Mois : août 2023

Une nouvelle étude de l’AMGTA démontre les avantages durables de l’impression 3D à jet de liant

Une étude de la Yale School of the Environment révèle une réduction considérable des émissions de gaz à effet de serre par rapport aux méthodes de moulage traditionnelles

NEW HAVEN, Connecticut–(BUSINESS WIRE)–L’Additive Manufacturer Green Trade Association (« AMGTA »), un groupe de défense mondial axé sur la promotion des pratiques durables de l’industrie de la fabrication additive (AM), a annoncé aujourd’hui les résultats préliminaires d’une étude d’analyse du cycle de vie intitulée « Comparative Life-Cycle Assessment: Comparison of Casting vs Binder Jetting for an Industrial Part. » L’étude, commandée par l’AMGTA et réalisée par la Yale School of the Environment (YSE) en partenariat avec Desktop Metal (NYSE : DM), un leader mondial des technologies AM pour la production en série, et Trane Technologies (NYSE : TT), innovateur mondial en matière de climat, a analysé un refroidisseur à spirale en acier dans un système CVC de Trane afin de déterminer l’impact comparatif sur la fabrication de l’impression 3D par jet de liant par rapport au métal coulé traditionnel. Les résultats préliminaires ont confirmé une réduction spectaculaire de 38 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) grâce au processus de jet de liant, principalement en raison de la réduction de la demande d’énergie pendant la phase de production.


« Avant ce projet, l’incertitude concernant les émissions de gaz à effet de serre sur le cycle de vie du jet de liant par rapport aux méthodes de fabrication conventionnelles constituait un obstacle à l’adoption de l’AM », déclare Kevin Klug, ingénieur en chef de la fabrication additive chez Trane Technologies. « Grâce aux résultats de cette étude, Trane Technologies est mieux à même de prendre en compte les coûts, la productivité et l’impact environnemental de l’AM à un stade précoce du cycle de conception d’un produit, lorsque le risque est le plus faible et que les avantages potentiels sont les plus importants. »

Les principaux enseignements de l’étude sont les suivants :

  • Une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. Le processus additif a montré une réduction de 38 % des émissions de gaz à effet de serre basée sur le jet de liant par rapport au moulage traditionnel pour les pièces étudiées.
  • L’importance du bouquet énergétique. Comme les résultats précédents, l’étude a montré que le bouquet énergétique de l’installation de fabrication sur le lieu de production, et le fait que ce réseau énergétique ait été produit par des moyens durables, avaient un impact significatif sur les émissions de gaz à effet de serre.
  • Une valeur négligeable de la reconception pour l’allègement. L’étude a montré que les avantages potentiels d’une nouvelle conception du refroidisseur à spirale pour l’alléger au moyen d’une structure en treillis étaient insignifiants vis-à-vis des émissions de GES. Les dimensions globales des pièces produites et l’utilisation efficace des volumes d’impression ont joué un rôle beaucoup plus important que l’allègement. L’allègement peut apporter des avantages environnementaux dans la phase d’utilisation, qui n’est pas prise en compte dans cette étude.
  • Les impacts de la production de matériaux. Bien que cette étude ait montré que les impacts environnementaux de la production de poudre source étaient environ deux fois plus importants que ceux de la coulée d’acier, cette augmentation ne représentait qu’une petite partie des émissions globales de gaz à effet de serre et n’a pas joué un rôle significatif dans les résultats globaux.
  • Dans l’ensemble, le jet de liant a produit une pièce plus durable. La réduction spectaculaire des émissions de gaz à effet de serre liées à la demande d’énergie dans le cas de la technique de jet de liant par rapport à la fabrication traditionnelle est de loin la conclusion la plus importante de l’étude de l’YSE.

« La publication de ces résultats est importante pour l’industrie de l’AM et pour les entreprises du secteur manufacturier au sens large qui recherchent des méthodes de production plus durables », déclare Sherri Monroe, directrice exécutive de l’AMGTA. « Grâce à cette étude, nous sommes en mesure de quantifier la réduction de la demande d’énergie du jet de liant par rapport à la coulée traditionnelle, tout en apportant quelques surprises quant à l’impact négligeable de l’allègement dans ce cas d’utilisation spécifique. »

L’un des moteurs de la croissance annuelle à deux chiffres de la fabrication additive au cours de la dernière décennie a été l’adoption du jet de liant dans de multiples industries, motivée par les avantages en termes de coûts, la production de grands volumes et le potentiel de gains en matière de durabilité.

« Nous sommes ravis de disposer d’un autre élément de recherche indépendant et tiers qui valide la façon dont le jet de liant est une approche plus écologique de la production de pièces métalliques », déclare Jonah Myerberg, directeur de la technologie chez Desktop Metal. « Les émissions nocives de la fabrication traditionnelle de métaux doivent être réduites grâce à des approches technologiques innovantes, mais les fabricants ont besoin de données solides, et non d’écoblanchiment, pour faire les bons choix quant à la façon dont ils fabriquent leurs produits métalliques. Cette nouvelle étude de Yale, Trane Technologies et l’AMGTA démontre ce que l’équipe de Desktop Metal pense depuis longtemps sur la base de son expérience pratique : le jet de liant est un moyen plus écologique de fabriquer des pièces métalliques. »

L’étude de l’YSE, qui a duré deux ans, a analysé le cycle de vie de la fabrication, depuis l’extraction des matières premières jusqu’aux portes de l’usine, d’un jeu de spirales composé d’une spirale fixe et d’une spirale orbitale fabriquées par Trane Technologies dans le cadre d’un système de climatisation. L’AMGTA a commandé cette étude en 2021 afin de mieux comprendre le potentiel du jet de liant pour remplacer la coulée de sable traditionnelle en tant que méthode de production plus durable. L’étude a évalué un processus de moulage traditionnel suivi d’étapes d’usinage, de placage et de finition au Mexique. La même conception de jeu de spirales a été évaluée dans le cadre d’un processus additif d’impression 3D, de durcissement et de frittage par jet de liant, suivi des mêmes étapes de placage et de finition au même endroit au Mexique.

Les résultats de l’étude ont montré une réduction de 38 % des émissions de gaz à effet de serre pour le processus de fabrication additive par rapport à la méthode traditionnelle basée sur le moulage. En raison de la nature du jet de liant, les chercheurs de l’YSE ont conclu qu’une nouvelle conception pour l’allègement par l’intermédiaire d’une structure en treillis ne conduirait pas nécessairement à des réductions supplémentaires des émissions de GES, principalement parce que la majorité de l’électricité consommée liée aux étapes d’impression, de durcissement et de frittage ne serait pas affectée par les structures en treillis. L’analyse suggère qu’une réduction de masse de 10 % du jeu de spirales entraînerait une réduction de 1 % des émissions de GES.

Les émissions de GES sur l’ensemble du cycle de vie ont été fortement influencées par le bouquet énergétique local sur le site de production. Pour cette étude, l’ensemble de pièces fabriquées de manière traditionnelle et l’ensemble de pièces fabriquées de manière additive ont été évalués sur le même site avec le même bouquet énergétique. Les chercheurs ont également évalué d’autres sites de production potentiels et leurs bouquets énergétiques correspondants. Les résultats indiquent qu’une telle sensibilité à la « propreté » du réseau doit être prise en compte lors de la comparaison entre la fabrication additive et les processus traditionnels afin de garantir une conclusion valable. Si la production d’un site énergétique plus durable présente des avantages environnementaux pour les deux processus de production, la différence d’impact environnemental entre les méthodes s’estompe à mesure que la combinaison énergétique devient plus « verte ». Les volumes de production jouent également un rôle important dans les émissions de GES de la fabrication additive, en particulier dans le cas d’une utilisation moins efficace des volumes de construction et des opérations en petits lots.

« Trane Technologies s’engage à redéfinir avec audace ce qui est possible pour un monde durable », ajoute Kevin Klug. « Cela inclut la conception de solutions de climatisation avancées qui peuvent être fabriquées et exploitées avec un impact réduit sur l’environnement. La fabrication additive métallique (AM) va devenir un outil de plus en plus viable dans cette quête et la vitesse comparativement plus élevée et le coût plus faible du jet de liant parmi les technologies AM le rendent particulièrement prometteur pour la fabrication de composants HVAC à des volumes de production pertinents. »

« Cette étude réalisée en collaboration avec Desktop Metal est une victoire évidente pour les fabricants tels que Trane, qui explorent des options de fabrication plus durables. Le jet de liant est une technologie éprouvée qui présente des avantages clairs et quantifiables par rapport aux méthodes traditionnelles », déclare Sherri Monroe. « Nous apprécions le leadership de Trane dans la recherche de pratiques plus durables, sa participation à cette étude, sa volonté de partager ses processus et ses données et son intérêt pour le partage de ces informations avec l’ensemble de la communauté manufacturière. »

Les principaux points de l’étude peuvent être consultés sur le site Web de l’AMGTA et les résultats complets devraient être publiés au début de 2024 à la suite d’un processus d’examen par les pairs. L’AMGTA indique qu’elle prévoit de publier d’autres recherches indépendantes tout au long de l’année 2023. Des informations supplémentaires sur cette étude et d’autres menées par l’AMGTA sont disponibles sur le site Web de l’AMGTA, www.AMGTA.org.

À propos de l’AMGTA

L’AMGTA a été lancée en 2019 pour mieux comprendre et promouvoir les avantages environnementaux de la fabrication additive dans l’économie mondiale. Les membres de l’AMGTA représentent l’ensemble du spectre de la fabrication, de la conception et des matières premières aux produits finaux et aux utilisateurs, axés sur l’innovation de produits meilleurs, plus durables et financièrement avantageux grâce aux bonnes pratiques de la fabrication additive. Pour plus d’informations, veuillez contacter Sherri Monroe ou rendez-vous sur www.amgta.org.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Sherri Monroe

smonroe@amgta.org
954.308.0888

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PUMA termine la première saison de sa série de podcasts consacrés à des rapports de développement durable, une première dans l’industrie

HERZOGENAURACH, Allemagne–(BUSINESS WIRE)–Le dernier épisode des RE:GEN REPORTS de PUMA est maintenant disponible en streaming : « L’Occident est-il le mieux placé sur la santé et la sécurité ? ». Dans cet épisode, animé par Monica Buchan-Ng, responsable de l’échange de connaissances au Centre pour la mode durable, Anne-Laure Descours, directrice de l’approvisionnement chez PUMA, rappelle au public qu’il est important pour les habitants du Nord de « reconnaître à quel point les gens sur le terrain tentent d’améliorer [les conditions de travail dans les usines]. »




Cette série de podcasts vise à rendre le rapport de développement durable 2022 de PUMA plus accessible à un public plus large et plus jeune. Cela fait suite à une étude menée l’année dernière ayant révélé que les jeunes veulent que les marques soient plus transparentes avec les consommateurs en matière d’environnement et de durabilité (34 %) et qu’elles communiquent mieux leurs objectifs (40 %).

En 2022, PUMA a organisé la « Conference of the People », lors de laquelle des représentants de la génération Z, des pairs de l’industrie PUMA, des activistes, des ONG, des experts, des ambassadeurs et des consommateurs se sont réunis pour discuter de certains des défis de l’industrie de la mode en matière de développement durable. Cette conférence a également mis en évidence la nécessité pour PUMA d’améliorer sa communication sur les objectifs, les actions et les progrès en matière de développement durable.

RE:GEN REPORTS est animé par 10 penseurs de la nouvelle génération issus de six pays, qui distillent le contenu du rapport de développement durable de la marque en 10 épisodes. Chaque animateur a été chargé de décomposer les sujets complexes en éléments digestes. En se concentrant sur la stratégie de développement durable de PUMA FOREVER.BETTER. 10FOR25 de PUMA, ces podcasts ont été créés pour éliminer les barrières du langage traditionnel du développement durable, en expliquant pourquoi les objectifs spécifiques étaient une priorité pour l’entreprise. Les différents épisodes discutent des progrès réalisés, tout en reconnaissant les domaines dans lesquels il y a encore du travail.

Cette série de 163 minutes d’informations claires et compréhensibles sur le développement durable est née d’un rapport de 147 pages et de plus de trente heures d’enregistrement. Outre l’épisode final sur la santé et la sécurité, les jeunes ont guidé le public à travers des épisodes sur les thèmes suivants : les droits de l’homme, animé par l’activiste, mannequin et entrepreneur social américain Anya Dillard ; les produits chimiques, animé par le blogueur allemand Luke Jaque-Rodney, qui prône un mode de vie sain et durable ; la circularité, animé par Andrew Burgess, un upcycler basé aux États-Unis ; les salaires équitables, animé par Amina Shakeel, membre du comité étudiant de la Fair Labor Association ; l’action climatique, animé par Bertha Shum, cofondatrice du projet Earthero, basée à Hong Kong ; la biodiversité, animé par Ripudaman Bevli, militant écologiste basé en Inde ; le plastique et les océans, animé par Yumika Hoskin, fondatrice de l’entreprise singapourienne de sacs durables Peco Bag ; les produits, animé par Diandra Marizet, écologiste intersectionnelle basée aux États-Unis ; et l’eau et l’air, animé par Melissa Tan, ambassadrice écoconsciente de la Journée de la Terre, basée en Malaisie.

Outre les porte-parole de PUMA, ces jeunes animateurs ont également interviewé des représentants d’organismes industriels, d’entreprises et d’ONG dans le cadre de discussions sur la mise en œuvre et le suivi de pratiques plus durables. Parmi les invités figuraient Shelly Han, directrice du personnel de la Fair Labor Association, Lindita Xhaferi-Salihu, responsable de l’engagement du secteur dans l’action climatique de la CCNUCC, Nicole Rycroft, fondatrice et directrice exécutive de Canopy, Klass Nuttbohm, directeur de la mise en œuvre du ZDHC, Kurt Kipka, directeur de l’impact de l’Apparel Impact Institute, et Vanessa Brain, responsable de la traçabilité au sein du Leather Working Group.

« La transparence est essentielle à la stratégie de développement durable de PUMA », déclare Anne-Laure Descours, directrice de l’approvisionnement chez PUMA. « Nous nous engageons à améliorer nos pratiques tout en reconnaissant le chemin qu’il nous reste à parcourir. Nous avons invité ces penseurs de la nouvelle génération à nous interviewer, ainsi que nos partenaires, sur les objectifs 10FOR25 de notre stratégie de développement durable FOREVER.BETTER. afin de nous pousser à être meilleurs, à faire mieux, et à entrer dans les détails d’une manière accessible et compréhensible pour le plus grand nombre. Il est facile de cacher les domaines dans lesquels on ne progresse pas aussi rapidement qu’on le souhaiteriez, mais le changement exige collaboration et ouverture, et avec RE:GEN REPORTS, nous avons accueilli et continuerons d’accueillir ces deux éléments. »

Les efforts de PUMA en matière de développement durable ont été reconnus à plusieurs reprises. En 2022, la marque est arrivée en tête du classement de durabilité de Business of Fashion, du classement financier de la plateforme sur le salaire de subsistance et du classement FTSE4Good dans ses secteurs d’activité. Elle a été incluse dans le classement mondial des 100 entreprises les plus durables de Corporate Knights, a conservé son classement triple A auprès de MSCI et son statut premium auprès d’ISS, deux grandes agences de notation en matière de développement durable. Reuters l’a également classée au deuxième rang de son secteur et, dans l’étude comparative de S&P sur le développement durable, PUMA a surpassé toutes les autres marques de sport pour la première fois depuis 2010. Bien que ces classements contribuent à confirmer que PUMA va dans la bonne direction avec son programme de développement durable, il n’en reste pas moins qu’elle est en bonne voie pour atteindre ses objectifs.

Le rapport complet sur le développement durable 2022 de PUMA est accessible ici.

PUMA

PUMA est l’une des plus grandes marques de sport au monde. Elle conçoit, développe, vend et commercialise des chaussures, des vêtements et des accessoires. Depuis 75 ans, PUMA fait avancer sans relâche le sport et la culture en créant des produits rapides pour les athlètes les plus rapides du monde. PUMA propose des produits de performance et de style de vie inspirés du sport dans des catégories telles que le football, la course à pied et l’entraînement, le basket-ball, le golf et les sports mécaniques. PUMA collabore avec des designers et des marques de renom afin d’intégrer les influences du sport dans la culture de la rue et la mode. Le groupe PUMA possède les marques PUMA, Cobra Golf et stichd. L’entreprise distribue ses produits dans plus de 120 pays, emploie environ 20 000 personnes dans le monde et son siège social se trouve à Herzogenaurach, en Allemagne.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Samantha Du Plessis – PUMA SE

Samantha.duplessis@puma.com

Lornette Harley – MSL

lornette.harley@mslgroup.com

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21-09-23 All Cyber School – EDR

Lors de cette séance, Christophe Hohl vous apprendra tout sur les mécanismes et les fonctionnalités détaillées d’un EDR, élément essentiel de la sécurité opérationnelle et le dernier maillon pour bloquer une attaque avancée …

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Résultats De La Banque HSBC Canada Pour Le Deuxième Trimestre De 2023

VANCOUVER, Colombie-Britannique–(BUSINESS WIRE)–Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada1, au sujet des résultats :


« La performance est demeurée solide au cours du deuxième trimestre de 2023, les tendances que nous avons constatées au premier trimestre de l’exercice s’étant poursuivies. Le bénéfice avant la charge d’impôt a augmenté de 53 % par rapport au deuxième trimestre de 2022, les produits et le bénéfice de trois de nos quatre secteurs d’activité ayant crû, en grande partie en raison de la hausse des produits d’intérêts nets découlant de l’amélioration des marges, de la croissance des prêts et de la baisse des pertes de crédit attendues, comparativement à une importante sortie du bilan ayant eu lieu au cours de l’exercice précédent. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par une augmentation des charges d’exploitation, principalement liée à l’entente visant la vente2 de la banque.

L’économie canadienne et nos clients sont demeurés résilients devant les grandes difficultés entraînées par l’inflation, les taux d’intérêt et les perturbations des échanges commerciaux liées à la main-d’œuvre. Nous remercions nos équipes de continuer à soutenir nos clients au cours de cette période prolongée de difficultés économiques ».

Faits saillants3 de la performance financière (comparaison du deuxième trimestre de 2023 et du deuxième trimestre de 2022)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a atteint 302 M$, en hausse de 104 M$, ou 53 %. Tous nos secteurs d’activité ont été rentables, des augmentations du bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat et du total du résultat d’exploitation ayant été enregistrées dans trois de nos quatre secteurs d’activité.
  • Le total du résultat d’exploitation est demeuré solide, s’étant établi à 681 M$, en hausse de 82 M$, ou 14 %, surtout en raison de l’amélioration des marges d’intérêts nettes par suite de l’accroissement continu des prêts, de la hausse des produits de négociation et de l’intensification des activités des clients au chapitre des cartes, tandis que les conditions de marché difficiles ont entraîné une légère baisse des produits de commissions nets.
  • La variation des pertes de crédit attendues (PCA) a consisté en une charge de 13 M$, principalement en raison des nouvelles défaillances sur les prêts non productifs et de l’incidence de la montée des taux d’intérêt sur le portefeuille de prêts hypothécaires, neutralisée en partie par une reprise liée aux prêts productifs en raison d’une amélioration relative des variables macroéconomiques prospectives.
  • Le total des charges d’exploitation a augmenté de 47 M$, ou 15 %, principalement en raison des coûts liés à l’entente visant la vente2 de la Banque HSBC Canada, partiellement neutralisés par la baisse des dépenses d’investissement en 2023.

 Faits saillants3 de la performance financière (comparaison du premier semestre de 2023 et du premier semestre de 2022)

  • Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a atteint 611 M$, en hausse de 121 M$, ou 25 %, du fait de l’augmentation de 189 M$, ou 16 %, du résultat d’exploitation et de la diminution de la charge au titre des PCA. Le total des charges d’exploitation a augmenté de 93 M$, ou 15 %.
  • Tous nos secteurs d’activité ont été rentables, des augmentations du bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat et du total du résultat d’exploitation ayant été enregistrées dans trois de nos quatre secteurs d’activité.
  • Le total de l’actif s’élevait à 121,1 G$, en baisse de 7,2 G$, ou 5,6 % par rapport au 31 décembre 2022.
  • Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 14 s’est situé à 12,8 %, soit une hausse de 120 points de base par rapport au 31 décembre 2022.
  • Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire5 a atteint 16,0 %, en hausse de 270 points de base par rapport au 31 décembre 2022.
  1.  La Banque HSBC Canada, ainsi que ses filiales (collectivement, la « banque », « nous », « notre »), est une filiale en propriété exclusive indirecte de HSBC Holdings plc (« HSBC Holdings »). Dans le présent document, HSBC Holdings est désigné comme le « Groupe HSBC » ou le « Groupe ».
  2. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.
  3. Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.
  4. Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du Bureau du surintendant des institutions financières (« BSIF ») et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III.
  5. Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Pour plus d’informations au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières supplémentaires » du présent document.

Analyse des résultats financiers consolidés du deuxième trimestre clos le 30 juin 20231

Les produits d’intérêts nets se sont établis à 442 M$ pour le trimestre, en hausse de 73 M$, ou 20 %, et à 894 M$ pour le semestre, en hausse de 188 M$, ou 27 %. Ces hausses s’expliquent par l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du dernier exercice et l’augmentation de la moyenne des prêts et avances à des clients par rapport au deuxième trimestre de 2022, partiellement contrebalancées par les variations de la composition des dépôts.

Les produits de commissions nets se sont chiffrés à 194 M$ pour le trimestre, soit une légère diminution de 2 M$, ou 1 %, car les conditions de marché difficiles ont entraîné un recul des commissions tirées des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. La diminution des volumes des remises et des garanties a également contribué à la baisse. Ces diminutions ont été partiellement neutralisées par l’intensification des activités au chapitre des cartes et l’augmentation des transactions des services à l’égard des comptes, ce qui a entraîné une hausse des produits de commissions nets.

Pour le semestre, les produits de commissions nets se sont élevés à 383 M$, en baisse de 10 M$, ou 2,5 %. Cette baisse découle des mêmes facteurs que ceux pour le trimestre et de la diminution des commissions de prise ferme des Services bancaires internationaux, facteurs compensés par la hausse des commissions tirées des facilités de crédit du secteur Services aux entreprises découlant de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction se sont chiffrés à 40 M$ pour le trimestre, en hausse de 16 M$, ou 67 %, et à 67 M$ pour le semestre, en hausse de 16 M$, ou 31 %. L’augmentation s’explique principalement par une variation favorable des instruments de couverture des flux de trésorerie et la hausse des produits sur les activités de négociation, comparativement à la variation défavorable de la valeur d’une facilité de syndication de prêts au cours de l’exercice précédent. Les produits d’intérêts nets sur les activités de négociation ont augmenté en raison de la montée des taux d’intérêt. Ces hausses ont été partiellement neutralisées par la diminution des variations favorables des ajustements d’évaluation de crédit et de la juste valeur liés au financement par rapport à l’exercice précédent.

La variation des PCA pour le trimestre a consisté en une charge de 13 M$, qui découle principalement des nouvelles défaillances sur les prêts non productifs et de l’incidence de la montée des taux d’intérêt sur le portefeuille de prêts hypothécaires, facteurs neutralisés en partie par une reprise liée aux prêts productifs en raison d’une amélioration relative des variables macroéconomiques prospectives. En 2022, la charge s’élevait à 82 M$ et découle essentiellement de la sortie du bilan d’un prêt de stade 3 d’un montant élevé et d’une charge liée aux prêts productifs, ce qui s’explique par la détérioration des variables macroéconomiques prospectives à ce moment.

Les PCA pour le semestre ont consisté en une charge de 15 M$, comparativement à une charge de 40 M$ en 2022. La charge pour le semestre découle des mêmes facteurs que ceux du trimestre. En 2022, les PCA découlaient d’une charge importante au titre d’un prêt de stade 3 d’un montant élevé, partiellement compensée par une reprise au titre des prêts productifs au cours du premier trimestre de 2022 en lien avec des corrections de valeur attribuables à la COVID-19.

Le total des charges d’exploitation s’est chiffré à 366 M$ pour le trimestre, une hausse de 47 M$, ou 15 %, et à 732 M$ pour le semestre, une hausse de 93 M$, ou 15 %. La hausse pour le trimestre et le semestre est imputable aux coûts liés à l’entente visant la vente2 de la Banque HSBC Canada, qui tient compte de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation. L’augmentation des coûts liés au personnel a également contribué à la hausse. Ce facteur a été partiellement atténué par la baisse des dépenses d’investissement en 2023.

Charge d’impôt sur le résultat. Pour le deuxième trimestre de 2023, le taux d’imposition effectif a été de 28,0 %. Le taux prévu par la loi était de 27,8 %, ce qui inclut la taxe additionnelle imposée aux banques et aux groupes de sociétés d’assurance-vie annoncée en avril 2022. Les passifs d’impôt ont quelque peu augmenté par rapport au taux prévu par la loi. Pour le deuxième trimestre de 2022, le taux d’imposition effectif avait été de 26,7 %.

  1. Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Dividendes

Dividendes déclarés au deuxième trimestre de 2023

Au cours du deuxième trimestre de 2023, la banque a déclaré des dividendes trimestriels réguliers de 19 M$ sur toutes les séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation de la Banque HSBC Canada et a versé ces dividendes conformément à leurs modalités. Aucun dividende n’a été déclaré ni versé sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du deuxième trimestre de 2023.

Dividendes déclarés au troisième trimestre de 2023

Le 27 juillet 2023, la banque a déclaré, pour le troisième trimestre de 2023, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation. Ces dividendes seront versés conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 30 septembre 2023 ou le premier jour ouvrable suivant, à l’actionnaire inscrit le 15 septembre 2023.

Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le troisième trimestre de 2023 ont été déclarés après le 30 juin 2023, leur montant n’a pas été inscrit au passif du bilan. Pour le moment, aucun dividende n’a été déclaré sur les actions ordinaires de la Banque HSBC Canada au cours du troisième trimestre.

Résultats des secteurs d’activité pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 20231

Services aux entreprises (« SE »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est chiffré à 195 M$ pour le trimestre, en hausse de 79 M$, ou 68 %, et à 402 M$ pour le semestre, en hausse de 69 M$, ou 21 %, en raison d’une baisse des charges liées aux pertes de crédit attendues par rapport à l’exercice précédent et d’une hausse du résultat d’exploitation.

Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 311 M$ pour le trimestre, en hausse de 18 M$, ou 6,1 %, et à 621 M$ pour le semestre, en hausse de 48 M$, ou 8,4 %. Les SE ont maintenu leur élan en 2023, la moyenne des soldes des prêts s’étant accrue de 3,4 G$, ou 10 %, et la moyenne des soldes des dépôts ayant augmenté de 2,0 G$, ou 7,7 %, en regard de ceux enregistrés au premier semestre de 2022. Les produits d’intérêts nets se sont accrus en raison de l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du dernier exercice et de l’accroissement de la moyenne des volumes de prêts. De même, les produits autres que d’intérêts ont progressé du fait des volumes des acceptations bancaires et de l’intensification des activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du trimestre et du semestre a atteint un nouveau sommet2. Pour le trimestre, il s’est chiffré à 111 M$, en hausse de 46 M$, ou 71 %, et pour le semestre, il s’est établi à 209 M$, en hausse de 84 M$, ou 67 %. La hausse s’explique par l’augmentation du résultat d’exploitation, neutralisée en partie par une variation défavorable des pertes de crédit attendues et une hausse des charges d’exploitation.

Le total du résultat d’exploitation pour le trimestre s’est chiffré à 295 M$, en hausse de 63 M$, ou 27 %. Le total du résultat d’exploitation pour le semestre s’est élevé à 576 M$, en hausse de 127 M$, ou 28 %. Cette hausse a découlé de l’amélioration des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du dernier exercice, de la progression de la moyenne des soldes des dépôts et de l’augmentation des produits tirés des activités de courtage en ligne, facteurs qui ont été neutralisés en partie par la baisse liée aux fonds d’investissement sous gestion et les variations de la composition des produits.

Services bancaires internationaux (« SBI »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 36 M$ pour le trimestre, en hausse de 21 M$, ou 140 %, et à 75 M$ pour le semestre, en hausse de 37 M$, ou 97 %, en raison de la hausse du résultat d’exploitation et de la variation favorable des PCA.

Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 49 M$ pour le trimestre, en hausse de 10 M$, ou 26 %, et à 109 M$ pour le semestre, en hausse de 23 M$, ou 27 %. Les résultats provenant des activités au chapitre des transactions bancaires sont demeurés solides, ce qui s’explique principalement par la hausse des écarts et des produits tirés des activités de négociation, alors qu’il y a eu une variation défavorable de la valeur d’une facilité de syndication de prêts au cours de l’exercice précédent. Ces hausses ont été neutralisées partiellement par la baisse des produits générés par les marchés des capitaux, ce qui reflète en partie le ralentissement des activités des clients et les conditions de marché difficiles.

Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est chiffré à 8 M$ pour le trimestre, en baisse de 10 M$, ou 56 %, et à 17 M$ pour le semestre, en baisse de 14 M$, ou 45 %, à cause principalement du recul du résultat d’exploitation.

Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 20 M$ pour le trimestre, en baisse de 11 M$, ou 35 %, et à 42 M$ pour le semestre, en baisse de 15 M$, ou 26 %. La diminution s’explique surtout par les produits de négociation fixes, facteur neutralisé en partie par la hausse des produits d’intérêts nets attribuable aux majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du dernier exercice.

Centre général3

Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le trimestre a représenté une perte de 48 M$, par rapport à une perte de 16 M$ à l’exercice précédent. Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat pour le semestre a représenté une perte de 92 M$, par rapport à une perte de 37 M$ à la période correspondante de l’exercice précédent. Ces facteurs découlent principalement de la hausse des coûts liés à l’entente visant la vente4 de la Banque HSBC Canada, qui tient compte de la nouvelle évaluation de la durée d’utilité des immobilisations incorporelles et de leur dépréciation. Ce facteur a été annulé en partie par la baisse des dépenses d’investissement en 2023 et la hausse des produits autres que d’intérêts.

  1. Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2023 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
  2. Record pour le premier trimestre depuis la formation de GPSBP en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011.
  3. Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité.
  4. Le 29 novembre 2022, le Groupe HSBC a annoncé une entente visant la vente de la totalité de sa participation dans la Banque HSBC Canada à la Banque Royale du Canada (« RBC »). Pour plus de précisions, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Entente visant la vente de la Banque HSBC Canada » du présent document.

Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Ce qui suit constitue un glossaire des mesures pertinentes qui sont employées tout au long de ce document, mais qui ne figurent pas dans les états financiers consolidés. Les mesures financières supplémentaires suivantes comprennent les soldes moyens, et les chiffres annualisés de l’état du résultat net, tel qu’il est indiqué, sont utilisés tout au long de ce document.

Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire correspond au bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire annualisé de la période, divisé par la moyenne1 des capitaux propres ordinaires.

Le rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques correspond au bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat annualisé, divisé par la moyenne1 des actifs pondérés en fonction des risques.

Le ratio d’efficience correspond au total des charges d’exploitation exprimé en pourcentage du total du résultat d’exploitation.

Le ratio du levier d’exploitation s’entend de l’écart entre le taux de variation du résultat d’exploitation et celui des charges d’exploitation.

La marge d’intérêts nette désigne les produits d’intérêts nets exprimés en pourcentage annualisé de la moyenne1 des actifs productifs d’intérêts.

La variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s’entend de la variation des pertes de crédit attendues2 annualisée, exprimée en pourcentage de la moyenne1 du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.

La variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s’entend de la variation des pertes de crédit attendues2 annualisée sur les actifs de stade 3, exprimée en pourcentage de la moyenne1 du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.

Le total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et des acceptations de stade 3 s’entend du total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues2 sur les prêts et avances à des clients et les engagements de clients en contrepartie d’acceptations de stade 3 exprimé en pourcentage des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations de stade 3.

Les sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances à des clients et des acceptations correspondent aux sorties du bilan nettes annualisées, exprimées en pourcentage de la moyenne1 du montant net des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.

Le ratio des avances à des clients en pourcentage des comptes des clients correspond aux prêts et avances à des clients exprimés en pourcentage des comptes des clients.

  1. La marge d’intérêts nette est calculée à l’aide des soldes moyens quotidiens. Toutes les autres mesures financières mettent en jeu des soldes moyens qui sont établis à l’aide des soldes à la clôture du trimestre.
  2. La variation des pertes de crédit attendues a essentiellement trait aux prêts, aux acceptations et aux engagements.

 

Banque HSBC Canada

Faits saillants financiers

 

(Montants en M$, sauf indication contraire)

Performance et situation financières

 

 

Trimestre clos le

 

Semestre clos le

 

30 juin 2023

30 juin 2022

 

30 juin 2023

30 juin 2022

Performance financière de la période

 

 

 

 

 

 

Total du résultat d’exploitation

681

599

 

 

1 358

1 169

Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat

302

198

 

 

611

490

Bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire

198

133

 

 

403

336

Variation des pertes de crédit attendues et

autres pertes de valeur liées au crédit — (charge)

(13)

(82)

 

 

(15)

(40)

Charges d’exploitation

(366)

(319)

 

 

(732)

(639)

Bénéfice de base et dilué par action ordinaire ($)

0,37

0,24

 

 

0,74

0,61

 

 

 

 

 

 

 

Ratios financiers (%)1

 

 

 

 

 

 

Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire

15,3

11,2

 

 

16,0

13,3

Rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques

2,7

1,9

 

 

2,8

2,4

Ratio d’efficience

53,7

53,3

 

 

53,9

54,7

Ratio du levier d’exploitation2

s. o.

12,3

 

 

1,6

9,0

Marge d’intérêts nette

1,62

1,37

 

 

1,64

1,32

Variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations

0,07

0,43

 

 

0,04

0,11

Variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations

0,21

0,35

 

 

0,12

0,18

Total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues

de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et

des acceptations de stade 3

29,9

27,9

 

 

29,9

27,9

Sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances et des acceptations

0,67

 

 

0,02

0,35

Mesures financières et mesures du capital

 

Au

 

30 juin 2023

31 déc. 2022

Situation financière à la clôture de la période

 

 

Total de l’actif

121 146

128 302

Prêts et avances à des clients

73 956

74 862

Comptes des clients

79 141

82 253

Ratio des avances à des clients en pourcentage des comptes des clients (%)1

93,4

91,0

Capitaux propres attribuables à l’actionnaire ordinaire

5 207

4 818

 

 

 

Mesures du capital, du levier et de la liquidité

 

 

Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 (%)3

12,8

11,6

Ratio du capital de catégorie 1 (%)3

15,3

14,1

Ratio du capital total (%)3

17,6

16,4

Ratio de levier (%)3

5,2

4,7

Actifs pondérés en fonction des risques (M$)3

44 519

44 656

Ratio de liquidité à court terme (%)4

161

164

  1.  Il y a lieu de se reporter à la section « Utilisation de mesures financières supplémentaires » figurant dans le présent document pour obtenir un glossaire des mesures utilisées.
  2. La mention « s. o. » est indiquée lorsque le ratio a donné lieu à un ratio négatif.
  3. Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du BSIF et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III.
  4. Le ratio de liquidité à court terme (Liquidity Coverage Ratio ou « LCR ») est calculé en accord avec la ligne directrice sur les normes de liquidité du BSIF, laquelle intègre les normes de Bâle en ce domaine. Le LCR indiqué dans ce tableau a été calculé à partir des moyennes des chiffres à la clôture de chaque mois du trimestre.

Contacts

Demandes des médias :

Sharon Wilks

647-388-1202

sharon_wilks@hsbc.ca

Caroline Creighton
416-868-8282
caroline.x.creighton@hsbc.ca

Demandes des investisseurs :

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