Mois : novembre 2022

AGCO Agriculture Foundation fait un don à la plus grande organisation caritative du Royaume-Uni pour lutter contre la faim et le gaspillage alimentaire

Les fonds permettront à FareShare d’assurer suffisamment de nourriture pour un million de repas en deux ans et d’intensifier l’atténuation des effets du changement climatique

DULUTH, Géorgie–(BUSINESS WIRE)–L’AGCO Agriculture Foundation (AAF), une fondation privée dont l’objectif est de prévenir et d’atténuer la faim grâce au développement agricole durable, a annoncé aujourd’hui qu’elle ferait un don de 300 000 dollars à FareShare afin de s’assurer que la nourriture parvienne aux communautés dans le besoin au Royaume-Uni, tout en luttant contre le gaspillage alimentaire.


Grâce à ce partenariat de deux ans, FareShare devrait pouvoir se procurer 475 tonnes de nourriture excédentaire et redistribuer ainsi plus d’un million de repas. Le projet soutiendra la croissance du fonds Surplus with Purpose Fund, primé à plusieurs reprises, qui prend en charge les frais des agriculteurs pour récolter et redistribuer des aliments qui seraient autrement jetés.

Selon les estimations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies, le gaspillage alimentaire contribue à 8 à 10 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, d’où l’urgence de lutter contre le gaspillage alimentaire. Les fonds bénéficieront également directement aux entreprises agricoles en réduisant l’impact environnemental du gaspillage alimentaire grâce à des interventions visant à récolter les produits frais excédentaires tels que les fruits et légumes. On estime qu’au cours des 24 prochains mois, chaque tonne de nourriture excédentaire redistribuée par FareShare et AAF dans le cadre du projet permettra d’économiser environ 1,6 tonne de CO2 stockée et d’éviter que 3,8 tonnes supplémentaires ne soient jetées d’une autre manière nuisible.

« Pour nous, en tant que fondation, le soutien au projet FareShare sur les surplus alimentaires arrive à un moment critique et est parfaitement aligné avec la philosophie de l’AAF qui consiste à prévenir et à soulager la faim. Nous espérons aider ces ménages dans le besoin à satisfaire leurs besoins alimentaires tout en luttant contre le changement climatique aux deux extrémités de la chaîne alimentaire en réduisant le gaspillage alimentaire », a déclaré Roger Batkin, président du conseil d’administration d’AGCO Agriculture Foundation.

Le projet sur les surplus alimentaires financé par l’AAF contribue à quatre des 17 objectifs de développement durable des Nations Unies : faim zéro, bonne santé et bien-être, action climatique et consommation et production responsables. Le projet permettra de fournir de la nourriture à des milliers de personnes particulièrement vulnérables, de lutter contre le gaspillage alimentaire afin de réduire l’impact du changement climatique, d’améliorer le bien-être général en donnant accès à des aliments sains et de fournir une solution évolutive pour éviter que les aliments finissent à la poubelle.

« Nous ne devrions jamais gaspiller de la bonne nourriture, et encore moins au milieu d’une crise où le coût de la vie a tellement augmenté. Des millions de personnes souffrent de la forte augmentation des prix de la nourriture, des carburants et des combustibles, ainsi que des factures élevées des ménages. Nous avons vu la demande de nourriture exploser dans tout notre réseau. FareShare est très reconnaissant à l’AAF de mettre ses fonds à disposition des personnes dans le besoin au Royaume-Uni à un moment aussi critique. Grâce à ce partenariat, nous allons augmenter notre portée et faire une différence importante en apportant les surplus alimentaires de la ferme à l’assiette des gens », a déclaré Lindsay Boswell, chef de la direction de FareShare.

À propos d’AGCO

AGCO (NYSE : AGCO) est un leader mondial de la conception, la fabrication et la distribution de machines agricoles et de technologies agricoles de précision. AGCO offre une valeur ajoutée à ses clients grâce à son portefeuille de marques différenciées, qui comprend des marques aussi prestigieuses que Challenger®, Fendt®, GSI®, Massey Ferguson®, Precision Planting® et Valtra®. Optimisée par les solutions d’agriculture intelligente Fuse®, la gamme complète d’équipements et de services AGCO aide les agriculteurs à nourrir durablement notre monde. Fondée en 1990 et basée à Duluth, dans l’État de Géorgie aux États-Unis, AGCO a réalisé un chiffre d’affaires net de 11,1 milliards USD en 2021. Pour de plus amples renseignements, rendez-vous sur www.AGCOcorp.com. Pour suivre l’actualité, les informations et les événements de l’entreprise, retrouvez-nous sur Twitter : @AGCOCorp. Pour consulter nos informations financières sur Twitter, veuillez suivre le hashtag #AGCOIR.

À propos de l’AGCO Agriculture Foundation (AAF)

Créée par AGCO Corporation (NYSE : AGCO) en 2018, AGCO Agriculture Foundation (AAF) est une fondation privée dont l’objectif est de prévenir et d’atténuer la faim. La fondation élabore des programmes à fort impact qui assurent la sécurité alimentaire, favorisent le développement agricole durable, et permettent de construire les infrastructures agricoles nécessaires dans les communautés agricoles marginalisées. Le siège de l’AAF se trouve à Vaduz (Liechtenstein) et les opérations sont gérées depuis Duluth (Géorgie, États-Unis). Pour en savoir plus, veuillez consulter : https://www.agcofoundation.org/

À propos de FareShare

FareShare est la plus grande organisation caritative britannique de lutte contre la faim et le gaspillage alimentaire, active depuis 1994. Cette organisation à but non lucratif est née de la conviction que la nourriture ne devrait pas finir à la poubelle, en particulier lorsque des personnes souffrent simultanément de la faim. FareShare redistribue les excédents alimentaires à travers un réseau de près de 9 500 organisations communautaires et à but non lucratif.

Pour plus d’informations, consultez notre site Web : https://fareshare.org.uk/

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Aryn Drawdy, Directrice des communications d’entreprise

aryn.drawdy@agcocorp.com

Holly Howells, FareShare

Holly.Howells@fareshare.org.uk

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Exploit d’Alberto Bona sur le Class40 IBSA: huitième place à la Route Du Rhum

« Une régate très agréable mais extrêmement difficile: j’ai navigué sans le principal pilotage automatique dès le premier jour »

POINTE-À-PITRE, Guadeloupe–(BUSINESS WIRE)–Jeudi 24 novembre, à 15:34:50 heure locale (20:34:50 heure de Paris-Rome) à Pointe-à-Pitre, Alberto Bona, sur le Class40 IBSA a franchi la ligne d’arrivée de la douzième édition de la Route du Rhum à la huitième placeSon temps de course est de 15 jours, 6 heures, 19 minutes et 50 secondes. Le skipper du Class40 IBSA a parcouru les 3 542 milles reliant Saint-Malo à Pointe-à-Pitre à une vitesse de 9,67 nœuds, couvrant une trajectoire réelle de 4 005.51 milles à une vitesse moyenne de 10,93 nœuds. Il est arrivé à Pointe-à-Pitre 1 jour, 3 heures, 11 minutes et 10 secondes après le Class40 victorieux de Yoann Richomme.


« Une transat très agréable mais extrêmement difficile, en particulier durant la semaine au près« , a déclaré Alberto à son arrivée. « Je suis extrêmement heureux : IBSA et moi y sommes parvenus ensemble, nous avons traversé un Atlantique qui ne nous a pas fait de cadeau. Ça a été une expérience à la fois dure et inoubliable. »

L’océan n’a fait aucune concession, à personne, mais Bona est parvenu à naviguer avec détermination : « Durant la seconde perturbation, la nuit, j’ai dû me dépêcher de prendre la barre et me suis cogné la tête. C’était un moment délicat, sans aucun doute, tout comme quand un spinnaker a explosé il y a quelques jours. Je l’ai remplacé par un autre plus gros, mais le mât a ensuite commencé à aller dans l’eau, j’ai dû calmer le jeu. Cela explique la huitième place. Je suis content, mais je sais aussi qu’il reste du potentiel à exprimer« .

Au départ de Saint-Malo le 9 novembre, la régate transocéanique, qui se déroule une fois tous les quatre ans, a vu un total de 138 skippers en solo au départ, dont 55 sur Class40. Les conditions de cette édition se sont avérées être exceptionnellement complexes : après trois jours de report pour éviter une perturbation considérée dangereuse, la régate a été particulièrement rude, avec une navigation au près qui a occupé les Class40 pendant plus d’une semaine.

LONGUE NAVIGATION AU PRÈS – Après un départ de près, le passage devant l’emblématique cap Fréhel et une journée de navigation exigeante dans la Manche, les skippers se sont trouvés à la sortie de la Manche avec des vents atteignant 40 nœuds et une mer agitée : le golfe de Gascogne a immédiatement dicté ses propres conditions, mettant les bateaux à l’épreuve et provoquant de nombreux abandons. Pour sa première transat en Class40Alberto Bona a toujours fait partie du groupe de tête, qui a choisi de passer plus à l’Ouest, loin de côte européenne, et a dû donc affronter trois perturbations consécutives, tout en naviguant toujours au près.

Elle s’est avérée d’une phase très difficile de la régate, avec une navigation affectée par des pannes et des dégâts: Alberto Bona a immédiatement été confronté au dysfonctionnement du pilotage automatique principal, en raison d’une panne de l’anémomètre, avec de fâcheuses conséquences, forçant le skipper à passer de nombreuses heures à la barre, une situation qui a mis à l’épreuve son endurance et sa concentration. Durant les premiers jours de navigation, Bona s’est également blessé, une coupure au front qu’il a soignée en suivant les instructions du docteur par radio.

« Les conditions de navigation au près dans lesquelles nous nous sommes trouvés étaient très difficiles », déclare Alberto. « Il s’agit d’une situation dans laquelle chaque mouvement à bord est dangereux, et dans laquelle vous êtes forcé de bouger le moins possible, pour éviter de vous cogner partout. En même temps, il est nécessaire de rester vigilant, réactif et prêt, car le bateau doit être surveillé et contrôlé en permanence, afin d’intervenir immédiatement et d’éviter des dégâts plus importants« .

La navigation au près a duré environ une semaine, suivie par quelques jours de points véliques plus larges et de vents plus faibles : ce sont des journées qu’Alberto Bona a utilisé pour ce qu’il appelle le « bricolage », c’est-à-dire une analyse approfondie de la coque et de tout l’équipement, ainsi que les travaux nécessaires pour réparer et éviter tout dégât.

LES AÇORES ET LE CALME – Le transition vers les Açores, avec le Class40 IBSA entre la cinquième et la septième position, en contact permanent avec les bateaux de tête, s’est également avérée complexe. Le groupe de tête de Class40 a en fait choisi de passer entre les îles, en prenant de la vitesse et en gagnant des milles sur le reste de la flotte, mais aussi en nécessitant d’une attention et d’un contrôle renforcés. Ensuite, vers le Sud, le vent moins portant et un alizé défavorable, qui est arrivé avec du retard sur les prévisions, a conduit le groupe de tête dans une zone peu ventée, ce qui a été utile pour reprendre des forces et définir une stratégie pour la seconde partie de la régate, caractérisée par un grand angle au vent. À ce stade, Alberto a tenté une reprise durant la nuit, ce qui lui a permis de rattraper le groupe de tête alors qu’il avait environ vingt milles de retard, mais les conditions météo différentes plus loin dans la course ont de nouveau profité aux bateaux de tête.

DES ALIZÉS CAPRICIEUX  Toutefois, ceux qui avaient anticipé des alizés favorables et doux ont été immédiatement déçus : le premier groupe de Class40 a dû attendre plus longtemps que prévu pour attraper les vents portants, pour découvrir qu’une fois-là, ils n’auraient jamais été réguliers.

Les bateaux de tête ont bénéficié de vents plus forts et d’une meilleure route, creusant ainsi encore l’écart. Le Class40 IBSA a présenté d’excellentes pointes de vitesse, tirant parti des périodes de vents plus forts. En fait, même à quelques milles d’écart, les conditions changeaient radicalement et les bateaux du groupe de tête ont progressé avec des vitesses et des directions différentes. Ici, Bona a essayé l’option de la voie du Sud, pour égaliser ses chances avec les leaders, mais l’explosion du gennaker lourd a affecté les derniers jours de navigation : des vagues croisées et des vents faibles ont littéralement fait envoler la voile. Alberto n’avait plus d’autre choix que de naviguer avec un gennaker de tête de mât, qui devait être continuellement manœuvré, mais la grande voile a envoyé le mât dans l’eau à plusieurs reprises. Pour éviter tout dommage, Bona a dû opter pour une trajectoire plus prudente, et le Dlass40 IBSA a terminé à la huitième place.

GUADELOUPE – La Route du Rhum est faite de plusieurs régates dans une même régate, et lorsque la Guadeloupe est en vue, après 3 500 milles de navigation, le dernier test commence : le contournement de l’île avant de franchir la ligne d’arrivée à Pointe-à-Pitre. C’est le finish légendaire, entre vents légers et gestion de la navigation le long du littoral : pour Bona, ce fût une longue journée de navigation avant de passer la ligne d’arrivée dans l’après-midi et de se jeter dans les bras de Cecilia, sous les applaudissements de l’équipe d’IBSA, qui s’était rendue en Guadeloupe pour l’accueillir chaleureusement. Ambrogio Beccaria était également sur le quai pour l’attendre.

« C’était une régate passionnante, pleine d’émotions, qui a su garder tout son suspens jusqu’à la fin. La Route du Rhum était un défi pour nous à tous points de vue, et nous sommes très fiers d’Alberto, du résultat obtenu et de son excellente performance« , déclare Arturo Licenziati, président et CEO d’IBSA. « Alberto et le Class40 IBSA ont montré ce qui peut être accompli grâce à la passion, la détermination et l’engagement, ainsi que la technologie et l’innovation. Nous pouvons dire que le skipper et son bateau ont tous les deux étaient les parfaits interprètes de la vision d’IBSA« .

***

LE PROJET: Sailing into the Future. Together a commencé en janvier 2022, le partenariat entre IBSA et Alberto Bona est né sur des bases et des valeurs communes et vise à utiliser la voile comme véhicule de communication d’entreprise, vers le marché et le monde nautique. L’ingéniosité, le courage, l’innovation et la responsabilité sont des éléments qui unissent IBSA et Alberto, et le défi de la Route du Rhum, outre la compétition sportive, représente métaphoriquement l’histoire, la philosophie et la vision de l’entreprise, toujours tournée vers l’avenir et faisant partie d’un parcours qui rapproche toujours plus IBSA du thème de la durabilité environnementale et sociale, de l’inclusion et de l’intégration. La régate transatlantique est la première étape du programme de trois ans  » Sailing Into The Future. Together » que la société pharmaceutique suisse a lancé avec Bona.

LE BATEAU: le bateau avec lequel Alberto Bona a participé à la Route du Rhum en novembre est un Class40 de dernière génération, avec une étrave de type scow. Conçue par l’architecte naval français Sam Manuard et réalisée par le chantier JPS Production, l’embarcation est un modèle Mach 5, la dernière évolution des Class40 de Manuard.

Les caractéristiques : une proue arrondie, réalisée dans le but d’augmenter les performances dans les allures au portant; des lignes d’eau et des appendices conçus pour faire de la coque un all round rapide même au près; un cockpit spacieux et abrité pour affronter la navigation dans des positions aussi confortables et sûres que possible.

LE SKIPPER : originaire de Turin, Alberto Bona est diplômé en philosophie. En tant qu’étudiant universitaire, il a remporté le Trophée Panerai avec Stormvogel, un ULDB rapide et un bateau historique avec lequel il a traversé l’océan Atlantique pour la première fois, remportant l’ARC avec un équipage néo-zélandais. En 2012, il a participé à la Minitransat, terminant 5e, un des meilleurs résultats italiens jamais obtenus dans cette catégorie. En 2015, il passe à la catégorie des prototypes Mini 6.50 avec Promostudi La Spezia: il remporte le championnat italien et se classe deuxième de la traversée océanique Les Sables – Les Açores. En 2017, il arrive au Class40 : sur l’ancien Telecom Italia de Giovanni Soldini, il participe à la Transat Jacques Vabres, où il est contraint d’abandonner alors qu’il est en sixième position. En 2019, il est à bord du trimaran Maserati Multi 70, un des bateaux les plus rapides au monde, où il s’entraîne sur des foils avant de passer au Figaro Beneteau 3, avec lequel il participe à la Solitaire;seul Italien inscrit, il termine 7e parmi les rookies la première année et 16e au général en 2020. En 2021, il remporte le titre italien offshore en équipe et gagne les championnats d’Europe en double mixte à bord du Figaro 3. En 2022, le nouveau projet démarre avec le soutien du groupe IBSA.

IBSA: IBSA (Institut Biochimique SA) est une société pharmaceutique multinationale suisse fondée en 1945 à Lugano. Aujourd’hui, elle est présente avec ses produits dans plus de 90 pays sur 5 continents, et possède 17 filiales en Europe, en Chine et aux États-Unis. L’entreprise réalise un chiffre d’affaires de 800 millions CHF et emploie plus de 2 000 personnes au siège, dans les succursales et sur les sites de production. IBSA détient 90 familles de brevets approuvés et d’autres en cours de développement, ainsi qu’un large portefeuille de produits couvrant 10 domaines thérapeutiques: médecine reproductive, endocrinologie, douleur et inflammation, ostéo-articulaire, médecine esthétique, dermatologie, urologie/gynécologie, cardiométabolisme, respiratoire, santé et bien-être. IBSA est un des plus grands acteurs mondiaux de la médecine reproductive et un des leaders mondiaux des produits à base d’acide hyaluronique. La philosophie de IBSA repose sur les piliers suivants: Humain, Innovation, Qualité et Responsabilité.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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