Un cadre pour retrouver le cap. Le livre « Déshumanités numériques » est un plaidoyer pour l’intelligence collective, assistée ou non par l’IA, mais toujours comme priorité dans nos choix.
Un cadre pour retrouver le cap. Le livre « Déshumanités numériques » est un plaidoyer pour l’intelligence collective, assistée ou non par l’IA, mais toujours comme priorité dans nos choix.
Qui n’a dans ses câbles qu’un mince fil d’appui Se voit tôt prisonnier de ses frais aujourd’hui ; Mais qui garde un socle solide et réfléchi Peut chanter du cloud et dormir sans souci.
Hier soir, envie de plages du Salento, de soleil, d’iode. Ce ne fut pas bien loin, pour moi, le campagnard. Direction Saint-Gilles, à Bruxelles. Au Dolce Amaro, chez Alain Morillon et son épouse Magdalena, qui ont repris cette belle enseigne voici un an.
Au départ d’un récit, « Vulnérable », d’Alexandre Fayeulle ouvre un chemin. Le fondateur et président d’Advens, prestataire européen de services en cybersécurité (*) nous invite à regarder autrement notre condition commune, à nous relier les uns aux autres et à imaginer une société où la vulnérabilité devient une force partagée.
L’IA nous dispense de certaines aptitudes et, ce faisant, semble les rendre obsolètes. Mais ce serait oublier que l’apprentissage n’est pas une corvée, soutient Camille Dejardin dans son livre « À quoi bon encore apprendre ? » ( Gallimard, collection Tracts ).
Et si l’intelligence artificielle ne remplaçait pas l’humain… mais révélait ses super-pouvoirs ? Le livre « L’IA Entrepreneur » ( DBS – De Boeck Supérieur, 21 EUR ) d’Emilie Lessire n’a rien d’un livre technophile. C’est son originalité. Et sa force.
On connaissait la « post-vérité », voici venue l’ère de la « post-réalité ». Dans « À l’assaut du réel » (PUF, 20 EUR), le sociologue Gérald Bronner nous invite à une réflexion essentielle sur l’avenir de notre rapport au réel : sommes-nous encore capables de préserver un socle commun de réalité ou sommes-nous condamnés à une ère où chacun forgera son propre monde ?
Pour anticiper le lancement du premier smartphone sans carte SIM physique sur le marché belge, Proximus met en place deux nouveautés destinées à faciliter au maximum le passage à l’eSIM pour les clients.
L’iPhone Air est probablement la meilleure publicité possible pour l’eSIM