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CEO vs CIO, grand écart sur l’IA

CEO vs CIO, grand écart sur l’IA

Les CEO victimes du battage médiatique autour de l’IA ? En attendent-ils trop au point de douter des compétences de leurs CIO, CDO et CISO ? Les conclusions d’un récente étude de Gartner amènent à ces questions. Le grand écart est flagrant.

Svante et SAMSUNG E&A signent un accord de développement en commun pour proposer des systèmes numériques modulaires de captage de carbone montés sur rails

Svante et SAMSUNG E&A signent un accord de développement en commun pour proposer des systèmes numériques modulaires de captage de carbone montés sur rails

  • Svante et SAMSUNG E&A ont signé un accord de développement en commun pour proposer des systèmes numériques standardisés de captage de carbone modulaires et montés sur rails en utilisant la technologie VeloxoTherm™ de Svante de filtre de captage de carbone à base de déshydratant solide ainsi que les solutions numériques et les capacités de conception modulaire avancées de SAMSUNG E&A.
  • Des systèmes modulaires standardisés porteront les marques Svante et SAMSUNG E&A et seront commercialisés à l’échelle mondiale en vue de fournir aux secteurs de l’industrie lourde et de l’énergie des projets de captage, d’utilisation et de stockage de carbone en prenant en charge tous les stades, du développement initial à la fabrication, en passant par l’ingénierie et l’approvisionnement.

VANCOUVER, Colombie britannique–(BUSINESS WIRE)–Svante Technologies Inc. (Svante) et SAMSUNG E&A ont annoncé aujourd’hui la signature d’un accord de développement en commun pour développer ensemble des systèmes numériques standardisés de captage de carbone modulaires et montés sur rails en utilisant la technologie VeloxoTherm de Svante de filtre de captage de carbone à base de déshydratant solide et les solutions numériques et les capacités de conception modulaire avancées de SAMSUNG E&A. L’accord a été signé au cours de l’inauguration par Svante de son nouveau site de fabrication de filtres commerciaux à Vancouver au Canada. Il s’agit de la première usine géante pour la technologie de filtre de Svante, capable de fournie suffisamment de filtres pour capter 10 millions de tonnes de CO2 annuellement.




« Nous nous efforçons de supprimer les obstacles les plus importants au déploiement rapide de captage de carbone industriel en développant premièrement notre site de fabrication de pointe puis, deuxièmement, en nous associant avec SAMSUNG E&A afin de raccourcir le calendrier du programme et réduire les coûts de construction sur site grâce à une conception et des solutions de fabrication standardisées », déclare Claude Letourneau, PDG de Svante.

SAMSUNG E&A, un fournisseur de solutions complètes à l’intention du secteur de l’énergie est l’une des entreprises les plus importantes au monde pour la maîtrise de projets en matière d’ingénierie, d’approvisionnement et de construction avec pour mission de participer à la transition énergétique. L’expérience considérable de SAMSUNG E&A dans l’exécution de projets d’investissement importants basés sur la modularisation et la numérisation, et la technologie de deuxième génération de captage et de suppression de carbone de Svante, permettent de mettre en place une collaboration innovante et accessible à l’intention des clients des industries lourdes et du secteur de l’énergie à la recherche de solutions d’ingénierie de gestion du carbone.

SAMSUNG E&A élargit son portefeuille commercial écologique avec « E&Able », une solution pour un avenir durable grâce à une technologie sophistiquée. E&Able symbolise la détermination de SAMSUNG E&A à résoudre les problèmes de société urgents, tels que le changement climatique, en obtenant des technologies révolutionnaires pour ses clients. Cette solution représente également la mission de l’entreprise visant à concrétiser plus rapidement des objectifs mondiaux, y compris la neutralité carbone et l’économie circulaire. L’entreprise accélère la promotion de nouvelles activités dans les secteurs de la transition énergétique et de l’écologie, en mettant l’accent sur trois stratégies E&Able : E&Able Low (faible carbone), E&Able Zero (sans carbone) et E&Able Circle (environnement). « Le moment est venu pour les acteurs de la chaîne de valeur de l’industrie de captage, d’utilisation et de stockage du carbone (CUSC) de remettre sur l’établi leur approche des projets pour les exécuter plus rapidement, plus économiquement et plus efficacement. Entreprendre plusieurs projets simultanément tout en utilisant le même sous-traitant pour la fabrication, l’ingénierie et l’approvisionnement permettra d’améliorer grandement la performance des projets », estime Hong Namkoong, PDG de SAMSUNG E&A. « En outre, nous avons innové avec notre plateforme de données d’ingénierie en utilisant des outils numériques afin d’améliorer l’efficacité de l’exécution des projets afin de raccourcir les délais et réduire les coûts. »

Svante a développé une technologie unique et écologique de captage et suppression du carbone qui utilise des « lits absorbants structurés » aussi appelés « filtres ». Les filtres de la société sont recouverts de matériaux absorbants solides développés grâce à la nano-ingénierie, capables de capter le CO2 des émissions industrielles, y compris, notamment, la pâte à papier et le papier, la valorisation énergétique, le ciment, l’acier, les engrais et l’hydrogène. La technologie de filtration de l’entreprise peut également être utilisée pour le captage direct dans l’air lorsque le CO2 déjà émis dans l’atmosphère est piégé puis éliminé de l’air ambiant.

« Nous sommes impatients de travailler avec SAMSUNG E&A afin de proposer des projets à grande échelle de captage de carbone », déclare Claude Letourneau, PDG de Svante. « Les plus de 50 ans d’expérience de SAMSUNG E&A en matière de modularisation dans les secteurs industriels et de l’énergie seront inestimables pour développer à grande échelle nos opérations et notre capacité de fabrication de filtres afin d’améliorer notre carnet de commandes. »

Un des objectifs de cette collaboration est de proposer aux clients industriels un point de contact unique à travers un modèle intégré d’exécution de projets pour les systèmes de captage de carbone. SAMSUNG E&A et Svante vont développer des solutions d’ingénierie standardisées avancées de type FEL3. Pendant la phase d’exécution du projet, SAMSUNG E&A sera le fournisseur exclusif des prestations de fabrication, d’ingénierie et d’approvisionnement pour des modules de captage de CO2 montés sur rails et Svante fournira ses machines brevetées de captage de carbone (contacteurs) et ses lits de filtration. Cette approche collaborative de construction d’installations industrielles importantes a fait la preuve de son efficacité pour optimiser la gestion et la performance des projets industriels.

« Cet accord va nous permettre de continuer à produire des installations de pointe de captage de carbone écologiques en garantissant le calendrier et les coûts ainsi que des modules prédéveloppés et des solutions d’ingénierie automatisées et basées sur les données — une offre que nous pouvons désormais fournir à nos clients en plus des autres avantages uniques associés à notre technologie. » C. Letourneau ajoute : « Un modèle de livraison de projets intégré signifie que les clients ne dépendent plus de la relation transactionnelle soumission-achat traditionnelle qui leur était imposée auparavant. »

Les deux entreprises vont travailler ensemble pour identifier, développer et livrer des projets commerciaux de captage de carbone pour garantir que les industries lourdes et les producteurs d’énergie dans ces régions disposent de solutions plus viables pour atteindre leurs objectifs de réduction d’émissions.

À propos de Svante :

Basé à Vancouver, dans la province canadienne de la Colombie-Britannique, Svante fournit des solutions innovantes de captage et d’extraction du carbone. La société fabrique des filtres nano-développés et des contacteurs rotatifs modulaires qui captent et éliminent le CO2 des émissions industrielles et de l’air de manière écoresponsable. Svante figure au palmarès 2023 Global Cleantech 100, au XB100 — World’s Top 100 Deep Tech Companies de XPRIZE Foundation et s’est classée deuxième parmi les entreprises privées dans le classement Future 50 Fastest Growing Sustainable Companies in Canada de Corporate Knights. Pour plus de renseignements, veuillez consulter www.svanteinc.com et suivez Svante sur LinkedIn ou Twitter @svantesolutions.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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Contacts presse
Svante
Colleen Nitta

Directrice du marketing et de la communication

cnitta@svanteinc.com
+1 604-970-2813

Svante lance la première gigafactory commerciale au monde pour les filtres de capture et d’élimination du carbone

Svante lance la première gigafactory commerciale au monde pour les filtres de capture et d’élimination du carbone

Cette solution de capture et d’élimination du carbone de nouvelle génération représente un saut générationnel dans la gestion des émissions de carbone provenant de secteurs industriels tels que la pâte à papier et le papier, la transformation des déchets en énergie, le ciment, l’acier et l’énergie.

VANCOUVER, Colombie-Britannique–(BUSINESS WIRE)–Svante Technologies Inc. (Svante), leader mondial des technologies de captage et d’élimination du carbone, a officiellement achevé la mise en service de son nouveau Centre d’excellence pour le captage et l’élimination du carbone, avec l’installation de fabrication de Redwood (ci-après Redwood) à Burnaby, en Colombie-Britannique. Cette étape marque le lancement de la première gigafactory au monde dédiée à la production de filtres de capture et d’élimination du carbone à l’échelle commerciale, conçus pour piéger le CO2 directement à partir des émissions industrielles et de l’atmosphère, et avec l’état d’esprit de l’automatisation à grande échelle et de la normalisation des produits afin de réduire le coût de fabrication.




L’installation de Redwood s’étend sur 141 000 pieds carrés et est en mesure de fabriquer suffisamment de filtres à base de sorbants solides pour capturer jusqu’à 10 millions de tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent des émissions de plus de 27 millions de voitures. Les filtres sorbants structurés brevetés de Svante, recouverts d’un cadre métallo-organique (MOF), représentent une solution de nouvelle génération pour la gestion des émissions industrielles de carbone.

« Nous entrons aujourd’hui dans l’histoire », déclare Claude Letourneau, président-directeur général de Svante. « Cette gigafactory est une étape cruciale dans la construction de l’infrastructure nécessaire à l’expansion de l’industrie de la gestion du carbone et à la création d’un marché pour le CO2 physique. Cette installation de fabrication unique en son genre est une démonstration de ce qui est possible lorsque la technologie et l’ambition climatique s’alignent pour donner un coup de main à la nature dans la gestion des émissions mondiales de CO2. »

Svante se concentre actuellement sur l’élimination du dioxyde de carbone biogénique (CDR) dans des secteurs tels que la pâte à papier et le papier, la production d’éthanol et la valorisation énergétique des déchets, où les concentrations de carbone dans les gaz de combustion postcombustion sont plus élevées et où les coûts de captage sont moins élevés pour générer des crédits CDR. La capture des émissions d’autres industries, telles que le ciment, l’acier et les combustibles fossiles, est un élément essentiel d’une transition énergétique durable, et la mise en service de Redwood prouve que Svante relève ce défi.

M. Letourneau ajoute : « Nous sommes en outre fiers de lancer cette installation de fabrication transformatrice au Canada, qui nous permet d’amener la chaîne d’approvisionnement sur nos côtes et de rapprocher les solutions de gestion du carbone des besoins des industries émettrices en Amérique du Nord. »

Le lancement de cette installation fait suite à un investissement de 145 millions USD et bénéficie du soutien d’une liste d’investisseurs stratégiques, tels que Chevron New Energies, Temasek, M&G, Canada Growth Fund, United Airlines Ventures, Samsung, GE Vernova, et bien d’autres. Svante prévoit que d’autres gigafactories comme Redwood seront nécessaires au cours de la prochaine décennie pour répondre à la demande du marché mondial de la gestion du carbone.

La technologie de Svante soutient déjà plusieurs grands projets pilotes de capture du carbone, notamment les installations de Chevron à Kern River, dans la vallée de San Joaquin en Californie. Son travail antérieur avec Lafarge Holcim sur le projet CO2 MENT continue en outre de démontrer l’efficacité de la capture du carbone à la cimenterie Richmond de Lafarge en Colombie-Britannique, au Canada. En plus de servir le marché de la postcombustion ou de la capture du carbone à la source, Svante fabrique également des filtres pour Climeworks, leader dans le domaine de la capture directe de l’air, dans le cadre de sa dernière technologie Gen 3 DAC qui, selon Climeworks, réduit de moitié le coût de l’énergie régénérative et double la capacité volumétrique de capture du CO2.

Grâce à son approche révolutionnaire et à ses ambitions de fabrication à l’échelle mondiale, Svante établit une nouvelle référence en matière de solutions techniques de capture et d’élimination du carbone. Cette installation renforce la confiance des investisseurs, des clients et des partenaires dans la capacité de Svante à réaliser aujourd’hui des projets et des produits commerciaux à grande échelle et démontre que l’entreprise est stratégiquement positionnée pour un succès à long terme.

À propos de Svante

Svante est un fournisseur de premier plan de solutions de captage et d’élimination du carbone. L’entreprise, basée à Vancouver, au Canada, fabrique des filtres nanotechnologiques et des contacteurs rotatifs modulaires qui capturent et éliminent le CO2 des émissions industrielles et de l’air d’une manière respectueuse de l’environnement. Svante figure sur les listes TIME & Statista’s Top Greentech Companies of 2025, 2025 Global Cleantech 100, XB100 – World’s Top 100 Deep Tech Companies de la XPRIZE Foundation, et a été classée deuxième parmi les entreprises privées dans la liste Future 50 Fastest Growing Sustainable Companies de Corporate Knights.

Pour en savoir plus, visitez www.svanteinc.com et suivez Svante sur LinkedIn à l’adresse www.linkedin.com/svantesolutions.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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GenSight Biologics annonce l’approbation de l’ensemble des résolutions soutenues par le Conseil d’Administration lors de son assemblée générale mixte du 13 mai 2025

GenSight Biologics annonce l’approbation de l’ensemble des résolutions soutenues par le Conseil d’Administration lors de son assemblée générale mixte du 13 mai 2025

PARIS–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:


L’Assemblée Générale Mixte des actionnaires de la société GenSight Biologics (Euronext : SIGHT, ISIN : FR0013183985, éligible PEA-PME), société biopharmaceutique dédiée au développement et à la commercialisation de thérapies géniques innovantes pour le traitement des maladies neurodégénératives de la rétine et du système nerveux central, s’est réunie le 13 mai 2025 à 14h00 au siège social de la Société, 74 rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012 Paris, France, sous la présidence de Laurence Rodriguez, Directrice Générale de la Société.

Toutes les résolutions recommandées par le Conseil d’Administration et soumises à l’Assemblée générale mixte ont été adoptées à l’exception de la résolution A qui a été rejetée, conformément aux recommandations du Conseil d’administration. Le quorum réuni sur première convocation s’est établi à 56,51%.

Lors de l’Assemblée Générale, la Directrice Générale est revenue sur les réalisations clés de l’année 2024, marquée par une gestion rigoureuse de la trésorerie, un renforcement de la structure financière avec l’arrivée de nouveaux investisseurs et le soutien renouvelé des actionnaires historiques, ainsi que la renégociation de nos obligations financières. Elle a également souligné les avancées en production, avec l’optimisation de la technologie GenSight, la préparation du transfert de technologie à un nouveau fabricant, et la libération pharmaceutique réussie de deux lots de substance active. Sur le plan réglementaire et clinique, l’année a été marquée par la préparation du protocole de phase III RECOVER, la soumission attendue du dossier d’Accès Compassionnel (AAC) en novembre 2024, ainsi que par le maintien d’une communication scientifique active dans des congrès internationaux et des publications dans des revues à fort impact.

Les priorités de 2025 s’articulent autour de la poursuite d’une gestion financière rigoureuse avec le maintien d’une politique stricte de dépenses et la recherche active de solutions de refinancement. L’année sera également stratégique sur le plan clinique et réglementaire, avec la finalisation du protocole de phase III RECOVER en lien avec les autorités de santé, la soumission du dossier d’enregistrement de LUMEVOQ® auprès de la MHRA, et la reprise de l’Accès Compassionnel en France. Sur le plan industriel, les efforts porteront sur la réussite du transfert de technologie initié fin 2024, l’optimisation du rendement de production de LUMEVOQ® et la finalisation du plan de contrôle qualité. Enfin, la Société poursuivra les discussions déjà engagées en vue d’explorer des options stratégiques.

Le résultat du scrutin par résolution et la retransmission de l’Assemblée Générale est disponible sur le site internet de la Société dans la rubrique Investisseurs (www.gensight-biologics.com/fr/investisseurs-media/).

À propos de GenSight Biologics

GenSight Biologics S.A. est une société biopharmaceutique de stade clinique spécialisée dans le développement et la commercialisation de thérapies géniques innovantes pour les maladies neurodégénératives de la rétine et les troubles du système nerveux central. Le pipeline de GenSight Biologics s’appuie sur deux plateformes technologiques de base, la séquence de ciblage mitochondrial (MTS) et l’optogénétique, pour aider à préserver ou à restaurer la vision chez les patients souffrant de maladies rétiniennes cécitantes. Le principal produit candidat de GenSight Biologics, LUMEVOQ® (GS010 ; lenadogene nolparvovec), est un composé expérimental et n’a été enregistré dans aucun pays à ce stade, développé pour le traitement de la neuropathie optique héréditaire de Leber (NOHL), une maladie mitochondriale rare qui touche principalement les adolescents et les jeunes adultes et qui entraîne une cécité irréversible. Grâce à son approche basée sur la thérapie génique, les produits candidats de GenSight Biologics sont conçus pour être administrés en un seul traitement à chaque œil par injection intravitréenne afin d’offrir aux patients une récupération visuelle fonctionnelle durable.

Contacts

GenSight Biologics
Directeur Administratif et Financier

Jan Eryk Umiastowski

jeumiastowski@gensight-biologics.com

TELUS Numérique annonce ses résultats du premier trimestre de 2025, affichant des produits d’exploitation et une rentabilité conformes aux attentes, et la direction réitère ses perspectives pour 2025

TELUS Numérique annonce ses résultats du premier trimestre de 2025, affichant des produits d’exploitation et une rentabilité conformes aux attentes, et la direction réitère ses perspectives pour 2025

VANCOUVER, British Columbia–(BUSINESS WIRE)–TELUS Expérience numérique (TELUS Numérique) (NYSE et TSX : TIXT), chef de file mondial du secteur des technologies de pointe spécialisé dans l’expérience client numérique, annonce aujourd’hui ses résultats pour le trimestre clos le 31 mars 2025. TELUS Corporation (TSX : T, NYSE : TU) est l’actionnaire dominant de TELUS Numérique. À moins d’indication contraire, tous les résultats qui figurent dans le présent communiqué de presse et dans d’autres documents d’information de TELUS Numérique sont exprimés en dollars américains et se rapportent uniquement aux résultats et aux mesures de TELUS Numérique.


« Au premier trimestre de 2025, TELUS Numérique a enregistré un rendement opérationnel et financier conforme aux attentes. Nous maintenons nos perspectives pour l’ensemble de l’exercice, a déclaré Jason Macdonnell, chef de la direction intérimaire et chef de l’exploitation de TELUS Numérique, et président, Expérience client. Notre relation avec TELUS Corporation comme client de référence ainsi que la diversification générale de nos services continuent de constituer en quelque sorte un rempart et d’assurer un certain niveau de stabilité dans le climat actuel. Nous poursuivrons nos investissements dans nos marchés et nos capacités technologiques pour les faire évoluer au profit de nos clients dans l’optique de devenir leur partenaire de choix pour faire face aux défis commerciaux actuels. »

« En ce qui concerne les solutions numériques, à l’instar d’autres acteurs de notre secteur, nous suivons de près l’évolution du sentiment des clients en cette période de volatilité du marché, a ajouté Tobias Dengel, président, Solutions technologiques, TELUS Numérique. Simultanément, nos clients n’hésitent pas à nous faire part de leurs besoins en matière d’automatisation et d’efficacité des coûts. À plus long terme, nous pensons que la demande pour la transformation de l’expérience numérique des consommateurs constituera une base solide pour notre croissance. Nous trouvons encourageant que notre positionnement comme partenaire qui se démarque pour aider ses clients à instaurer l’innovation dans leurs parcours se traduise par une croissance des produits d’exploitation de Solutions numériques au premier trimestre par rapport à l’année précédente. »

« Pour l’ensemble des gammes de services de TELUS Numérique au premier trimestre de 2025, nous avons enregistré une croissance des produits d’exploitation sur un an, principalement grâce aux solutions d’IA et de données ainsi qu’aux solutions numériques, a déclaré Gopi Chande, chef des services financiers. Nous avons enregistré une croissance chez la majorité de nos cinq principaux clients au cours du trimestre, à la fois sur une base séquentielle et sur un an. Le maintien de nos programmes d’efficacité ciblés et de notre approche mesurée du calendrier de nos investissements se traduit par des résultats probants et croissants sur le plan de la réduction des coûts. En réitérant nos perspectives financières pour l’ensemble de l’exercice, nous nous engageons à répondre aux attentes et à améliorer progressivement notre rendement dans ce contexte macroéconomique changeant tout en continuant à gérer notre concentration de clients. »

Voici quelques faits saillants des résultats financiers et opérationnels, qui comprennent un certain nombre de mesures et ratios financiers non conformes aux PCGR. Voir la section « Mesures non conformes aux PCGR » du présent communiqué pour obtenir une analyse de ces mesures et ratios.

Résumé du T1 2025 vs T1 2024

  • Produits d’exploitation de 670 millions de dollars, soit une hausse de 13 millions de dollars ou 2 pour cent selon nos résultats déclarés et de 3 pour cent en devise constante1. Ces résultats sont principalement attribuables à la croissance des services fournis aux clients existants, dont TELUS et un important client du secteur des médias sociaux, et aux nouveaux clients ajoutés depuis la même période de l’exercice précédent. Ils sont partiellement contrebalancés par la baisse des produits d’exploitation de certains clients des secteurs des technologies et du commerce électronique. La croissance des produits d’exploitation totaux durant le trimestre inclut un écart de change défavorable d’environ 1 pour cent comparativement au même trimestre de l’an dernier découlant de l’appréciation du dollar américain par rapport à l’euro.
  • Perte nette de 25 millions de dollars et bénéfice dilué par action de (0,09) dollar, contre un bénéfice net de 28 millions de dollars et un bénéfice dilué par action de 0,05 dollar, respectivement, au même trimestre de l’exercice précédent, en raison d’une augmentation des dépenses d’exploitation supérieure à la croissance des produits d’exploitation et d’autres revenus constatés au cours de la période de comparaison découlant de changements dans les provisions liées au regroupement d’entreprises qui ne se sont pas reproduits au cours de la période actuelle. Cette perte a été partiellement compensée par une baisse des impôts sur le revenu et des charges d’intérêt. La marge de perte nette, calculée en divisant la perte nette par les produits d’exploitation de la période, était de 3,7 pour cent, par rapport à une marge bénéficiaire nette de 4,3 pour cent pour le même trimestre de l’exercice précédent. La perte nette et le bénéfice dilué par action comprennent l’effet des frais d’acquisition et d’intégration, de l’amortissement des immobilisations incorporelles acquises et de l’accroissement des intérêts sur les ventes d’options de vente, entre autres éléments. Le bénéfice net rajusté1, qui exclut l’effet de ces éléments, s’est élevé à 17 millions de dollars, par rapport à 65 millions de dollars pour le même trimestre de l’exercice précédent, principalement en raison de l’augmentation des salaires et avantages sociaux, des biens et services achetés, ainsi que de la charge liée à la rémunération fondée sur des actions, augmentations qui ont été contrebalancées en partie par une augmentation des produits d’exploitation générés et une diminution de la charge d’impôt sur le bénéfice.
  • Le BAIIA rajusté1 s’est élevé à 90 millions de dollars, contre 153 millions de dollars au même trimestre de l’exercice précédent, principalement en raison de l’augmentation des salaires, des avantages sociaux et des achats de biens et services supérieure à la croissance des produits d’exploitation, ainsi que des autres revenus générés au cours de la période comparative de l’exercice précédent en raison des changements dans les provisions liées au regroupement d’entreprises et de l’augmentation de la rémunération fondée sur des actions au cours de la période actuelle. La marge du BAIIA rajusté1 a été de 13,4 pour cent, contre 23,3 pour cent au même trimestre de l’exercice précédent, en raison des facteurs susmentionnés. Le BPA dilué rajusté1 a été de 0,06 $, contre 0,22 $ pour le même trimestre de l’exercice précédent.
  • Les liquidités provenant des activités d’exploitation se sont élevées à 69 millions de dollars et le flux de trésorerie disponible1 à 41 millions de dollars, comparativement à 126 millions et 107 millions de dollars, respectivement, au même trimestre de l’exercice précédent, principalement en raison d’une augmentation des dépenses d’exploitation supérieure à la croissance des produits d’exploitation, d’une hausse des dépenses en immobilisations et du calendrier de paiements de certains grands clients.
  • Le ratio de levier financier dette nette-BAIIA rajusté1, conformément à notre convention de crédit, a été de 3,4x au 31 mars 2025, contre 3,2x au 31 décembre 2024.
  • Notre effectif était de 78 424 membres de l’équipe au 31 mars 2025, soit une augmentation de 5 pour cent sur un an résultant de l’expansion et de la croissance de nos programmes de services et de l’ajout de nouveaux clients dans différentes régions.

Une analyse de nos résultats d’exploitation figure dans notre rapport de gestion pour le trimestre clos le 31 mars 2025, accessible sur SEDAR et à titre d’Annexe 99.2 du formulaire 6-K sur EDGAR. Ces publications et des renseignements additionnels sont aussi disponibles sur le site telusdigital.com/investors.

Perspectives

Pour l’ensemble de l’exercice 2025, la direction continue de prévoir ce qui suit :

  • Croissance organique des produits d’exploitation d’environ 2 pour cent
  • BAIIA rajusté d’environ 400 millions de dollars
  • BPA dilué rajusté d’environ 0,32 $

Conférence téléphonique avec les investisseurs pour le T1 2025

TELUS Numérique tiendra une conférence téléphonique aujourd’hui le 9 mai 2025 à 10 h (heure de l’Est) / 7 h (heure du Pacifique), au cours de laquelle la direction présentera les résultats du premier trimestre et répondra aux questions d’analystes sélectionnés. La conférence téléphonique sera diffusée en direct sur le site Web des relations avec les investisseurs de TELUS Numérique, à https://www.telusdigital.com/investors/news-events, où elle sera ensuite accessible en différé.

Mesures financières non conformes aux PCGR

Ce communiqué contient de l’information financière non conforme aux PCGR; le rapprochement avec les mesures conformes aux PCGR est présenté à la fin du présent communiqué. Nous communiquons certaines mesures non conformes aux PCGR qui servent l’analyse de notre rendement, mais elles n’ont pas de définition normalisée en vertu des Normes internationales d’information financière (IRFS) telles qu’elles sont établies par le Conseil des normes comptables internationales (IFRS® Accounting Standards). Ces mesures financières non conformes aux PCGR et ces ratios non conformes aux PCGR peuvent ne pas être comparables à des mesures ou à des ratios conformes aux PCGR et peuvent ne pas être comparables à des mesures financières non conformes aux PCGR ou à des ratios non conformes aux PCGR portant le même nom et présentés par d’autres entreprises, y compris celles de notre secteur d’activité et de TELUS Corporation, notre actionnaire contrôlant.

Le BAIIA rajusté, le bénéfice net rajusté (perte), le flux de trésorerie disponible, les produits d’exploitation en devise constante et la dette nette sont des mesures financières non conformes aux PCGR, et la marge du BAIIA rajusté, le BPA dilué rajusté, la croissance des produits d’exploitation en devise constante et le ratio de levier financier dette nette-BAIIA rajusté sont des ratios non conformes aux PCGR.

Mesure couramment utilisée par nos homologues du secteur, le BAIIA rajusté permet aux investisseurs de comparer et d’évaluer notre rendement opérationnel relatif. Nous utilisons cette mesure pour évaluer notre capacité à assurer le service des facilités d’emprunt existantes et nouvelles et pour financer des occasions de croissance et des cibles d’acquisition. En outre, certains engagements financiers liés à notre facilité de crédit, y compris concernant notre ratio de levier dette nette-BAIIA rajusté, sont fondés sur le BAIIA rajusté, ce qui nous oblige à surveiller l’évolution de cette mesure financière non conforme aux PCGR. Le BAIIA rajusté ne doit pas être considéré comme une mesure de substitution au bénéfice net dans l’évaluation de notre rendement financier. Il ne doit pas non plus être utilisé comme une mesure de remplacement des flux de trésorerie d’exploitation actuels et futurs. Nous sommes d’avis, cependant, qu’une mesure financière présentant le bénéfice net rajusté pour ces éléments fournit à la direction une façon plus fiable d’évaluer le rendement d’une période à l’autre. De plus, une telle mesure permettrait aux investisseurs de mieux évaluer les tendances sous-jacentes de nos activités, notre rendement opérationnel et notre stratégie commerciale globale.

Nous excluons certains éléments du bénéfice net rajusté (perte) et du BAIIA rajusté, notamment les coûts d’acquisition et d’intégration et autres coûts, les gains ou les pertes de change et, en ce qui concerne le bénéfice net rajusté (perte), l’accroissement des intérêts sur les ventes d’options de vente, l’amortissement des immobilisations incorporelles acquises et l’incidence fiscale de ces rajustements. Les rapprochements complets du BAIIA rajusté et du bénéfice net rajusté (perte) avec les mesures PCGR comparables sont inclus à la fin de ce communiqué.

Nous calculons le flux de trésorerie disponible en soustrayant les dépenses en immobilisations du flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, puisque nous croyons que les dépenses en immobilisations sont un coût récurrent nécessaire au maintien de nos immobilisations productives et au soutien de nos activités internes. Nous utilisons cette mesure pour évaluer les flux de trésorerie générés par nos activités courantes qui peuvent être utilisés pour répondre à nos obligations financières, assumer le service des facilités d’emprunt, réinvestir dans l’entreprise et financer partiellement nos acquisitions futures.

La marge du BAIIA rajusté est calculée en divisant le BAIIA rajusté par les produits d’exploitation consolidés. Nous suivons régulièrement l’évolution de la marge du BAIIA rajusté pour évaluer notre rendement opérationnel par rapport aux budgets établis, aux objectifs opérationnels et au rendement de nos homologues du secteur.

La direction utilise le BPA dilué rajusté pour évaluer la rentabilité de nos activités commerciales par action. Nous surveillons régulièrement le BPA dilué rajusté puisqu’il offre à la direction et aux investisseurs une façon plus fiable de comparer notre rendement opérationnel d’une période à l’autre afin de mieux comprendre notre capacité à gérer les coûts opérationnels et à générer des profits. Le BPA dilué rajusté est calculé en divisant le bénéfice net rajusté (perte) par le nombre moyen pondéré dilué d’actions en circulation au cours de la période.

Les produits d’exploitation en devise constante sont utilisés par la direction pour évaluer les produits d’exploitation, la mesure conforme aux PCGR la plus directement comparable, en excluant l’incidence des fluctuations des taux de change. Les produits d’exploitation en devise constante sont calculés comme les produits de la période en cours convertis à l’aide des taux de change moyens en vigueur au cours de la période antérieure comparable.

La croissance des produits d’exploitation en devise constante est utilisée par la direction pour évaluer la croissance des produits, la mesure conforme aux PCGR la plus directement comparable, en excluant l’incidence des fluctuations des taux de change. La croissance des produits d’exploitation en devise constante est calculée comme la croissance des produits de la période actuelle convertie à l’aide des taux de change moyens en vigueur dans la période antérieure comparable.

Le ratio de levier financier dette nette-BAIIA rajusté, conformément à notre convention de crédit, est calculé sur la base de la dette nette et du BAIIA rajusté, tous deux conformes à notre convention de crédit. À long terme, nous visons à maintenir un ratio de levier financier dette nette-BAIIA rajusté dans une fourchette de 2 à 3x. Nous pourrions dévier de cette cible pour réaliser des acquisitions et saisir d’autres occasions stratégiques pouvant nous obliger à emprunter des fonds supplémentaires. Par ailleurs, le maintien de notre ratio dans cette fourchette cible dépend de notre capacité à continuer de faire croître nos activités, de la conjoncture économique générale, des tendances dans le secteur et d’autres facteurs.

Nous n’avons pas fourni un rapprochement quantitatif de nos perspectives pour l’exercice 2025 pour le BAIIA rajusté et le BPA dilué rajusté avec celles pour le bénéfice net et le BPA dilué pour l’exercice de la même année, car nous ne sommes pas en mesure, sans déployer des efforts déraisonnables, de calculer certains éléments de rapprochement en toute confiance, ce qui pourrait avoir une incidence importante sur le calcul de ces mesures et ratios financiers.

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs concernant l’entreprise, ses activités ainsi que sa situation et son rendement financiers, ainsi que ses plans, ses objectifs et ses attentes relativement à ses activités, et à sa situation et son rendement financiers. Tout énoncé contenu dans le présent document qui ne rapporte pas un fait avéré peut être considéré comme un énoncé prospectif. Dans certains cas, vous pouvez déterminer qu’un énoncé est prospectif s’il contient des verbes conjugués au conditionnel ou au futur ou des termes comme « anticiper », « avoir l’intention de », « bien placé pour », « but », « chercher à », « cible », « continuer », « croire », « envisager », « estimer », « objectif », « plan », « potentiel », « pourrait », « présumer », « prévoir », « s’attendre à », « viser » ainsi que d’autres termes similaires qui supposent ou annoncent des événements ou des tendances à venir, ou la forme négative de ces termes ou d’autres termes comparables.

Ces énoncés prospectifs sont fondés sur nos attentes, nos estimations, nos prévisions et nos projections concernant l’entreprise et le secteur dans lequel elle œuvre ainsi que les croyances et les hypothèses de la direction. Ils ne sont pas un gage de rendement ou de développement et impliquent des risques connus et inconnus, des incertitudes et d’autres facteurs qui échappent dans certains cas à notre volonté. Nous n’acceptons aucune obligation de mettre à jour ou de réviser les énoncés prospectifs en raison de l’émergence de nouveaux renseignements, d’événements à venir, d’incertitudes ou autres, à moins que la loi ne l’exige.

Plus précisément, nous avons formulé plusieurs hypothèses sous-jacentes à nos perspectives financières pour l’exercice 2025, y compris des hypothèses clés concernant les éléments suivants : notre capacité à mettre en œuvre notre stratégie de croissance, notamment en élargissant les services offerts aux clients actuels et en attirant de nouveaux clients; notre capacité à maintenir la compétitivité de nos offres de services et à répondre à l’évolution des besoins des clients, notamment en continuant à investir dans les nouvelles technologies et les capacités de transformation numérique, à les développer et à les déployer; notre capacité à enraciner encore davantage notre culture d’entreprise et à attirer et retenir les talents; notre capacité à intégrer des acquisitions qui cadrent avec notre stratégie et améliorent nos capacités et solutions de base, et à en réaliser les avantages; le taux de croissance relatif et la taille de nos marchés verticaux cibles; nos prévisions en matière de dépenses d’exploitation et de dépenses en immobilisations; notre capacité à gérer les coûts et à ajuster notre structure de coûts si nécessaire; et les effets de la conjoncture mondiale sur nos activités et celles de nos clients, y compris l’incertitude macroéconomique, l’inflation, les fluctuations des taux d’intérêt et les conditions géopolitiques. Pour établir nos perspectives financières, l’équipe de direction évalue l’incidence que les tendances actuelles auront sur nos activités. Ces prévisions peuvent ne pas être adéquates dans d’autres circonstances.

Différents facteurs de risque peuvent faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des résultats attendus, notamment ce qui suit :

  • Nous faisons face à une concurrence intense de la part d’entreprises qui offrent des services semblables aux nôtres.
  • Nos résultats commerciaux et financiers ont été, et pourraient être, affectés par divers événements à l’échelle mondiale et par les répercussions de ces derniers sur les activités de nos clients et sur la demande envers nos services.
  • Parce que la majorité de nos coûts sont fixes à court terme, nous pourrions avoir de la difficulté à rajuster immédiatement notre structure de coûts en réponse à la baisse prolongée de la demande.
  • Un nombre limité de clients comptent pour une part importante de nos produits d’exploitation, et la perte ou la réduction de nos activités auprès de ces clients, ou découlant de la consolidation de ces clients, ou de tout autre client important pourrait avoir d’importantes répercussions négatives sur nos activités, notre situation financière, notre rendement financier et nos perspectives.
  • Nos capacités de croissance et de rentabilité pourraient être grandement affectées si les changements technologiques, y compris l’utilisation de l’IA générative, et les attentes des clients surpassaient nos offres de services et le développement de nos outils et processus internes, ou si nous étions incapables de répondre aux attentes des clients.
  • La concurrence est intense sur le marché de l’emploi, et nos perspectives de croissance sont tributaires de notre capacité à attirer et à retenir suffisamment de personnes qualifiées au sein de notre équipe.
  • L’impossibilité d’assurer la pérennité de notre culture unique au fur et à mesure de notre croissance pourrait compromettre nos services, notre rendement financier et nos activités.
  • Nos activités pourraient subir des conséquences négatives si nous perdions des membres de notre haute direction.
  • Il se pourrait que nous ne soyons pas en mesure de déterminer, d’exécuter, d’intégrer et de réaliser les avantages des acquisitions ou de gérer les risques connexes.
  • La divulgation non autorisée de données sensibles ou confidentielles sur la clientèle, par cyberattaque ou d’autres moyens, peut nous exposer à des contentieux longs et coûteux, entacher notre réputation, entraîner la perte de clients et influer négativement sur nos produits d’exploitation.
  • Notre entreprise pourrait ne pas se développer selon nos attentes actuelles en raison de la réaction négative du public à l’impartition à l’étranger, de facteurs liés à la modération de contenu et de projets de loi ou d’autres mesures.
  • Nos politiques, procédures et programmes visant à préserver la santé et la sécurité des membres de notre équipe, en particulier des modérateurs de contenu, pourraient ne pas être adéquats.
  • Nos activités seraient touchées négativement si des personnes qui fournissent des services d’annotation de données par l’entremise de solutions de données d’IA étaient classées comme des employés et non comme des contractuels indépendants.
  • La structure à deux catégories d’actions prévue dans nos statuts a pour effet de concentrer le contrôle des voix et la capacité d’influencer les affaires de l’entreprise au sein de TELUS.
  • TELUS continuera de contrôler le conseil d’administration de TELUS Numérique pour un avenir prévisible.
  • Le cours des actions à droit de vote subalterne pourrait subir l’incidence d’un faible volume de transactions et diminuer en raison de ventes futures ou de la probabilité perçue de ventes futures, par nous ou nos actionnaires, sur le marché public.

Ces facteurs de risque ainsi que d’autres facteurs pouvant avoir une incidence sur nos activités, notre situation financière et nos résultats d’exploitation sont aussi décrits dans la section des facteurs de risque de notre rapport annuel, accessible sur SEDAR+, et à l’article 3D de notre rapport annuel sur formulaire 20-F daté du 13 février 2025 et accessible sur EDGAR.

TELUS International (Canada) inc.

États consolidés intermédiaires condensés des bénéfices

(non audités)

 

 

 

Trois mois

Périodes terminées le 31 mars (en millions, sauf les bénéfices par action)

 

2025

 

2024

PRODUITS D’EXPLOITATION

 

670 $

 

657 $

 

 

 

 

 

CHARGES D’EXPLOITATION

 

 

 

 

Salaires et avantages sociaux

 

444

 

416

Achat de biens et services

 

129

 

116

Rémunération fondée sur des actions

 

7

 

1

Coûts d’acquisition et d’intégration et autres coûts

 

6

 

7

Amortissement des immobilisations corporelles

 

35

 

34

Amortissement des immobilisations incorporelles

 

46

 

45

 

 

667

 

619

 

 

 

 

 

BÉNÉFICE D’EXPLOITATION

 

3

 

38

 

 

 

 

 

AUTRES CHARGES (PRODUITS)

 

 

 

 

Variation des provisions liées aux regroupements d’entreprises

 

 

(29)

Charge d’intérêt

 

30

 

35

Gains de change

 

(2)

 

(5)

BÉNÉFICE (PERTE) AVANT IMPÔTS

 

(25)

 

37

Charge d’impôt

 

 

9

BÉNÉFICE NET (PERTE NETTE)

 

(25) $

 

28 $

 

 

 

 

 

BÉNÉFICE (PERTE) PAR ACTION

 

 

 

 

De base

 

(0,09) $

 

0,10 $

Dilué

 

(0,09) $

 

0,05 $

 

 

 

 

 

NOMBRE TOTAL MOYEN PONDÉRÉ D’ACTIONS EN CIRCULATION (en millions)

 

 

 

 

De base

 

276

 

274

Dilué

 

276

 

289

Contacts

Relations avec les investisseurs de TELUS Numérique
Olena Lobach

604-695-3455

ir@telusdigital.com

Relations médiatiques de TELUS Numérique
Ali Wilson

604-328-7093

media.relations@telusdigital.com

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Forrester dévoile les 10 technologies émergentes clés pour 2025 : l’IA passe de l’expérimentation à un impératif stratégique

Forrester dévoile les 10 technologies émergentes clés pour 2025 : l’IA passe de l’expérimentation à un impératif stratégique

L’intelligence artificielle agentique (Agentic AI) constitue une avancée majeure dans le domaine de l’automatisation, en conférant aux systèmes la capacité de prendre des décisions de manière autonome et intentionnelle.


CAMBRIDGE, Massachusetts–(BUSINESS WIRE)–À mesure que l’IA générative évoluera vers des formes agentiques, que l’automatisation gagnera en sophistication et que les technologies émergentes entreront dans une phase de déploiement à grande échelle, les entreprises ne se contenteront plus d’expérimenter l’intelligence artificielle d’ici fin 2025 : elles devront suivre le rythme de son accélération. Dans un contexte de fortes incertitudes géopolitiques, les décisions stratégiques en matière d’investissement technologique deviendront un levier déterminant de croissance et de différenciation concurrentielle. L’étude de Forrester (Nasdaq : FORR), intitulée The Top 10 Emerging Technologies In 2025 (Les 10 technologies émergentes en 2025), met en lumière les innovations technologiques les plus prometteuses, conçues pour aider les dirigeants à accélérer l’innovation fondée sur l’intelligence artificielle tout en assurant la résilience de leur organisation sur le long terme.

Cette étude évalue les dix technologies émergentes les plus prometteuses selon leur impact à court, moyen et long terme, afin d’aider les entreprises et leurs dirigeants à prioriser efficacement leurs investissements. En voici les principaux enseignements :

Les technologies émergentes qui, d’ici deux ans, apporteront des avantages substantiels aux entreprises en combinant l’accélération de l’intelligence artificielle et les impératifs de sécurité incluent :

  • Sécurité de l’Internet des objets : Alors que les cybermenaces se multiplient, les technologies de sécurité dédiées à l’Internet des objets (IoT) s’imposeront comme un levier essentiel pour la protection des données sensibles et des appareils connectés. Les entreprises les plus numérisées seront les mieux placées pour tirer parti des avantages offerts par la sécurisation de l’IoT.
  • Données synthétiques : Nouvellement intégrée à la liste des technologies émergentes de Forrester, cette innovation optimise l’entraînement des modèles d’intelligence artificielle tout en renforçant la confidentialité des données et la confiance dans leur utilisation. Alors que les régulateurs encouragent l’utilisation de données synthétiques pour réduire les risques associés aux informations sensibles, les secteurs de la finance, de l’assurance, de la santé et des services publics sont parmi les mieux placés pour en bénéficier.

Parmi les technologies émergentes à moyen terme, celles dont le déploiement reste complexe dans des environnements réels, mais qui devraient offrir des avantages significatifs aux entreprises d’ici deux à cinq ans, figurent notamment :

  • L’IA agentique : Cette technologie présente un fort potentiel immédiat pour automatiser des processus métier ciblés avec une flexibilité et une adaptabilité accrues. Si les premiers exemples d’agents d’IA autonomes sont prometteurs, leur généralisation nécessitera des avancées notables en matière de précision, de fiabilité et de coordination.
  • L’IA générative pour le contenu visuel : Cette technologie révolutionne la façon dont les entreprises conçoivent et diffusent des images, vidéos et animations photoréalistes. L’IA générative appliquée au contenu visuel est appelée à jouer un rôle majeur dans les secteurs du marketing, de la publicité, de la vente au détail et du commerce électronique, en proposant des expériences immersives, personnalisées et en renforçant l’engagement ainsi que la satisfaction des consommateurs.

Les technologies émergentes dont l’adoption à grande échelle devrait nécessiter au moins cinq ans avant de générer une valeur ajoutée concrète pour les entreprises :

  • Robots humanoïdes : Cette technologie émergente fait son entrée pour la première fois sur cette liste. L’intelligence artificielle générative et la baisse des coûts des composants matériels ont entraîné un développement rapide des robots humanoïdes. Ce sont des machines autonomes équipées de capteurs sophistiqués, d’intelligence artificielle et d’actionneurs, et capables d’imiter l’apparence humaine et d’accomplir diverses tâches. Cependant, des défis persistent, tels que le coût élevé de la recherche et du développement, ainsi que la complexité de l’intégration dans les systèmes et infrastructures actuels, ce qui entravera leur déploiement généralisé.

« Alors que l’IA se généralise, les dirigeants d’entreprise et les responsables technologiques doivent réorienter leurs investissements vers les leviers les plus efficaces pour stimuler la croissance, favoriser l’innovation et renforcer leur compétitivité », déclare Sharyn Leaver, directrice de la recherche chez Forrester. « Malgré un contexte économique mondial incertain, l’IA poursuit son développement à un rythme soutenu. Les organisations capables de conjuguer audace technologique et maîtrise des risques seront les mieux placées pour prospérer durablement », ajoute-t-elle.

Ressources :

  • Inscrivez-vous à un webinaire gratuit pour découvrir les 10 principales technologies émergentes identifiées par Forrester pour 2025, ainsi que leur potentiel d’application dans divers secteurs d’activité.
  • Inscrivez-vous aux sommets Forrester 2025 sur la technologie et l’innovation en Amérique du Nord, dans la région EMEA et en Asie-Pacifique.

About Forrester

Forrester (Nasdaq : FORR) figure parmi les cabinets de recherche et de conseil les plus influents au monde. Nous accompagnons les dirigeants des secteurs technologique, de l’expérience client, du numérique, du marketing, des ventes et des produits afin qu’ils fassent preuve d’audace dans leurs décisions et accélèrent leur croissance en plaçant le client au cœur de leur stratégie. Grâce à notre modèle unique de recherche et d’accompagnement continu, nous aidons les dirigeants et leurs équipes à concrétiser leurs initiatives et à atteindre leurs objectifs plus rapidement et avec assurance. Pour en savoir plus, rendez-vous sur forrester.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Ira Kantor

ikantor@forrester.com

AB InBev publie les résultats du premier trimestre 2025

AB InBev publie les résultats du premier trimestre 2025

Solide début d’année avec une croissance de l’EBITDA dans le haut de nos perspectives, une poursuite de l’expansion des marges et une croissance du BPA sous-jacent dans le haut de la fourchette entre 0% et 10%




BRUXELLES–(BUSINESS WIRE)–Anheuser-Bush InBev (Brussel:ABI) (BMV:ANB) (JSE:ANH) (NYSE:BUD):

Information réglementée1

« La bière est une véritable passion pour les consommateurs. La solidité de la catégorie bière et la dynamique continue de nos méga-marques ont permis de réaliser un nouveau trimestre de croissance rentable. L’EBITDA affiche une hausse dans la fourchette haute de nos perspectives et l’optimisation continue de nos activités a stimulé une augmentation du BPA sous-jacent de 7.1%. L’exécution rigoureuse de notre stratégie par nos équipes et partenaires nous a permis de réaliser un solide début d’année, renforçant ainsi notre confiance dans la réalisation de nos perspectives pour 2025. » – Michel Doukeris, CEO, AB InBev

Produits

+1.5%

Les produits ont augmenté de 1.5%, avec une hausse des produits par hl de 3.7%. Les produits rapportés ont diminué de 6.3% à 13 628 millions d’USD, impactés par des taux de change défavorables.

 

4.4% d’augmentation pour les produits combinés de nos méga-marques, Corona en tête, enregistrant une croissance de 11.2% en dehors de son marché domestique au cours du 1T25.

 

34% d’augmentation pour les produits de notre portefeuille de bières sans alcool.

 

53% d’augmentation en valeur brute des marchandises provenant des ventes de produits tiers par le biais de BEES Marketplace, pour atteindre 645 millions d’USD

 

Volumes

-2.2%

Les volumes ont reculé de 2.2%, avec une baisse de 2.5% des volumes de bières et une baisse de 0.2% des volumes des non-bières.

EBITDA normalisé

+7.9%

Au 1T25, l’EBITDA normalisé a augmenté de 7.9% à 4 855 millions d’USD, avec un accroissement de la marge de 218 points de base à 35.6%.

 

Bénéfice sous-jacent

1 606 millions d’USD

Le bénéfice sous-jacent était de 1 606 millions d’USD au 1T25, par rapport à 1 509 millions d’USD au 1T24. Le bénéfice rapporté attribuable aux porteurs des capitaux propres d’AB InBev s’élevait à 2 148 millions d’USD au 1T25 comparé à 1 091 millions d’USD au 1T24, impacté positivement par les éléments non sous-jacents.

 

BPA sous-jacent

0.81 USD

Le bénéfice par action (BPA) sous-jacent a augmenté de 7.1% pour atteindre 0.81 USD. À taux de change constants, le BPA sous-jacent a augmenté de 20.2%.

1L’information ci-jointe constitue une information réglementée au sens de l’arrêté royal belge du 14 novembre 2007 relatif aux obligations des émetteurs d’instruments financiers admis à la négociation sur un marché réglementé. Pour consulter les mentions légales importantes et les notes sur la base de préparation, veuillez vous référer à la page 12.

Commentaires de la direction

Solide début d’année avec une croissance de l’EBITDA dans le haut de nos perspectives, une poursuite de l’expansion des marges et une croissance du BPA sous-jacent dans le haut de la fourchette entre 0% et 10%

Notre entreprise a de nouveau réalisé une solide performance financière au 1T25. L’EBITDA a augmenté de 7.9% avec un accroissement de la marge de 218 points de base stimulé par la croissance des produits, des coûts des ventes favorables et une gestion disciplinée des frais généraux. Le BPA sous-jacent s’élevait à 0.81 USD, une augmentation de 7.1% en USD et de 20.2% à taux de change constants par rapport au 1T24, stimulée principalement par la croissance de 10.3% de l’EBIT et l’optimisation continue de nos coûts financiers nets.

Nos produits ont augmenté de 1.5%, avec une croissance des produits sur environ 50% de nos marchés, stimulée par une augmentation des produits par hl de 3.7% résultant de choix disciplinés en matière de gestion des produits et de la premiumisation continue. Nous avons renforcé la puissance globale de notre portefeuille de marques, portée par l’augmentation de nos investissements marketing et leur efficacité. En outre, nous estimons avoir gagné ou maintenu des parts de marché dans 60 % de nos marchés. La performance des volumes a toutefois été impactée par des facteurs liés au calendrier tels que le nombre inférieur de jours de vente par rapport au 1T24 (année bissextile) et les effets d’échelonnement des livraisons à Pâques, entraînant un recul de 2.2%.

Progression de nos priorités stratégiques

Nous poursuivons la mise en œuvre de nos trois piliers stratégiques clés et les investissements dans ceux-ci afin de générer une croissance durable et une création de valeur à long terme.

(1) Mener et développer la catégorie :

Nous avons renforcé la puissance globale de notre portefeuille de marques, portée par l’augmentation de nos investissements marketing et leur efficacité. En outre, nous estimons avoir gagné ou maintenu des parts de marché dans 60 % de nos marchés.

(2) Digitaliser et monétiser notre écosystème :

BEES Marketplace a généré 645 millions d’USD en valeur brute des marchandises provenant des ventes de produits tiers, soit une croissance de 53% par rapport au 1T24. La valeur brute des marchandises de BEES a globalement augmenté de 10% pour atteindre 11.6 milliards d’USD.

(3) Optimiser nos activités :

Le BPA sous-jacent s’élevait à 0.81 USD, une augmentation de 7.1% en USD et de 20.2% à taux de change constants par rapport au 1T24, stimulée principalement par la croissance de 10.3% de l’EBIT et l’optimisation continue de nos coûts financiers nets.

(1) Mener et développer la catégorie

Nous utilisons nos cinq leviers réplicables pour favoriser la croissance de catégorie. Notre performance au niveau de chaque levier a été tirée par nos méga-marques, qui ont enregistré une augmentation des produits de 4.4%.

  • Participation à la catégorie : Les investissements dans nos méga-marques et nos innovations ont stimulé une hausse estimée à 60 points de base du pourcentage de consommateurs ayant atteint l’âge légal de consommation qui achètent dans notre portefeuille sur l’ensemble de nos marchés clés, ce qui correspond à 6 millions de nouveaux consommateurs sur une base annualisée. Les hausses de participation ont été stimulées par nos méga-marques et notre portefeuille de bières sans alcool.
  • Supériorité core : Les produits de notre portefeuille mainstream ont augmenté de 0.3%, stimulés par une croissance à deux chiffres en Corée du Sud et une hausse dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10% en Colombie et au Mexique.
  • Choix équilibrés : Notre portefeuille de choix équilibrés, constitué de marques de bières pauvres en glucides, sans sucre, sans gluten et sans alcool ou à faible teneur en alcool, a réalisé une hausse des produits de 2.7%. La croissance a été tirée par notre portefeuille de bières sans alcool, qui a enregistré une hausse des produits de 34% et a remporté des parts de marché dans les bières sans alcool sur l’ensemble de notre empreinte, selon nos estimations, sous l’impulsion de Corona Cero, qui affiche une hausse à trois chiffres des volumes.
  • Premiumisation : Notre portefeuille de bières above core a réalisé une hausse des produits de 1.8%. Corona a tiré notre performance, affichant une hausse des produits de 11.2% en dehors du Mexique, avec une hausse à deux chiffres des volumes sur plus de 30 marchés.
  • Beyond Beer : La croissance de notre portefeuille Beyond Beer s’est accélérée au 1T25, enregistrant une hausse des produits de 16.6%, tirée par la croissance à deux chiffres de Cutwater et Nütrl aux États-Unis et de Beats au Brésil.

(2) Digitaliser et monétiser notre écosystème

  • Digitaliser nos relations avec plus de 6 millions de clients dans le monde : Au 31 mars 2025, BEES était opérationnelle sur 28 marchés, environ 72% de nos produits ayant été générés à travers les plateformes numériques B2B. Au 1T25, BEES a généré 11.6 milliards d’USD en valeur brute des marchandises, soit une croissance de 10% par rapport au 1T24.
  • Monétiser notre circuit d’accès au marché : BEES Marketplace a généré 10 millions de commandes et 645 millions d’USD en valeur brute des marchandises provenant des ventes de produits tiers, soit une croissance de 27% et de 53%, respectivement, par rapport au 1T24.
  • Se placer en tête des solutions DTC : Notre écosystème omnicanal DTC de produits numériques et physiques a généré environ 275 millions d’USD de produits. Nos méga-marques DTC, Zé Delivery, TaDa Delivery et PerfectDraft, ont généré 19.2 millions de commandes e-commerce et ont rapporté 117 millions d’USD de produits au cours de ce trimestre, ce qui représente une hausse de 12% par rapport au 1T24.

(3) Optimiser nos activités

  • Maximiser la création de valeur : L’EBITDA a augmenté de 7.9%, avec un accroissement de la marge de 218 points de base, favorisé par une affectation des ressources et une gestion des frais généraux rigoureuses. L’optimisation de nos dépenses d’investissement a stimulé une amélioration de l’efficacité dans les charges de dépréciation et d’amortissement, entraînant une croissance de l’EBIT de 10.3%. Au 5 mai 2025, nous avons finalisé 70% de notre programme de rachat d’actions de 2 milliards d’USD que nous avions annoncé le 31 octobre 2024.
  • Promouvoir nos priorités de développement durable : Dans le cadre de l’action pour le climat, nos émissions de scopes 1 et 2 par hectolitre produit s’élevaient à 4.44 kgCO2e/hl au 1T25, une diminution de 45.7% par rapport à la référence de 2017. Dans le cadre de la gestion de l’eau, notre taux d’efficacité de consommation d’eau s’est amélioré en atteignant 2.44 hl par hl au 1T25 par rapport à 2.55 hl par hl au 1T24, tandis que nous poursuivons notre ambition d’atteindre 2.50 hl par hl sur une base annuelle d’ici fin 2025.

Assurer une croissance régulière et fiable

Nous sommes encouragés par nos résultats de début d’année, par la résilience de la catégorie bière et par l’exécution cohérente de notre stratégie assurée par nos équipes et partenaires. Notre activité est locale, avec plus de 98% de notre volume produit localement, et notre empreinte bénéficie de moteurs structurels favorables à une croissance des volumes à long terme, soutenue par une dynamique démographique positive, le développement économique en cours et des opportunités d’augmentation de la participation à la catégorie. La solidité de nos résultats et les fondamentaux robustes de notre entreprise renforcent notre confiance dans notre capacité à générer une croissance régulière et fiable et à créer un avenir avec plus de célébrations.

Perspectives 2025

(i) Performance générale : Nous prévoyons une hausse de notre EBITDA conforme à nos perspectives à moyen terme, soit entre 4-8%. Les perspectives pour l’EX25 reflètent notre évaluation actuelle de l’inflation et du contexte macroéconomique.

(ii) Coûts financiers nets : Les charges nettes d’intérêts liées aux pensions et les charges de désactualisation devraient se situer entre 190 et 220 millions d’USD par trimestre, en fonction de la fluctuation des devises et des taux d’intérêt. Pour l’EX25, le coupon moyen de la dette brute devrait se situer autour de 4%.

(iii) Taux d’imposition effectif (TIE) : Le TIE normalisé pour l’EX25 devrait se situer entre 26% et 28%. Les perspectives relatives au TIE ne tiennent pas compte de l’impact d’éventuelles modifications futures de la législation.

(iv) Dépenses nettes d’investissement : Les dépenses nettes d’investissement devraient se situer entre 3.5 et 4.0 milliards d’USD pour l’EX25.

Tableau 1. Résultats consolidés

en millions d’USD, sauf le BPA en USD par action et les volumes en milliers d’hls

1T24

1T25

Croissance

Interne

Volumes

139 536

136 268

(2.2

)%

Bières

119 683

116 778

(2.5

)%

Non-Bières

19 852

19 490

(0.2

)%

Produits

14 547

13 628

1.5

%

Marge brute

7 894

7 583

5.2

%

Marge brute en %

54.3%

55.6%

203bps

EBITDA normalisé

4 987

4 855

7.9

%

Marge EBITDA normalisé

34.3%

35.6%

218bps

EBIT normalisé

3 642

3 587

10.3

%

Marge EBIT normalisé

25.0%

26.3%

218bps

 

Bénéfice attribuable aux porteurs des capitaux propres d’AB InBev

1 091

2 148

Bénéfice sous-jacent

1 509

1 606

 

BPA de base

0.54

1.08

BPA sous-jacent

0.75

0.81

Tableau 2. Volumes

en milliers d’hls

1T24

Scope

Croissance

interne

1T25

Croissance interne

Total

Bières

Amérique du Nord

21 353

(144

)

(1 368

)

19 842

(6.4

)%

(6.4

)%

Amériques du Centre

35 690

 

(610

)

35 081

(1.7

)%

(1.5

)%

Amérique du Sud

40 347

 

544

 

40 891

1.3

%

1.4

%

EMEA

21 030

(35

)

(243

)

20 752

(1.2

)%

(1.8

)%

Asie-Pacifique

21 045

(93

)

(1 304

)

19 648

(6.2

)%

(6.2

)%

Exportations Globales et Sociétés Holding

70

(3

)

(13

)

54

(19.2

)%

(19.2

)%

AB InBev au niveau mondial

139 536

(274

)

(2 993

)

136 268

(2.2

)%

(2.5

)%

Performance des marchés clés

États-Unis : Gains de part de marché continus, stimulés par la croissance de Michelob Ultra

  • Performance opérationnelle : Les produits ont diminué de 5.1%, avec une hausse des produits par hl de 1.7% stimulée par les initiatives de gestion des produits et la premiumisation. Les ventes aux détaillants ont diminué de 5.4%, une performance estimée supérieure au secteur, qui a été impacté par une météo défavorable et par les effets d’échelonnement des livraisons à Pâques. Les ventes aux grossistes ont reculé de 6.7%, impactés par un jour de vente en moins par rapport au 1T24. L’EBITDA a baissé de 1.7%, la performance des produits ayant été partiellement atténuée par les initiatives de productivité et les gains d’efficacité en matière de frais de vente, dépenses administratives et autres frais généraux tandis que nous avons continué à augmenter les investissements en marketing.
  • Faits commerciaux marquants : Notre portefeuille a gagné des parts de marché dans le secteur de la bière et la catégorie des boissons spiritueuses prêtes-à-boire, selon Circana. Notre portefeuille de bières a été tiré par Michelob Ultra et Busch Light, qui ont été les deux marques ayant gagné le plus de part de marché en termes de volume dans le secteur, tandis que notre portefeuille de boissons spiritueuses prêtes-à-boire a réalisé une forte croissance à deux chiffres des volumes, Cutwater et Nütrl en tête. Nous sommes le leader des bières sans alcool, notre portefeuille affichant une hausse des volumes dans le haut de la fourchette entre 20% et 30%, stimulée par Michelob Ultra Zero qui a été l’innovation n°1 dans le secteur de la bière au 1T25. La catégorie bière a été impactée par une météo défavorable au 1T25 et par des facteurs liés au calendrier, mais les tendances se sont améliorées en avril, selon Circana, avec la normalisation des conditions météorologiques.

Mexique : La hausse des produits et l’accroissement de la marge ont stimulé une hausse à deux chiffres des bénéfices

  • Performance opérationnelle : Les produits ont augmenté dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, avec une hausse des produits par hl dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10% stimulée par les initiatives de gestion des produits. Les volumes enregistrent une baisse dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, ce qui correspond au secteur qui a été impacté négativement par des facteurs liés au calendrier. L’EBITDA a augmenté dans le milieu de la fourchette entre 10% et 20%, avec une expansion de la marge.
  • Faits commerciaux marquants : Notre performance a été tirée par notre portefeuille de bières above core, qui a enregistré une croissance des produits dans le haut de la fourchette entre 0% et 10%, stimulée par Modelo, notre portefeuille de bière core réalisant une croissance des produits dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%. Nous menons la croissance dans les bières sans alcool, Corona Cero affichant une forte hausse à deux chiffres des volumes. Nous avons continué de faire progresser nos initiatives numériques, BEES Marketplace enregistrant une croissance de 42% en valeur brute des marchandises par rapport au 1T24, et notre plateforme DTC numérique, TaDa Delivery, augmentant son nombre de commandes de 18%.

Colombie : Des volumes records ont stimulé une croissance à deux chiffres des bénéfices

  • Performance opérationnelle : Les produits ont augmenté dans le haut de la fourchette entre 0% et 10%, avec une hausse des produits par hl dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, stimulée par les initiatives de gestion des produits. Les volumes affichent une croissance dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, avec notre portefeuille maintenant sa part dans les ventes totales d’alcool. L’EBITDA a augmenté dans le bas de la fourchette entre 10% et 20%, avec un accroissement de la marge.
  • Faits commerciaux marquants : Nos marques de bière above core ont tiré notre performance, enregistrant une hausse des volumes dans le haut de la fourchette entre 0% et 10% et stimulant des volumes records au premier trimestre. Notre portefeuille de bières core a réalisé une hausse des volumes dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, stimulée par la croissance continue d’Aguila.

Brésil : Le maintien de la dynamique a stimulé une hausse à deux chiffres des bénéfices avec un accroissement de la marge et des volumes historiquement élevés

  • Performance opérationnelle : Les produits ont augmenté de 4.6% avec une croissance des produits par hl de 3.1%, stimulée par la premiumisation et les initiatives de gestion des produits. Les volumes totaux ont augmenté de 1.4%, les volumes de bière enregistrant une hausse de 0.8%. Les volumes des non-bières ont augmenté de 3.2%. L’EBITDA a augmenté de 13.5% avec un accroissement de la marge de 278 points de base.
  • Faits commerciaux marquants : Nos marques premium et super premium ont tiré notre performance, enregistrant une croissance des volumes dans le bas de la fourchette entre 20% et 30%, Stella Artois et Corona. Nous sommes le leader des bières sans alcool, nos volumes affichant une forte croissance à deux chiffres, menée par Brahma 0.0 et Corona Cero. La performance des non-bières a été tirée par notre portefeuille de boissons à faible teneur en sucre et sans sucre, qui affiche une hausse des volumes dans le bas de la fourchette entre 20% et 30%. Nous avons continué de faire progresser nos initiatives numériques, BEES Marketplace enregistrant une croissance de 92% en valeur brute des marchandises, et notre plateforme DTC numérique, Zé Delivery, générant près de 17 millions de commandes au cours de ce trimestre, soit une hausse de 5% par rapport au 1T24.

Europe : Hausse à deux chiffres des bénéfices stimulée par la poursuite de la premiumisation et par un redressement de la marge

  • Performance opérationnelle : Nos produits ont régressé dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, nos produits par hl affichant une hausse dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, stimulée par la premiumisation continue. Les volumes affichent une baisse dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, égalant ou surpassant le secteur sur la majorité de nos marchés clés, selon nos estimations, lequel a été impacté négativement par des facteurs liés au calendrier. L’EBITDA a augmenté dans le bas de la fourchette entre 10% et 20%, avec un redressement de la marge.
  • Faits commerciaux marquants : Nous avons poursuivi la premiumisation de notre portefeuille, notre portefeuille premium et super premium représentant 60% de nos produits du 1T25. Notre performance a été stimulée par nos méga-marques, Corona et Stella Artois affichant une hausse des volumes dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%. Notre portefeuille de bières sans alcool a enregistré une augmentation des volumes dans le haut de la fourchette entre 10% et 20%, tirée par Corona Cero, qui a réalisé une forte croissance à deux chiffres des volumes. Au Royaume-Uni, à compter de janvier 2025, nous avons renforcé notre portefeuille avec l’ajout de la marque San Miguel et nous sommes désormais le brasseur leader du secteur.

Afrique du Sud : La dynamique soutenue et les gains de parts de marché ont permis de réaliser un nouveau trimestre de croissance des produits et des bénéfices

  • Performance opérationnelle : Les produits ont augmenté dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, avec une hausse des produits par hl dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%. Les volumes affichent un recul dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, surpassant le secteur, selon nos estimations, lequel a été négativement impacté par des facteurs liés au calendrier. L’EBITDA affiche une hausse dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%.
  • Faits commerciaux marquants : La dynamique de nos activités s’est poursuivie, portée par l’exécution rigoureuse de notre stratégie, entraînant des gains estimés de parts de marchés tant dans les segments bière que Beyond Beer. Notre performance a été tirée par nos marques premium et super premium, qui ont enregistré une croissance des volumes dans le bas de la fourchette entre 10% et 20%, stimulée par Corona et Stella Artois. Dans le Beyond Beer, notre portefeuille a enregistré une croissance des volumes dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%.

Chine : Performance impactée par un secteur moins dynamique au sein de notre empreinte

  • Performance opérationnelle : Les volumes ont baissé de 9.2%, faisant moins bien que le secteur selon nos estimations, notre performance ayant été impactée par la faiblesse persistante du secteur dans nos régions clés et le canal hors domicile, et par la gestion des stocks qui a représenté environ un quart de la baisse de nos volumes. Les produits par hl ont régressé de 3.9%, à cause d’un mix géographique et d’un mix de canaux négatifs, entraînant une baisse des produits de 12.7%. L’EBITDA a régressé de 15.2%.
  • Faits commerciaux marquants : Nous restons confiants dans notre stratégie, axée sur la premiumisation, l’expansion géographique et des canaux, ainsi que sur la transformation numérique. Nous renforçons son exécution en augmentant nos investissements dans nos méga-marques et en accélérant notre expansion du canal de consommation à domicile. Au 1T25, nos campagnes de marketing comprenaient des activations étendues liées au Nouvel An chinois et une image remaniée de la marque pour Budweiser, ainsi qu’une nouvelle campagne intégrée pour Harbin Zero Sugar avec la NBA. L’utilisation et la portée de BEES ont continué de s’élargir, la plateforme étant présente dans plus de 320 villes en mars 2025.

Faits marquants sur nos autres marchés

  • Canada : Les produits ont diminué dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, avec une hausse des produits par hl dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%. Les volumes ont diminué dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, surpassant un secteur faible selon nos estimations, lequel a été négativement impacté par des conditions météorologiques défavorables et des facteurs liés au calendrier. Michelob Ultra et Busch ont continué de se surpasser en étant les deux marques remportant le plus de part de marché en termes de volumes dans le secteur.
  • Pérou : Les produits ont augmenté dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, avec une hausse des produits par hl dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, stimulée par les initiatives de gestion des produits. Les volumes enregistrent une baisse dans le bas de la fourchette entre 0% et 10%, ce que nous estimons conforme au secteur, qui a été impacté négativement par des facteurs liés au calendrier.
  • Équateur : Les produits ont enregistré un recul dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, avec une baisse des volumes dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, le secteur ayant été impacté par des facteurs liés au calendrier, trois jours de perte d’activité en raison de lois interdisant la consommation d’alcool durant les élections et une base de comparaison élevée avec la solide performance enregistrée au 1T24, qui avait bénéficié d’un échelonnement des livraisons en prévision d’une hausse de la taxe sur les ventes.
  • Argentine : Les tendances de volumes se sont améliorées de manière séquentielle, avec un recul dans le milieu de la fourchette entre 0% et 10%, les volumes de bières étant estimés en ligne avec ceux du secteur, dans un contexte où la demande générale des consommateurs reste affectée par les pressions inflationnistes.

Contacts

Investisseurs
Shaun Fullalove
E-mail : shaun.fullalove@ab-inbev.com

Ekaterina Baillie
E-mail : ekaterina.baillie@ab-inbev.com

Cyrus Nentin
E-mail : cyrus.nentin@ab-inbev.com

Médias
Media Relations
E-mail : media.relations@ab-inbev.com

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Uptime annonce le rapport annuel sur l’analyse des pannes pour 2025

Uptime annonce le rapport annuel sur l’analyse des pannes pour 2025

Le 7e rapport annuel analyse les données relatives aux pannes des systèmes informatiques et des centres de données, notamment leurs causes, leurs coûts et leurs conséquences

NEW YORK–(BUSINESS WIRE)–Uptime Institute a annoncé aujourd’hui la publication de son 7e rapport annuel Outage Analysis 2025. La prévention des pannes dans les centres de données reste une priorité stratégique pour les propriétaires et les opérateurs de centres de données. L’équipement des infrastructures s’est amélioré, mais la complexité des architectures modernes et l’évolution des menaces extérieures engendrent de nouveaux risques que les opérateurs doivent gérer activement.


Pour la quatrième année consécutive, Uptime Intelligence Research indique que la fréquence globale des pannes et le niveau général de gravité signalée continuent de diminuer. Cependant, les incidents de cybersécurité sont en augmentation et ont souvent des conséquences graves et durables.

« Les pannes ont globalement ralenti », a déclaré Andy Lawrence, membre fondateur et directeur exécutif, Uptime Intelligence. « Les opérateurs de centres de données sont confrontés à un nombre croissant de risques externes échappant à leur contrôle, notamment les contraintes du réseau électrique, les conditions météorologiques extrêmes, les défaillances des fournisseurs de réseau et les problèmes liés aux logiciels de tiers. Et malgré un paysage de risques plus volatile, des améliorations se produisent. »

L’analyse annuelle des pannes d’Uptime est unique dans l’industrie et s’appuie sur de multiples enquêtes, sur les informations fournies par les membres et partenaires de l’Uptime Institute et sur sa base de données des pannes signalées publiquement.

Principales conclusions :

  • Les pannes sont de moins en moins fréquentes et de moins en moins graves par rapport à la croissance rapide des infrastructures numériques. Cette tendance se maintient depuis plusieurs années, soulignant les progrès de l’industrie en matière de gestion des risques et de fiabilité.
  • L’alimentation électrique demeure la principale cause de pannes majeures. En 2024, les pannes liées aux problèmes informatiques et de réseaux ont augmenté, représentant 23 % des pannes les plus importantes. Cette tendance reflète le recours croissant aux fournisseurs de colocation, aux services infonuagiques et à d’autres prestataires tiers. Si l’externalisation peut réduire certains risques pour les entreprises, des défaillances majeures surviennent encore, parfois avec de lourdes conséquences. Cette hausse est probablement liée à la complexité croissante des systèmes informatiques et rde éseaux, entraînant des problèmes de gestion des changements et de mauvaises configurations.
  • Les outils de résilience logiciels et distribués se développent. Ces systèmes améliorent la disponibilité, mais peuvent aussi introduire de nouveaux risques et complexités. L’utilisation conjointe de stratégies de résilience logicielles et de redondance physique contribue sans aucun doute à une meilleure disponibilité globale. Toutefois, la complexité supplémentaire engendre ses propres problématiques et peut rendre floue la répartition des responsabilités en cas de défaillance, ce qui complique l’analyse des causes profondes et la classification des pannes.
  • La transformation du secteur s’accélère. La demande explosive en intelligence artificielle met à rude épreuve les infrastructures actuelles – notamment en matière d’alimentation et de refroidissement – tandis que les limites des réseaux électriques et les tensions géopolitiques font peser de nouvelles incertitudes sur les chaînes d’approvisionnement et les projets d’expansion. Ensemble, ces pressions pourraient finir par compromettre la stabilité des tendances actuelles en matière de fiabilité.

En 2025, la part des pannes liées à des erreurs humaines dues au non-respect des procédures a augmenté de 10 % par rapport à 2024. Le non-suivi des procédures par le personnel est devenu une cause encore plus fréquente de panne qu’auparavant, ce qui révèle un important levier de réduction des incidents grâce à la formation et à la révision des processus. La grande majorité des pannes causées par des erreurs humaines sont liées à des procédures ignorées ou inadéquates. Près de 40 % des organisations ont subi une panne majeure causée par une erreur humaine au cours des trois dernières années. Parmi ces incidents, 85 % sont dus au non-respect des procédures par le personnel ou à des lacunes dans les procédures elles-mêmes. Les raisons de cette augmentation ne sont pas claires, mais pourraient découler de la croissance rapide du secteur et des pénuries de personnel dans de nombreuses régions. Bien que l’amélioration de la documentation et des processus reste essentielle, une attention accrue portée à la formation du personnel et au soutien opérationnel en temps réel pourrait permettre de mieux réduire les risques.

Depuis neuf ans que Uptime suit les pannes signalées publiquement, les fournisseurs de services informatiques et de centres de données tiers – dont les géants de l’informatique en nuage et de l’Internet, les entreprises de télécommunications et de colocation – sont à l’origine d’environ deux tiers des pannes signalées.

En 2024, les pannes attribuées aux fournisseurs de services numériques ont augmenté, tandis que celles provenant des géants du cloud et d’Internet ont diminué – probablement en raison des investissements des hyperscalers dans des solutions de résilience distribuée et de basculement régional. Pour la troisième année consécutive, le secteur financier a enregistré une baisse de la fréquence des pannes par rapport à la moyenne à long terme depuis 2020. Cette amélioration pourrait refléter l’effet de réglementations plus strictes et d’une surveillance renforcée à la suite de plusieurs pannes majeures très médiatisées survenues avant 2021.

Pour en savoir plus : Pour en savoir plus sur les dernières recherches d’Uptime sur les défaillances des infrastructures numériques, inscrivez-vous au prochain webinaire 2025 Annual Outage Analysis le mercredi 7 mai à 9 h 00 PDT ici. Un résumé de 9 pages, extrait d’un rapport beaucoup plus détaillé de 26 pages, peut être téléchargé ici.

Pour accéder à l’intégralité du rapport Annual Outage Analysis 2025 et à Uptime Intelligence sur la base d’une évaluation, veuillez consulter le site suivant : https://intelligence.uptimeinstitute.com/request-evaluation. Le rapport complet est disponible pour les membres d’Uptime Network et les abonnés d’Uptime Intelligence. (Presse : email publicrelations@uptimeinstitute.com)

À propos d’Uptime Institute

Uptime Institute est l’autorité mondiale en matière d’infrastructures numériques. Avec plus de 3 500 certifications délivrées dans plus de 118 pays à travers le monde, et plus de 1 100 projets actuellement actifs dans plus de 80 pays, Uptime a aidé des dizaines de milliers d’entreprises à optimiser leurs actifs informatiques stratégiques tout en maîtrisant les coûts, les ressources et l’efficacité. Depuis plus de 30 ans, l’entreprise établit des références reconnues dans le secteur en matière de performance, de résilience, de durabilité et d’efficacité des centres de données. Ces standards offrent aux clients, l’assurance que leurs infrastructures numériques pourront fonctionner dans une grande variété de conditions d’exploitation, à un niveau adapté aux besoins spécifiques de leur entreprise. Le Tier Standard d’Uptime est la norme mondiale la plus fiable et la plus adoptée dans l’industrie informatique pour la conception, la construction et l’exploitation des centres de données. L’offre comprend le Tier Standard et ses certifications, des évaluations et audits de gestion et d’exploitation, dont l’évaluation SCIRA-FSI des risques propres au secteur financier, l’évaluation de la durabilité, ainsi qu’un large éventail de services liés à la gestion des risques, à la performance, à la disponibilité, et plus encore. Les programmes de formation d’Uptime Education ont été suivis par plus de 90 000 professionnels de centres de données, notamment les certifications très prisées ATD (Accredited Tier Designer) et AOS (Accredited Operations Specialist). Le catalogue d’Uptime Education s’est enrichi en 2023 avec l’acquisition de CNet Training Ltd.

Uptime Institute a son siège social à New York, et dispose de bureaux à Londres, à Sao Paulo, à Dubaï, au Royaume d’Arabie saoudite, à Singapour, à Taipei, et des professionnels Uptime à plein temps basés dans plus de trente-quatre pays à travers le monde. Pour plus d’informations, rendez-vous sur uptimeinstitute.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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Brenda South

bsouth@uptimeinstitute.com
206/706-4647

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