et Métiers à Paris. L’idée ? Mettre en lumière des projets mal pensés ou trop en avance sur leur temps. Des échecs cuisants, drôles ou prévisibles, notamment du secteur de la tech.
Dans leur essai choc, « Ne faites plus d’études ! », qui n’est pas un pamphlet, Olivier Babeau et Laurent Alexandre font le constat glaçant de l’obsolescence de l’enseignement supérieur face à la percée de l’IA. S’ils évoquent un « grand remplacement cognitif », ils avancent aussi des pistes pour apprendre autrement.
Un orage nommé Disruption surgit. Les serveurs tremblèrent, les clouds tonnèrent, Les CIO couraient, un brin amers. L’ERP, fier, voulut tenir bon, Mais sa base tomba sous la pression.
Un cadre pour retrouver le cap. Le livre « Déshumanités numériques » est un plaidoyer pour l’intelligence collective, assistée ou non par l’IA, mais toujours comme priorité dans nos choix.
Qui n’a dans ses câbles qu’un mince fil d’appui Se voit tôt prisonnier de ses frais aujourd’hui ; Mais qui garde un socle solide et réfléchi Peut chanter du cloud et dormir sans souci.
Hier soir, envie de plages du Salento, de soleil, d’iode. Ce ne fut pas bien loin, pour moi, le campagnard. Direction Saint-Gilles, à Bruxelles. Au Dolce Amaro, chez Alain Morillon et son épouse Magdalena, qui ont repris cette belle enseigne voici un an.
Au départ d’un récit, « Vulnérable », d’Alexandre Fayeulle ouvre un chemin. Le fondateur et président d’Advens, prestataire européen de services en cybersécurité (*) nous invite à regarder autrement notre condition commune, à nous relier les uns aux autres et à imaginer une société où la vulnérabilité devient une force partagée.
L’IA nous dispense de certaines aptitudes et, ce faisant, semble les rendre obsolètes. Mais ce serait oublier que l’apprentissage n’est pas une corvée, soutient Camille Dejardin dans son livre « À quoi bon encore apprendre ? » ( Gallimard, collection Tracts ).