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Lifezone Metals publie une première évaluation du projet Kabanga Nickel en Tanzanie

Lifezone Metals publie une première évaluation du projet Kabanga Nickel en Tanzanie

Le plan d’intégration verticale prévoit la construction d’une raffinerie hydrométallurgique à Kahama

Valeur actuelle nette après impôts de 2,37 milliards de dollars (taux d’actualisation de 8 %) et taux de rendement interne après impôts de 22,9 %, calculés sur la base d’un prix du nickel de 8,49 dollars américains la livre.

Une évaluation initiale prévoit un plan minier de 22 ans avec une teneur moyenne de 2,39 % en équivalent nickel.

Webdiffusion avec l’équipe de direction technique, le mardi 3 juin 2025 à 10 h (heure de l’Est).

NEW YORK–(BUSINESS WIRE)–Chris Showalter, président-directeur général de Lifezone Metals Limited (NYSE : LZM), et Gerick Mouton, directeur de l’exploitation, annoncent aujourd’hui les résultats de l’évaluation initiale du projet phare Kabanga Nickel, situé dans le nord-ouest de la Tanzanie. Cette évaluation porte sur une opération intégrée verticalement, comprenant l’extraction minière, le traitement et le raffinage. Le projet débuterait par l’exploitation souterraine d’un gisement de sulfures de nickel à haute teneur et par l’installation d’une usine de concentration sur le site de Kabanga, avant la mise en service, cinq ans plus tard, d’une raffinerie hydrométallurgique à Kahama. L’étude couvre les zones Main, MNB, Kima, North et Tembo, et repose sur la mise à jour des ressources minérales publiée en décembre 2024 (voir le communiqué de presse de Lifezone en date du 5 décembre 2024). Le résumé du rapport technique de cette évaluation initiale a été déposé via le formulaire 6-K auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, et est consultable sur EDGAR ainsi que sur le site des relations investisseurs de la société.




Lifezone prévoit de finaliser d’ici juillet 2025 le résumé du rapport technique de l’étude de faisabilité du projet Kabanga, portant sur la première phase de développement de la mine souterraine et de l’usine de concentration.

Résumé du rapport technique de l’évaluation initiale :

Cette évaluation initiale est de nature préliminaire et repose sur des ressources minérales présumées, lesquelles présentent un caractère géologique trop spéculatif pour que des facteurs modificateurs puissent leur être appliqués en vue de les reclassifier en réserves minérales. Il n’existe aucune garantie que les résultats économiques présentés se matérialiseront.

  • Plan minier sur 22 ans prévoyant une extraction souterraine de 3,4 millions de tonnes par an, pour une production totale de 67,9 millions de tonnes affichant des teneurs moyennes de 1,93 % en nickel, 0,26 % en cuivre et 0,14 % en cobalt.
  • Une usine de concentration d’une capacité annuelle de 3,4 millions de tonnes, conçue pour produire des concentrés à haute teneur en nickel, cuivre et cobalt, pour un total estimé de 1,15 million de tonnes de nickel, 171 000 tonnes de cuivre et 87 000 tonnes de cobalt.
  • Une capacité de production annuelle pouvant atteindre 50 000 tonnes de nickel contenu sous forme de sulfate de qualité batterie, jusqu’à 7 000 tonnes de cathodes de cuivre de qualité A (99,99 %), conformes aux normes du London Metal Exchange, et jusqu’à 4 000 tonnes de cobalt sous forme de sulfate.
  • Un coût d’investissement de préproduction estimé à 991 millions de dollars, incluant une provision pour imprévus de 16,1 %, pour des revenus totaux projetés issus des ventes minières d’environ 23,68 milliards de dollars, générant un flux de trésorerie disponible après impôts de 8,03 milliards de dollars.
  • Valeur actuelle nette après impôts de 2,37 milliards de dollars, calculée avec un taux d’actualisation de 8 %, et un taux de rendement interne (TRI) après impôts de 22,9 %, sur la base de prix constants des métaux de 8,49 $US/lb pour le nickel, 4,30 $US/lb pour le cuivre et 18,31 $US/lb pour le cobalt.
  • Coût de maintien tout compris pour les produits raffinés à base de nickel estimé en moyenne à 2,71 $US/lb, après déduction des crédits liés aux sous-produits que sont le cuivre et le cobalt.

M. Showalter a déclaré : « Le projet Kabanga Nickel constitue une opportunité exceptionnelle de développer une ressource minérale de nickel à haute teneur et à grande échelle, dotée d’une économie robuste et d’un plan de développement progressif clairement défini jusqu’à la phase de production. L’évaluation initiale met en lumière le potentiel du projet à générer des rendements durables à long terme, porté par un profil d’exploitation à faible coût — environ 80 % de la valeur du projet étant attribuée à la mine et à l’usine de concentration de Kabanga. Notre partenariat avec le gouvernement tanzanien a été essentiel pour faire progresser le projet, et Lifezone demeure fermement engagée en faveur d’un développement responsable et de la création de valeur sur le long terme. L’étude de faisabilité devant être finalisée d’ici juillet, nous sommes idéalement positionnés pour faire avancer ce projet stratégique. »

M. Mouton a ajouté : « Aujourd’hui marque une étape historique majeure dans le parcours de près de cinq décennies du projet Kabanga Nickel. Pour la première fois, Lifezone publie une évaluation technique et économique initiale réalisée conformément à la réglementation S-K 1300 de la SEC américaine. Cette publication vient confirmer les perspectives raisonnables d’une exploitation rentable, tout en validant la solidité des fondations du projet. L’évaluation initiale met en lumière l’intégrité technique et le potentiel d’évolutivité de Kabanga. Grâce à une ingénierie rigoureuse et à une analyse approfondie, l’équipe de Lifezone a su réduire de manière systématique les risques liés au développement de la mine souterraine et de l’usine de concentration. L’approche de développement par étapes que nous avons adoptée renforce notre confiance dans la capacité du projet à conjuguer résilience économique et robustesse opérationnelle. Nous restons pleinement engagés à poursuivre cette dynamique et nous nous réjouissons à l’idée de finaliser et de publier l’étude de faisabilité d’ici juillet 2025. »

MARDI : Webdiffusion avec l’équipe de direction technique de Lifezone, à 10 h (heure de l’Est).

La société invite les actionnaires, les investisseurs et les représentants des médias à assister à une présentation virtuelle suivie d’une discussion portant sur les principaux enseignements de l’évaluation initiale.

Les diapositives de la présentation seront disponibles sur le site Web de Lifezone. La webdiffusion sera enregistrée et accessible en différé pour une durée limitée après l’événement.

Figure 1 : Emplacement du projet Kabanga Nickel en Tanzanie.

Figure 2 : Vue d’ensemble du camp principal sur le site de Kabanga.

Aperçu de l’évaluation initiale du projet Kabanga Nickel

L’évaluation initiale présente un plan de développement intégré en plusieurs étapes pour le projet Kabanga Nickel, avec une exploitation minière souterraine de 3,4 millions de tonnes par an, pour un total de 67,9 millions de tonnes de minerai. La teneur moyenne du minerai est de 1,93 % en nickel, 0,26 % en cuivre et 0,14 % en cobalt, provenant des zones Main, MNB, Kima, North et Tembo. Ce plan permet d’envisager une durée d’exploitation minière de 22 ans.

Les taux de récupération du nickel, du cuivre et du cobalt devraient atteindre en moyenne respectivement 87,3 %, 95,7 % et 89,6 %, grâce à un procédé conventionnel de flottation par moussage. Le concentré riche en nickel ainsi obtenu — avec une teneur de 17,3 % en nickel et de faibles concentrations en éléments indésirables — sera exporté durant les cinq premières années d’exploitation, avant la mise en service de l’usine de raffinage hydrométallurgique de Kahama. Cette raffinerie aura une capacité de production nominale de 50 000 tonnes par an de nickel sous forme de sulfate de qualité batterie, 7 000 tonnes par an de cathodes de cuivre de qualité A (99,99 %), conformes aux normes du London Metal Exchange, ainsi que 4 000 tonnes par an de cobalt sous forme de sulfate.

L’évaluation initiale prévoit des dépenses en immobilisations avant production s’élevant à 991 millions de dollars, incluant une provision pour imprévus de 16,1 %, ainsi que 152 millions de dollars de dépenses d’exploitation capitalisées et 751 millions de dollars destinés au capital de croissance, principalement pour la raffinerie. Le capital de maintien, comprenant les coûts de fermeture, est estimé à 1,56 milliard de dollars. Une période de construction de 2,5 ans est envisagée pour la mine et l’usine de concentration.

L’analyse économique du projet repose sur des hypothèses de prix consensuelles à long terme. En retenant des prix de 8,49 $/lb pour le nickel, 4,30 $/lb pour le cuivre et 18,31 $/lb pour le cobalt, l’évaluation initiale fait ressortir une valeur actuelle nette après impôts (actualisée à 8 %) de 2,4 milliards de dollars, assortie d’un taux de rendement interne après impôts de 22,9 %.

Tableau 1 : Résumé des résultats de l’évaluation initiale.

Mine et usine de concentration de Kabanga

 

Plan minier

22 ans

Alimentation de l’usine

67,9 millions de tonnes (Mt)

Capacité nominale de traitement de l’usine

3,4 millions de tonnes par an (Mt/an)

Teneur moyenne en nickel de l’alimentation

1,93 %

Teneur moyenne en cuivre de l’alimentation

0,26 %

Teneur moyenne en cobalt de l’alimentation

0,14 %

Taux moyen de récupération du nickel

87,3 %

Taux moyen de récupération du cuivre

95,7 %

Taux moyen de récupération du cobalt

89,6 %

Concentré total produit

7 263 kilotonnes (kt) humides

Teneur moyenne en nickel du concentré

17,3 %

Teneur en humidité du concentré

9 %

Production totale de nickel (dans le concentré)

1 146 kt

Production totale de cuivre (dans le concentré)

171 kt

Production totale de cobalt (dans le concentré)

87 kt

Raffinerie de Kahama

 

Taux moyen de récupération du nickel en raffinerie

97,2 %

Taux moyen de récupération du cuivre en raffinerie

93 %

Taux moyen de récupération du cobalt en raffinerie

97,7 %

Production totale de sulfate de nickel

3 419 kt

Production totale de cathodes de cuivre

110 kt

Production totale de sulfate de cobalt

272 kt

Coûts d’exploitation

 

Exploitation minière

54,24 $ US/tonne traitée

Usine de concentration et infrastructures

12,37 $ US/tonne traitée

Raffinerie de Kahama

18,57 $ US/tonne traitée

Frais de gestion, administration et frais généraux

4,88 $ US/tonne traitée

Coûts d’exploitation totaux

90,06 $ US/tonne traitée

Coûts de maintien tout inclus (All-In Sustaining Costs)

 

Exploitation minière

1,60 $ US/livre de nickel payable

Usine de concentration

0,36 $ US/livre de nickel payable

Frais généraux et administratifs (G&A)

0,12 $ US/livre de nickel payable

Transport et assurance du concentré

0,22 $ US/livre de nickel payable

Raffinerie de Kahama, transport et assurance

0,81 $ US/livre de nickel payable

Coût de revient total (hors crédits liés aux sous-produits)

3,11 $ US/livre de nickel payable

Redevances

0,72 $ US/livre de nickel payable

Dépenses de maintien en capital

0,64 $ US/livre de nickel payable

Coûts de maintien tout inclus (hors crédits liés aux sous-produits)

4,47 $ US/livre de nickel payable

Crédit lié au sous-produit cuivre

-0,56 $ US/livre de nickel payable

Crédit lié au sous-produit cobalt

-1,20 $ US/livre de nickel payable

Coûts de maintien tout inclus (nets)

2,71 $ US/livre de nickel payable

Dépenses d’investissement (Capex)

 

Investissements pré-production

991 millions $ US

Charges d’exploitation capitalisées

$152 millions $ US

Investissements de croissance

751 millions $ US

Dépenses de maintien (y compris fermeture)

1 557 millions $ US

Indicateurs d’évaluation

 

Prix du nickel constant

8,49 $ US/livre

Prix du cuivre constant

4,30 $ US/livre

Prix du cobalt constant

18,31 $ US/livre

Taux d’actualisation

8 %

Valeur actuelle nette après impôt (VAN)

2 374 millions $ US

Taux de rendement interne après impôt (TRI)

22,9 %

Délai de récupération à partir de la décision d’investissement final (inclut 2 ans et demi de construction)

9,8 ans

Efficacité du capital (VAN/investissements pré-production incluant charges capitalisées)

2,1

Efficacité du capital (VAN / investissements pré-production + croissance)

1,3

Tableau 2 : Estimations des ressources minérales de Kabanga3 au 4 décembre 2024.

Catégorie de ressource minérale Tonnage
Lifezone3
Teneurs (%) Taux de récupération (%)
(en millions de tonnes) NiÉq24 Nickel Cuivre Cobalt Nickel Cuivre Cobalt
Ressource minérale – toutes zones (sulfures massifs et ultramafiques)
Mesurées

15,9

2,48

1,95

0,26

0,16

82,7

92,0

85,4

Indiquées

31,0

2,69

2,16

0,30

0.,6

82,9

92,6

85,3

Mesurées + Indiquées

46,8

2,62

2,09

0,29

0,16

82,8

92,4

85,3

Présumées

11,3

2,59

2,08

0,28

0,15

83,7

93,7

86,5

1.

Ce tableau présente les ressources minérales associées aux types de minéralisation combinés de sulfures massifs et de roches ultramafiques.

2.

Aucune réserve minérale n’est déclarée à la date du présent résumé du rapport technique d’évaluation initiale.

3.

Les ressources minérales sont déclarées sur la base de la part attribuable à Lifezone, soit 69,713 % du total.

4.

Le seuil s’applique au NiEq24, calculé à partir d’un prix du nickel de 9,50 $ US/lb, du cuivre à 4,50 $ US/lb et du cobalt à 23 $ US/lb, en intégrant les taux de récupération, la payabilité, les déductions, les frais de transport et les redevances.

5.

Les formules utilisées pour le calcul du NiEq24 sont les suivantes : pour MSSX, NiEq24 = Ni + (Cu × 0,454) + (Co × 2,497) ; pour UMAF, NiEq24 = Ni + (Cu × 0,547) + (Co × 2,480).

6.

Le point de référence pour l’estimation des ressources minérales correspond au point d’alimentation de l’usine de concentration.

7.

L’ensemble des ressources minérales figurant dans la mise à jour de 2024 a été évalué afin de déterminer leur viabilité économique. Seules les ressources jugées significatives, dont les teneurs sont supérieures aux seuils de coupure suivants, ont été déclarées : MSSX NiEq24 > 0,73 % et UMAF NiEq24 > 0,77 %.

8.

Les totaux peuvent légèrement varier en raison des effets d’arrondis.

L’évaluation initiale repose sur la mise à jour des ressources minérales de décembre 2024, qui fait état de 46,8 millions de tonnes de ressources minérales mesurées et indiquées attribuables, présentant des teneurs moyennes de 2,09 % en nickel, 0,29 % en cuivre et 0,16 % en cobalt, ainsi que de 11,3 millions de tonnes de ressources minérales présumées attribuables, titrant en moyenne 2,08 % en nickel, 0,28 % en cuivre et 0,15 % en cobalt. Le projet Kabanga Nickel est détenu à 69,713 % par Lifezone, et l’ensemble des ressources minérales est présenté sur une base attribuable à Lifezone.

Pour en savoir plus sur l’accord-cadre conclu entre Lifezone et le gouvernement tanzanien relatif au projet Kabanga Nickel — notamment en ce qui concerne le partage équitable des retombées économiques — veuillez consulter le point 10.C du rapport annuel de Lifezone, déposé sur le formulaire 20-F au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2024, disponible sur le site Internet de la société ou sur sec.gov.

L’évaluation initiale est de nature préliminaire et repose sur des analyses économiques intégrant des ressources minérales présumées, lesquelles sont jugées trop spéculatives sur le plan géologique pour justifier l’application de facteurs modificateurs en vue d’une classification en tant que réserves minérales. Il n’existe aucune garantie que les résultats de cette évaluation se matérialiseront.

Dans un scénario excluant les ressources minérales présumées, l’évaluation initiale estime une valeur actuelle nette après impôts de 2,02 milliards de dollars (taux d’actualisation de 8 %) et un taux de rendement interne après impôts de 23 %, sur la base d’une teneur moyenne légèrement plus élevée, mais d’un tonnage total inférieur

Les estimations des coûts d’investissement, d’exploitation et de maintien ont été établies dans le cadre de l’évaluation initiale. Classées au niveau 5 selon les normes de l’Association pour la promotion de l’ingénierie des coûts (Association for the Advancement of Cost Engineering, AACE), ces estimations comportent une marge d’erreur de ±50 %, conformément aux exigences applicables aux évaluations préliminaires du règlement S-K 1300. Elles viennent appuyer l’analyse économique présentée dans l’évaluation initiale et témoignent de perspectives raisonnables d’exploitation économique des ressources minérales déclarées.

Figure 3 : Calendrier de production fondé sur les ressources minérales mesurées, indiquées et présumées.

L’évaluation initiale présente également une stratégie de gestion durable des résidus miniers, conforme à la Norme mondiale sur la gestion des résidus miniers (Global Industry Standard on Tailings Management) ainsi qu’aux meilleures pratiques du Comité national australien des grands barrages (Australian National Committee on Large Dams). Environ 52 % des résidus non pyrrhotitiques seront réinjectés dans le sol sous forme de pâte, composée de 55 % de résidus et de 45 % de stériles, additionnée de ciment. Les résidus pyrrhotitiques restants seront entreposés dans une installation de stockage entièrement étanchéifiée, construite en aval, dotée d’un système de récupération des infiltrations et d’un dépôt sous eau afin de limiter les risques d’oxydation. L’installation est conçue pour contenir jusqu’à 50 millions de tonnes et résister à un événement climatique extrême survenant une fois tous les 10 000 ans. Le plan de fermeture prévoit un modelé topographique favorisant l’écoulement des eaux ainsi qu’un système de recouvrement multicouche. La conception a été examinée par un comité indépendant d’examen des résidus, les autorités réglementaires tanzaniennes et d’autres experts du secteur.

Une évaluation initiale rigoureuse des aspects économiques d’une source de nickel, de cuivre et de cobalt de première importance à l’échelle mondiale.

Une conception préliminaire de la mine, incluant l’accès aux ressources minérales mesurées, indiquées et présumées, prévoit un plan d’exploitation sur 22 ans, avec une production souterraine totale estimée à 67,9 millions de tonnes, affichant une teneur moyenne de 1,93 % en nickel, 0,26 % en cuivre et 0,14 % en cobalt. Durant les cinq premières années, le projet exportera un concentré à haute teneur en nickel, cuivre et cobalt, tandis que l’usine de raffinage hydrométallurgique de Kahama sera en cours de construction. Une fois opérationnelle, cette dernière favorisera la valorisation locale, en produisant du nickel et du sulfate de cobalt de qualité batterie ainsi que des cathodes de cuivre conformes aux normes du London Metal Exchange, en ligne avec les priorités du gouvernement tanzanien.

Les coûts d’exploitation totaux sont estimés à environ 90 dollars américains par tonne traitée, en moyenne, ce qui inclut les activités minières, le traitement, le raffinage, les frais généraux et administratifs ainsi que la logistique. Le coût de production tout compris (AISC) du nickel raffiné est évalué à 2,71 dollars américains par livre, après déduction des crédits liés aux sous-produits que sont le cuivre et le cobalt.

Les dépenses en immobilisations avant la production sont estimées à 991 millions de dollars américains, incluant une provision pour imprévus de 16,1 %. Ce montant couvre le développement de la mine souterraine, la construction de l’usine de concentration, l’installation de stockage des résidus ainsi que les infrastructures connexes. Les coûts d’exploitation capitalisés sont évalués à 152 millions de dollars. Le capital de croissance, estimé à 751 millions de dollars, est principalement destiné à la construction de la raffinerie de Kahama. Enfin, le capital de maintien sur l’ensemble de la durée du plan minier est estimé à 1,56 milliard de dollars, incluant les coûts de fermeture.

Figure 4 : Estimation des flux de trésorerie projetés.

L’analyse économique du projet repose sur des hypothèses de prix consensuelles à long terme pour les métaux. Les prix retenus dans l’évaluation initiale sont de 8,49 dollars la livre pour le nickel, 4,30 dollars la livre pour le cuivre et 18,31 dollars la livre pour le cobalt. Sur cette base, les revenus totaux du projet sont estimés à 23,68 milliards de dollars. Le projet devrait générer un flux de trésorerie disponible non actualisé après impôts de 8,03 milliards de dollars, une valeur actuelle nette après impôts (actualisation à 8 %) de 2,37 milliards de dollars et un taux de rendement interne après impôts de 22,9 %.

L’évaluation initiale met également en évidence une forte résilience face aux baisses du prix du nickel. D’après une analyse de sensibilité fondée sur un prix hypothétique de 7 dollars la livre, le projet affiche une valeur actuelle nette après impôts de 1,48 milliard de dollars et un taux de rendement interne après impôts de 17,9 %. Cette solidité économique s’explique par la haute teneur des ressources minérales, la contribution significative des sous-produits (cuivre et cobalt), les faibles coûts de maintien à long terme ainsi que l’efficience du capital investi.

Figure 5 : Analyse de sensibilité de la valeur actuelle nette après impôts (taux d’actualisation de 8 %)

Le développement progressif des galeries souterraines renforce l’efficacité du capital et optimise la mise en service des opérations.

L’évaluation initiale présente une stratégie de développement souterrain par phases pour le site de Kabanga, visant à optimiser l’efficacité du capital et à permettre une montée en puissance progressive de la production. L’accès à la mine se fera par des galeries inclinées creusées depuis deux puits en caisson situés dans les zones North et Tembo. La zone Kima sera desservie par la galerie inclinée de North, tandis que les zones Main et MNB seront accessibles depuis la même infrastructure. L’exploitation souterraine atteindra graduellement un rythme nominal de 3,4 millions de tonnes par an, alimentant ainsi l’usine de concentration.

Figure 6 : Conception proposée pour la mine.

L’exploitation minière sera réalisée selon la méthode de l’abattage par longs trous avec remblayage en pâte, avec un espacement de 25 mètres entre les niveaux et des longueurs de chambres d’abattage variant de 20 à 30 mètres. La séquence d’extraction privilégiera les secteurs à haute teneur de la zone Nord. Les zones Nord et Kima devraient représenter environ 65 % du tonnage total des ressources minéralisées, contre 25 % pour Tembo et 10 % pour les zones Main et MNB. La conception de la mine repose sur une modélisation géotechnique approfondie, un plan de ventilation structuré et un système de remblayage performant, garantissant la sécurité et l’efficacité des opérations souterraines.

Le calendrier de développement prévoit une période de construction de deux ans et demi, suivie d’une phase de montée en régime de même durée, durant laquelle seront mis en service les infrastructures essentielles, notamment les systèmes de ventilation, de pompage et les réseaux de services souterrains. Les cinq premières années d’exploitation seront confiées à une entreprise spécialisée sélectionnée à l’issue d’un appel d’offres concurrentiel, garantissant ainsi une exécution expérimentée et une maîtrise rigoureuse des coûts au cours des phases initiales de production.

Figure 7 : Séquence de développement proposée pour la conception de la mine (par année).

Les autres zones d’exploration ciblées présentent un fort potentiel de croissance des ressources

Le résumé du rapport technique de l’évaluation initiale mentionne également une cible d’exploration globale comprise entre 17,5 et 23,5 millions de tonnes, présentant une teneur en équivalent nickel de 1,9 % à 2,1 %. Cette estimation concerne quatre cibles d’exploration hautement prioritaires situées dans le périmètre du permis d’exploitation minière spécial, offrant la possibilité d’étendre le plan minier et d’accroître la valeur potentielle du projet.

Contacts

Relations avec les investisseurs – Amérique du nord

Evan Young

Vice-président principal, Relations investisseurs et marchés financiers

evan.young@lifezonemetals.com

Relation avec les investisseurs – Europe

Ingo Hofmaier

Directeur financier

ingo.hofmaier@lifezonemetals.com

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BeOne Medicines dévoile des données cliniques prometteuses pour deux nouvelles thérapies contre le cancer du sein à l’ASCO 2025

BeOne Medicines dévoile des données cliniques prometteuses pour deux nouvelles thérapies contre le cancer du sein à l’ASCO 2025

Les résultats préliminaires mettent en évidence l’activité antitumorale et les profils d’innocuité favorables de l’ADC ciblant B7-H4 et de l’inhibiteur de CDK2

Les données soulignent la force du pipeline émergent pour le cancer du sein dans le cadre du processus de transformation internationale de BeOne avec la prochaine vague d’innovation

SAN CARLOS, Calif.–(BUSINESS WIRE)–BeOne Medicines Ltd. (NASDAQ : ONC ; HKEX : 06160 ; SSE : 688235), une multinationale spécialisée en oncologie, a annoncé de nouvelles données cliniques issues de son portefeuille émergent de traitements contre le cancer du sein, lors du congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology (ASCO) à Chicago. Les présentations par affiches mettent en lumière les résultats préliminaires des études d’escalade de dose portant sur deux molécules expérimentales : le BG-C9074, un nouvel anticorps conjugué (ADC) ciblant la protéine B7-H4, testé chez des patients atteints de tumeurs solides avancées, dont le cancer du sein, et le BG-68501, un inhibiteur des kinases dépendantes des cyclines de type 2 (CDK2i), administré à des patientes atteintes d’un cancer du sein RH+/HER2– ayant déjà reçu un traitement par inhibiteur de CDK4/6.


« Présenter les premières données cliniques de deux nouvelles molécules candidates contre le cancer du sein à l’ASCO 2025 constitue une étape déterminante pour BeOne, » a déclaré le Dr Mark Lanasa, M.D., Ph.D., directeur médical, tumeurs solides chez BeOne. « Ces premiers résultats soulignent le fort potentiel de notre ADC ciblant B7-H4 et de notre inhibiteur de CDK2 pour combler des lacunes majeures dans le traitement du cancer du sein. Aux côtés de notre inhibiteur de CDK4 en développement, ils ne représentent que le début d’un portefeuille fondé sur une innovation ciblée et guidée par la biologie. Alors que nous dévoilons notre nouvelle identité en tant que BeOne, cette étape marque l’élan de notre science et notre engagement à offrir des thérapies ayant un réel impact aux patients atteints de cancer dans le monde entier. »

BeOne développe un solide portefeuille de médicaments expérimentaux uniques pour le cancer du sein qui peuvent à la fois combattre efficacement la maladie et améliorer potentiellement la qualité de vie des patientes en traitement.

BG-C9074, un ADC ciblant la protéine B7-H4 ( Résumé #3033 )

BeOne a présenté les résultats initiaux de l’étude de phase 1a en cours, première chez l’humain, évaluant l’escalade de dose du BG-C9074 en monothérapie chez 78 patients atteints de tumeurs solides avancées, dont plus du quart étaient atteints d’un cancer du sein. Le BG-C9074 est un anticorps conjugué à un inhibiteur de la topoisomérase I en cours d’investigation, ciblant la protéine B7-H4, largement exprimée dans les cancers du sein et les cancers gynécologiques. Il est conçu avec un lien pharmacologique innovant permettant de délivrer un médicament hautement cytotoxique directement aux cellules cancéreuses.

Chez les 56 patients évaluables sur le plan de l’efficacité, avec un suivi encore limité, des réponses cliniques préliminaires ont été observées à plusieurs niveaux de dose, dans divers types de tumeurs, sans sélection préalable des patients selon l’expression de B7-H4, bien qu’il s’agisse de patients prétraités. Le taux de réponse objective (ORR) confirmé était de 16,1 % (9/56 ; IC à 95 % : 7,6 %–28,3 %), avec 9 réponses partielles confirmées. L’ORR non confirmée s’élevait à 25,0 % (14/56 ; IC à 95 % : 14,4 %–38,4 %) (n = 14 réponses partielles). Le taux de contrôle de la maladie (DCR) confirmé était de 73,2 % (IC : 59,7 %–84,2 %) et le taux de bénéfice clinique (CBR) confirmé était de 17,9 % (IC : 8,9 %–30,4 %). Le profil pharmacocinétique (PK) du BG-C9074 s’est révélé approximativement proportionnel à la dose selon les niveaux étudiés.

Le BG-C9074 a démontré un profil d’innocuité et de tolérabilité gérable chez les patients atteints de tumeurs solides avancées exprimant B7-H4, y compris le cancer du sein. Cinq doses limitantes toxiques (DLT) ont été rapportées à trois niveaux de dose, toutes liées au traitement : fatigue de grade 3 (n = 1) ; neutropénie fébrile de grade 3 (n = 2) ; et thrombopénie de grade 4 (n = 2). Les effets indésirables liés au traitement (EIT) les plus fréquents étaient les nausées, la fatigue et la neutropénie.* Les EIT de grade ≥3 les plus fréquents étaient la neutropénie et la thrombopénie†. Aucun effet indésirable n’a conduit à l’arrêt du traitement ni à un décès.

Ces données viennent étayer le développement constant du BG-C9074 chez les patients atteints de tumeurs solides avancées. (NCT06233942)

BG-68501, un inhibiteur CDK2 ( Résumé# 3115 )

Les données d’escalade de dose de la première étude de phase 1a chez l’homme d’un nouvel inhibiteur de CDK2, le BG-68501, ont été présentées aujourd’hui sous forme de poster. Le BG-68501 est conçu pour s’attaquer à l’activité élevée de CDK2 ainsi qu’à l’augmentation de la cycline E1, deux mécanismes de résistance clés qui limitent souvent l’efficacité des inhibiteurs de CDK4/6 dans le traitement du cancer du sein HR+/HER2. Les inhibiteurs de CDK ciblent les protéines du point de contrôle de la division cellulaire afin d’arrêter la croissance des cellules cancéreuses.

Au total, 57 patientes atteintes de tumeurs solides avancées, dont 19 patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique HR+/HER2, ont reçu le BG-68501 en monothérapie ou en association avec le fulvestrant dans des cohortes de doses croissantes (toutes avaient déjà reçu un CDK4/6i).

Parmi les 37 patients évaluables sur le plan de l’efficacité (tous traités en monothérapie), le taux de réponse objective (ORR) non confirmé était de 5,4 % (2/37 ; IC à 95 % : 0,7 %–18,2 %). Deux patients lourdement prétraités (5,4 %) ont présenté une réponse partielle (PR) non confirmée ; 15 patients (40,5 %) ont présenté une maladie stable (SD), 15 autres (40,5 %) une progression de la maladie (PD), et 5 patients (13,5 %) n’étaient pas évaluables ou n’ont pas été évalués. Parmi les deux patients ayant présenté une réponse partielle, les deux étaient atteints d’un cancer du sein : l’un poursuivait encore le traitement à la date de clôture des données, tandis que l’autre avait interrompu le traitement. Le taux de bénéfice clinique (CBR) non confirmé était de 8,1 % (3/37 ; IC à 95 % : 1,7 %–21,9 %) et le taux de contrôle de la maladie (DCR) non confirmé était de 45,9 % (17/37 ; IC à 95 % : 29,5 %–63,1 %). Le BG-68501 a montré un profil pharmacocinétique (PK) linéaire, cohérent avec les données précliniques, ainsi que des signes de réponse pharmacodynamique.

Le BG-68501 a démontré un profil d’innocuité et de tolérabilité gérable, aucun effet indésirable n’ayant été observé à ce jour au cours de l’augmentation de la dose. Les effets indésirables les plus fréquents étaient les vomissements, les nausées et la fatigue, et des effets indésirables conduisant à l’arrêt du traitement ont été observés chez 4 patients (7 %), toutes doses confondues. Aucun événement indésirable survenu sous traitement n’a entraîné de décès.

Ces données soutiennent la poursuite du développement du BG-68501 en tant qu’option de prochaine ligne pour les tumeurs présentant une dépendance à CDK2. (NCT06257264)

Pour plus d’informations sur notre présence à la réunion annuelle de l’ASCO en 2025, veuillez consulter notre plateforme de réunion : congress.beonemedicines.com.

BeOne organisera une journée R&D pour les investisseurs le 26 juin à 8 h 30 (heure de l’Est), au cours de laquelle seront abordées les plateformes et le pipeline d’innovation mondial, ainsi que la vision de l’entreprise, ses capacités uniques et ses facteurs de création de valeur. Une retransmission en direct sera accessible à partir de la section « investisseurs » du site web de BeOne à l’adresse suivante : https://ir.beonemedicines.comhttps://hkexir.beonemedicines.com, ou  https://sseir.beonemedicines.com. Une rediffusion archivée sera disponible pendant 90 jours après l’événement.

À propos de notre programme de lutte contre le cancer du sein

BeOne développe un ensemble ambitieux de médicaments expérimentaux contre le cancer du sein, dont trois molécules en cours de développement clinique – deux inhibiteurs de la kinase dépendante des cyclines (CDK), BGB-43395, un inhibiteur de CDK4, et BG-68501, un inhibiteur de CDK2, et un conjugué anticorps-médicament (ADC), BG-C9074. BeOne prévoit également d’évaluer le potentiel de l’inhibition de BCL2 dans le cancer du sein, avec l’inhibiteur de BCL2 de nouvelle génération, BGB-21447, qui devrait bientôt faire l’objet d’essais cliniques dans le cadre d’indications de tumeurs solides. Les anticorps multispécifiques et les dégradeurs de protéines ciblés ayant des applications potentielles dans le cancer du sein font partie des actifs précliniques en cours de développement.

A propos du cancer du sein

Le cancer du sein représente près d’un cas de cancer sur quatre et un décès par cancer sur six chez les femmes dans le monde.1 Au niveau international, le cancer du sein est le deuxième cancer le plus fréquent et la quatrième cause de mortalité par cancer, ainsi que la première cause de décès par cancer chez les femmes.1 Plus de 2,3 millions de patientes ont reçu un diagnostic de cancer du sein en 2022, et plus de 666 000 décès ont été signalés à l’échelle internationale.1 Environ deux tiers des cas de cancer du sein sont du sous-type HR+/HER2-.2

À propos de BeOne

BeOne Medicines est une société internationale d’oncologie domiciliée en Suisse qui découvre et développe des traitements innovants plus abordables et accessibles aux patients atteints de cancer dans le monde entier. Avec un portefeuille couvrant l’hématologie et les tumeurs solides, BeOne accélère le développement de son pipeline diversifié de nouvelles thérapies grâce à ses capacités internes et à ses collaborations. Avec une équipe internationale en pleine expansion, composée de plus de 11 000 collègues répartis sur six continents, l’entreprise s’est engagée à améliorer radicalement l’accès aux médicaments pour un nombre bien plus important de patients qui en ont besoin.

Pour en savoir plus sur BeiGene, veuillez consulter le site www.beonemedicines.com et suivez-nous sur LinkedIn, X, Facebook et Instagram.

Déclarations prospectives

Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives au sens du Private Securities Litigation Reform Act de 1995 et d’autres lois fédérales sur les valeurs mobilières, notamment des déclarations concernant : le potentiel de l’anticorps conjugué (ADC) ciblant B7-H4 et de l’inhibiteur de CDK2 de BeOne pour combler des lacunes majeures dans le traitement du cancer du sein ; la capacité de BeOne à fournir des thérapies ayant un impact réel pour les patients atteints de cancer dans le monde entier ; le potentiel de son portefeuille de traitements pour lutter efficacement contre le cancer du sein et améliorer la qualité de vie des patients ; ainsi que les projets, engagements, aspirations et objectifs de BeOne, décrits dans la section « À propos de BeOne ». Les résultats réels peuvent différer de manière significative de ceux exprimés ou suggérés dans ces déclarations prospectives, en raison de divers facteurs importants, surtout : l’aptitude de BeOne à démontrer l’efficacité et ‘innocuité de ses candidats médicaments ; les résultats cliniques de ces candidats, qui pourraient ne pas justifier une poursuite de leur développement ou l’obtention d’une autorisation de commercialisation ; les décisions des autorités réglementaires, susceptibles d’influencer le lancement, le calendrier et l’évolution des essais cliniques ainsi que des procédures d’approbation ; la capacité de BeOne à réussir la commercialisation de ses médicaments approuvés ou futurs ; sa capacité à obtenir et maintenir une protection de la propriété intellectuelle pour ses produits et technologies ; sa dépendance envers des tiers pour la recherche, la fabrication, la commercialisation et d’autres services ; son expérience limitée en matière d’approbations réglementaires et de commercialisation de produits pharmaceutiques ; et sa capacité à obtenir des financements supplémentaires pour mener à bien ses opérations, finaliser le développement de ses produits et faire des bénéfices ; Ces risques sont également détaillés dans la section « Facteurs de risque » du dernier rapport trimestriel de BeOne sur le formulaire 10-Q, ainsi que dans d’autres documents déposés par BeOne auprès de la U.S. Securities and Exchange Commission. Toutes les informations figurant dans ce communiqué de presse sont à jour à la date de publication, et BeOne ne s’engage aucunement à les mettre à jour, sauf si la loi l’exige.

Pour accéder aux ressources médiatiques de BeOne, veuillez consulter notre salle de presse.

*La neutropénie a été définie par un panier MedDRA personnalisé avec la diminution de la neutropénie et du nombre de neutrophiles comme termes préférés.

†La thrombocytopénie a été définie par un panier MedDRA personnalisé, les termes préférés étant thrombocytopénie et diminution de la numération plaquettaire.

1 Bray F, et al. Global cancer statistics 2022: GLOBOCAN estimates of incidence and mortality worldwide for 36 cancers in 185 countries. CA Cancer J Clin . 4 avril 2024. https://doi.org/10.3322/caac.21834

2  National Cancer Institute, SEER. Cancer Stat Facts: Female Breast Cancer Subtypes.  https://seer.cancer.gov/statfacts/html/breast-subtypes.html  Consulté le 11 novembre 2024.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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Les six projets lauréats de la 12ème édition des IBSA Foundation Fellowship ont été présentés – L’appel à candidatures pour 2025 est désormais ouvert

Les six projets lauréats de la 12ème édition des IBSA Foundation Fellowship ont été présentés – L’appel à candidatures pour 2025 est désormais ouvert

  • Les lauréats des IBSA Foundation Fellowship 2024 viennent de deux universités américaines, deux suédoises, une italienne et une britannique.
  • L’édition de cette année a établi un nouveau record : 259 projets présentés par 45 pays.
  • La cérémonie de remise des prix s’est tenue aujourd’hui à Milan ; l’appel à candidatures 2025 a été officiellement lancé lors de l’évènement.

LUGANO, Suisse–(BUSINESS WIRE)–La recherche, c’est investir dans l’avenir. Tel est le principe directeur des IBSA Foundation Fellowship qui, depuis plus d’une décennie, soutiennent des chercheurs talentueux de moins de 40 ans provenant d’universités et d’établissements de recherche du monde entier. Le programme octroie des subventions pour promouvoir des projets innovants et potentiellement novateurs dans des domaines scientifiques moins explorés. Un succès toujours croissant, également confirmé par l’édition 2024, qui a marqué un nouveau record, avec 259 candidatures dans cinq domaines scientifiques.




Les bourses, d’une valeur de 32 000 € chacune, ont été attribuées à des projets de recherche dans cinq domaines scientifiques : dermatologie, endocrinologie, fertilité/urologie, médecine de la douleur/orthopédie/rhumatologie et vieillissement en bonne santé/médecine régénérative. En particulier, cette dernière catégorie a suscité un intérêt croissant au fil du temps, enregistrant le plus grand nombre de candidatures cette année : 89 projets sur un total de 259.

Les lauréats de l’édition 2024 sont :

  • Masami Ando Kuri, Wellcome Sanger Institute, Cellular genetics, Haniffa Lab, Cambridge, Royaume-Uni – Domaine scientifique : dermatologie
  • Enchen Zhou, University of California San Diego, Christopher Glass Laboratory, États-Unis – Domaine scientifique : endocrinologie
  • Ilaria Chiaradia, Charles Darwin Department of Biology and Biotechnology, Sapienza University of Rome, Italie – Domaine scientifique : fertilité/urologie
  • Prach Techameena, Karolinska Institutet, Neurobiology of Pain & Therapeutics, Saida Hadjab Group, Stockholm, Suède – Domaine scientifique : médecine de la douleur/orthopédie/rhumatologie
  • Sergio Pérez Diaz, Karolinska Institutet, Division of Clinical Physiology, Laboratory of Medicine Department, Stockholm, Suède – Domaine scientifique : vieillissement en bonne santé/médecine régénérative
  • Vanessa López Polo, University of California San Francisco, Cardiovascular Research Institute, États-Unis – Domaine scientifique : vieillissement en bonne santé/médecine régénérative

« Soutenir le talent des jeunes chercheurs représente pour IBSA Foundation un investissement stratégique, stimulant le progrès scientifique et favorisant une société plus consciente et mieux équipée pour faire face aux défis futurs. Dans un contexte où l’accès à une carrière scientifique est de plus en plus complexe, nos Fellowship servent d’outil tangible pour soutenir les jeunes chercheurs en période difficile, en valorisant le mérite et l’innovation », déclare Silvia Misiti, Directrice d’IBSA Foundation pour la recherche scientifique.

Depuis son lancement en 2012, le programme IBSA Foundation Fellowship a suscité un intérêt croissant, recueillant 1 645 projets provenant de 60 pays. Durant ses douze éditions, 58 projets ont été financés, pour un total de 1,6 million €.

Un chiffre significatif est le nombre élevé de candidatures de chercheuses : 1 041 candidatures sur 1 645, ce qui témoigne de leur rôle de plus en plus central dans la recherche scientifique internationale.

Lors de l’évènement qui s’est tenu aujourd’hui à Milan (Italie), IBSA Foundation a annoncé l’ouverture de l’appel à candidatures 2025. Comme en 2024, la nouvelle édition attribuera six bourses de 32 000 euros chacune et accueillera des projets dans cinq domaines : dermatologie, endocrinologie, fertilité/urologie, médecine de la douleur/orthopédie/rhumatologie et vieillissement en bonne santé/médecine régénérative. La sixième bourse sera attribuée à la catégorie qui reçoit le plus grand nombre de candidatures.

À partir de cette année, le Prix IBSA Foundation Research Equity sera également lancé : d’une valeur de 5 000 €, le prix sera décerné au meilleur projet scientifique développé dans un laboratoire, un institut de recherche ou une université basée dans un pays en développement.

Les chercheurs qui souhaitant soumettre leur projet peuvent envoyer leurs propositions au plus tard le 31 janvier 2026, via la plateforme dédiée.

 

À propos d’IBSA

IBSA (Institut Biochimique SA) est une multinationale pharmaceutique suisse qui a 20 filiales en Europe, en Chine et aux Etats Unis. Elle est présente avec ses produits dans plus de 90 pays et son activité de recherche et de développement se concentre sur 10 domaines thérapeutiques. En 2025, IBSA fête le 40ème anniversaire de son acquisition par l’actuel PDG Arturo Licenziati, qui a transformé la société en une multinationale employant plus de 2.300 collaborateurs dans le monde. La croissance et le développement d’IBSA peuvent être attribués à la capacité d’innovation en perfectionnant des molécules déjà connues et à la volonté de se tourner vers l’avenir de manière responsable et transparente, grâce au dévouement et au dynamisme de son personnel.

 

À propos d’IBSA Foundation pour la recherche scientifique

Créée en 2012 à Lugano par la société pharmaceutique IBSA (Institut Biochimique SA), IBSA Foundation pour la recherche scientifique est le principal promoteur des activités de responsabilité sociale d’IBSA Group.

La fondation promeut la « science pour tous » au moyen d’informations et d’activités accessibles qui unissent la culture scientifique et humaniste. Ses initiatives comprennent des forums de haut niveau mettant en à l’honneur des scientifiques de renommée internationale, des évènements éducatifs, des conférences sur les arts et les sciences et la santé et la culture et des bourses de recherche dans divers domaines de la recherche fondamentale et clinique.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Pour plus d’informations:
furrerhugi – Chérine Gurtner, Senior Consultant

cherine.gurtner@furrerhugi.ch

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